Note: This story was dynamically reformatted for online reading convenience. TELLE MERE, TELLES FILLES PROLOGUE Synopsis : F en solo, suggère inceste, uro, scato, caca culotte. Hélène inspecta les alentours pour voir si aucun quidam ne la suivait des yeux. Elle venait de garer sa voiture dans une petite rue d'un vieux quartier de Marseille. Les murs des maisons environnantes étaient délabrés. Il est vrai que ça ne payait pas de mine. Mais la jeune femme appréciait le quartier pour son calme. Elle mit le contact, la voiture s'engagea doucement dans l'allée qui menait au porche. Elle sortit de la voiture et ouvrit la porte du sexe shop. L'enseigne à l'extérieur était discrète, seuls les habitués connaissaient ce magasin. Hélène, une jeune femme de trente quatre ans possédait un physique qui pouvait faire bien des envieux. Elle avait des cheveux mi-longs teintant sur le brun qui reposaient délicatement sur ses épaules, une taille menue et mince malgré ses trois grossesses. Elle arborait toujours ce sourire discret et chaleureux. Elle ressemblait à une madone qu'un peintre aurait aimé coucher sur sa toile. Elle ne comptait plus les sollicitations dont elle faisait l'objet, et souvent en longeant une rue piétonne, elle entendait des sifflets admiratifs accompagnant chacun de ses pas. La jeune femme avait été mariée à un homme froid qui au lit n'avait jamais su se montrer à la hauteur. Elle était sans doute amoureuse, elle n'avait que seize ans quand elle coucha pour la première fois avec lui. C'était son premier amour. Elle se souvenait encore de son dépucelage. Robert, son petit ami n'avait pris aucune précaution. Il n'avait songé qu'à son propre plaisir, et après avoir éjaculé, l'avait plantée là. Elle s'était finie avec ses doigts comme une jeune fille vierge et rêveuse du grand amour. De leur union étaient nées trois filles qui faisaient sa fierté : Claire 16 ans, Béatrice 13 ans et Julie la petite dernière, 7 ans. Peu avant la naissance de Julie, Robert avait quitté le foyer familial. Il était parti avec sa secrétaire. Depuis, elle ne l'avait plus revu, il n'avait même jamais cherché à revoir ses enfants. Il est vrai qu'il rentrait souvent tard de son travail et ne s'était jamais occupé de ses filles. D'ailleurs, il s'était montré à chaque accouchement déçu. Il n'avait jamais caché son désire d'avoir un garçon. Après le départ de son mari, Hélène du rechercher un travail pour compenser le manque à gagner. Chaque nuit, elle se consolait au creux de son lit par la lecture d'ouvrages érotiques ou en regardant des cassettes à caractère pornographiques. Elle possédait en ce domaine des goûts spéciaux. Le sexe à la papa la faisait gerber, elle ne prenait son pied que dans la dépravation la plus totale. Son mari n'avait jamais accepté son penchant, et elle s'était ennuyée ferme avec lui pendant toutes ces années. En poussant la porte métallique du sexe shop, Hélène regarda sa montre, il était 17h35, elle n'avait que peu de temps devant elle. Les filles devaient déjà être rentrées de l'école. Hélène avait ses habitudes. Elle ne perdait pas son temps à consulter ouvrages et cassettes des étalages à l'entrée. Elle répondit poliment au salut du commerçant. Elle se dirigea à pas rapides au fonds du magasin, où avaient été rangés diverses vidéos, les plus déjantées, réjouissant les clients les plus pervers. Elle s'arrêta devant l'étalage consacré aux vidéos uros. C'était là le pêché mignon de la jeune femme. Depuis sa tendre enfance, elle s'adonnait aux jeux mouillés avec délectation. Comme beaucoup de jeunes filles de son ge, elle aimait faire pipi dans sa culotte. La sensation produite par l'urine chaude, quand elle s'écoulait le long de ses cuisses, suffisait à la faire jouir. Combien de fois ne s'était elle pas enfermée dans la grange attenant à la b tisse de la ferme de ses parents. Hélène n'avait pas perdu cette habitude avec le temps. Elle continuait de faire pipi dans son jean serré, à la maison, quand ses enfants n'étaient pas là. Depuis que son mari l'avait quittée, elle se masturbait tous les soirs au creux de son lit. Elle venait souvent louer des vidéos dans ce sexe shop, le soir après le boulot. Elle prenait quelques DVD de lesbiennes et de golden shower. Elle n'avait aucune expérience en matière de relations saphiques, mais c'était un fantasme très présent chez elle. Elle rêvait de faire l'amour à une autre femme très belle, désirable, douce et patiente. Elle imaginait une relation romantique comme dans les grands romans d'amour. Elle abhorrait par-dessus tout la vulgarité. Elle fantasmait aussi de se faire arroser de pisse par son amante. Elle devait lui pisser dessus, allongée sur le lit. Peu importait de mouiller le lit. Hélène faisait elle-même souvent pipi sur ses draps. Elle voulait lécher la chatte toute ruisselante d'urine et de mouille de sa compagne, la faire jouir entre sa langue. Puis, elle retournerait la faveur. Elle se branlait, en regardant ses vidéos cochonnes, tout en pissant sur le lit. A la fin, elle activait le mouvement pour un orgasme qui la laissait pantelante mais insatisfaite. Mais son désire, le plus inavouable, voué aux gémonies des bien pensants, c'était son attirance pour Béatrice, sa fille cadette. Elle était des trois la plus jolie. Elle fantasmait régulièrement de lui faire partager ses jeux. Elle aurait tout donné pour sentir son pipi de gamine sur sa peau, avaler le nectar jaun tre. Elle inspectait quelques fois la corbeille de linge sale, à la recherche des petites culottes de sa gamine. Elle était souvent satisfaite de les trouver dans un état de souillure. Béatrice ne semblait pas prendre soin de s'essuyer la chatte après avoir fait pipi, et des zébrures brunes au fond de son dessous dénotaient, qu'elle montrait le même laxisme après la défécation. Le rayon était bien achalandé. Les nouvelles vidéos du mois, surplombaient l'étagère. Elle remarqua un DVD de British extrem, où deux gouines jouaient à des jeux pipi. Elle prit la pochette, rêveuse de ces adorables anglaises, et de ce qu'elle aimerait être à leur place. Hélène nota le numéro de deux autres vidéos, une où de jeunes allemandes pissaient dans leur culotte, une autre où l'actrice se pissait dessus, puis partageait sa passion avec d'autres femmes, toutes plus jolies les unes que les autres. De telles dépravations suffisaient à faire monter la température de la jeune femme. Son entrecuisse la démangeait terriblement. Les rêves d'Hélène auraient pu rester vains, si la semaine dernière, elle n'avait pas surpris une scène, des plus touchante entre les deux sœurs. Rien que d'y penser son cœur frétillait, prisonnier de sentiments contradictoires. D'un côté, elle souhaitait aller plus loin, dans la relation avec ses filles, dépasser son rôle de parent. D'un autre côté, elle se forçait à enfouir ses sentiments au plus profond d'elle-même. L'idée du bien et du mal de notre civilisation judéo-chrétienne la poussait à combattre ses folies. *************************************************************************** Claire et Béatrice étaient adossées à un arbre. Elles se tenaient tout près l'une de l'autre. Claire rougissait, gênée par ce qu'elle pourrait accomplir dans un instant. << Tu sais, je ne sais pas si je pourrais le faire. Ca va mouiller ma petite culotte et mon jean. Je ne suis tout de même plus une petite fille, confia Claire à sa sœur >. << Oh, si tu verras. C'est tellement bon de sentir la pisse dégouliner dans le pantalon. C'est tout chaud et mouillé, et moi ça me fait jouir à chaque fois, répondit Béatrice >. Béatrice avait plaqué sa petite main sur le devant du jean de sa sœur. Elle caressa mollement le ventre de celle-ci. << Et puis, reprit elle, t'as pas vraiment le choix. Tu veux quand même pas baisser ton pantalon, et montrer ton cul à tous les inconnus qui pourraient passer dans les bois. T'entends les voix au loin. Je te dis que c'est trop bon. Je le fais tout le temps. Moi, je pisse plus aux toilettes. Je fais dans ma culotte, dans mon jean et même sur mon lit. Maman, y voit que dalle, je change les draps après avoir joui et je les mets en machine. Tu veux savoir, je me fais aussi pipi dessus >. << Oh, quelle cochonne tu fais ! s'exclama sa sœur a"née. Est-il pas croyable de se conduire comme ça. Comment peux-tu te faire dessus ? > Béatrice sourit. Elle avait réussi à capter l'intérêt de sa sœur. Mais, cette dernière hésitait. Faire pipi dans son jean était au-dessus de ses forces. << C'est simple, expliqua Béatrice. Aux toilettes, je me mets toute nue et j'appuie mes jambes en hauteur à l'aide du mur. Comme ça, ça soulève mon cul et mon sexe. Puis, je pisse. Ca me vient dessus. Tu devrais essayer, c'est trop bon >. << Oh, mais...Toi alors... > Claire s'interrompit. Elle resta bouche bée devant de telles déclarations. Elle ne parvenait plus à cacher son trouble. Sa vessie était pleine. Il fallait bien qu'elle se libère. Elle savait que la maison était trop loin, et le temps d'y parvenir, elle se serait fait dessus. Avait-elle d'autres choix ? << Tu vas voir comme c'est simple de faire pipi dans son pantalon. Regarde, j'ai moi aussi envie... annonça Béatrice >. Le visage de la jeune fille ne trahissait aucun trouble, quand une large tache mouillée apparut sur le devant de son jean. Elle s'élargit, la pisse coulait de ses jambes, sur le sol. Et elle ne cessait de pisser. Elle se soulageait sans honte, le regard de sa sœur ne faisait qu'attiser son désire. La pisse s'interrompit comme par enchantement. Le visage de Béatrice exprimait le contentement. << Ouf, ça y est. Tu vois que c'est simple. Il faut juste se laisser aller > Claire scruta les alentours, inquiète. Puis, elle fixa intensément la mare d'urine qui s'était accumulée aux pieds de sa sœur. << Je crois que t'as raison, soeurette, approuva-t-elle. J'ai pas d'autres choix. Et puis, j'ai trop envie de faire. Alors, je vais me pisser dessus comme un petit bébé. Regarde, ça y est ça vient ! > En effet, le jean de Claire s'imprégna immédiatement d'une tache humide, qui s'étendait aux cuisses, puis aux jambes. La pisse s'écoulait le long de ses jambes tel un tourbillon bouillonnant. La source chaude s'étalait à ses pieds. A présent, elle n'était plus gênée. Une folle envie de jouir, lui tiraillait l'entrecuisse. Elle sentait monter une chaleur en elle. Elle accompagna les dernières gouttes de pluie par des gémissements sourds. Béatrice n'y tint plus. Elle s'accroupit sur le sol et agrippa les fesses de sa sœur. Son visage plongea dans la trace d'urine qui s'étalait sur le devant de son jean. Elle lapa les dernières larmes dorées. Béatrice réagit instantanément à cette nouvelle sensation. Elle frappa le visage de sa sœur avec son bas ventre. Elle poussait sur son ventre, pour évacuer les dernières gouttes. Elle jouit bruyamment. Et tout en jouissant, elle l cha un pet sonore aux odeurs soufrées. La rougeur monta aux joues de Claire. << Pouah, tu pues, s'exclama Béatrice. O, dis chie dans ton jean, s'il te plait. Dis, vas-y ! >. << Oh, ça ! Alors, là... Tu veux ça aussi, mais c'est vraiment dégueulasse. Non, je peux me retenir jusqu'à la maison >. Béatrice avait une folle envie de jouir. Elle avait baissé à ses pieds son pantalon et sa petite culotte, et elle se triturait le sexe. Le pet opportun de sa sœur a"née avait fait na"tre des idées lubriques dans son petit cerveau. L'odeur dégagée ne cachait pas l'imminence de la défécation. Elle aurait souhaité que sa sœur se prête à son petit jeu. Elle s'astiqua plus fort la pastille. Puis, son corps se raidit, elle haletait. << Oh, putain, ça y est, je viens. Je vais jouir Claire. Putain, je jouis en pissant, regarde comme ça me coule sur les jambes ! Et, je fais caca > Béatrice s'était accroupie, et tout en continuant de se masturber avec sa main droite, elle poussa sur ses sphincters. L'approche de son orgasme, l'entra"nait à se dévoiler dans sa phase la plus intime. Claire n'en croyait pas ses yeux. Elle n'allait tout de même pas faire ça devant elle, sans aucune honte. Une pointe marron de son étron apparut. Oui, elle faisait bien son caca. << Oh, putain ! Je chie, Claire, je chie ! Et je jouis, je jouis en chiant ! Si tu savais comme c'est bon >. Le trou du cul de la gamine s'évasa et l'étron débonda. Il effilait son nez merdique. La merde tomba toute chaude et bien puante sur un lit de feuilles mortes et de brindilles d'arbres. Elle fut prise de soubresauts. Ses yeux virèrent au blanc. << Ca y est ça vient, je jouis ! Je jouiiiiis, cria Béatrice, éperdue de bonheur. Et, elle s'écroula sur le sol, tout près de sa merde, repue mais heureuse >. Claire resta comme pétrifiée par la scène qui avait défilé devant ses yeux. Elle n'était pas la seule. Leur mère, Hélène, avait tout vu. Il était déjà sept heures du soir, l'heure du d"ner. Ne voyant pas ses petites filles revenir de leur ballade en forêt, elle était partie à leur recherche. Elle était propriétaire d'un vieux mas provençale près de Pertuis qu'elle avait restauré, et sans le salaire de son ex mari, elle avait bien du mal à joindre les deux bouts. Sa paye de secrétaire ne suffisait pas. La forêt s'étendait derrière la maison, et les gamines avaient pour habitude d'y venir souvent jouer. Hélène avait entendu ses deux filles parler. Elle s'était approchée sans bruit, et à l'abri des regards derrière un feuillage épais, elle avait surpris leur conversation. Elle était ravie de voir que Béatrice partageait sa passion pour les jeux d'eau. Mais, le caca, alors là ça dépassait tout entendement. Et, pourtant, elle ne sut dire ce jour là, pourquoi son cœur battait si fort, ni expliquer ce qui la poussait à se rapprocher de l'immonde étron pour en sentir son fumer. Béatrice releva sa petite culotte et son jean. Elle ne s'essuya même pas le cul. Elle observa avec amusement, la réaction de sa sœur a"née. Elle était visiblement choquée et ne trouvait pas ses mots. << Oh, vraiment, commença Claire... Quelle cochonne tu fais. Faire caca comme ça. Songe qu'on aurait pu te surprendre > << Je sais, sourit Claire. Mais, là j'avais trop envie. C'est la première fois qu'on fait pipi ensemble dans notre culotte, mais j'aimerais qu'on le fasse tous les jours, ce serait trop bon >. << Je ne sais pas. C'est vrai que c'était bon et chaud. Mais, maman pourrait nous surprendre et on passerait un sale quart d'heure. Sans compter que nos affaires sales risquent de sentir le pipi, s'inquiéta Claire >. << On a qu'à les laver à la main, et comme ça personne n'en saura rien, proposa Béatrice >. L'idée émoustilla sa sœur. Elle ne pouvait plus nier qu'elle avait aimé faire pipi dans son jean serré. Elle resta néanmoins sceptique, sur l'épilogue et la touche crade qu'y avait ajouté Béatrice. << Le pipi, ça va. Mais la merde, là non ! La tienne empeste et j'ai bien envie de partir en courrant. Vraiment, je n'ai jamais rien vu d'aussi dégoûtant >. << Oh, tu t'y feras. Moi, je fais souvent caca dans ma culotte et j'aime ça. Mais, je te force pas. Tu sais, quand je t'ai demandé de chier dans ton pantalon, je le voulais vraiment. J'avais pas encore joui et ça a été trop fort pour moi. Je voulais tout, tout de suite. Dis, tu pourras le faire un jour, pour moi. Tu verras, c'est trop bon. C'est chaud dans la culotte, et quand le caca est mou, qu'il s'écrase sur mes fesses ou touche mon minou, c'est vraiment super, déclara Béatrice > Claire haussa les épaules. Elle ne comprenait pas sa sœur et son attirance pour les excréments. Mais, une heure auparavant, n'aurait elle pas eu la même aversion pour les jeux pipi. Elle fixa intensément sa petite sœur, le désire se lisait dans ses yeux. Elle poussa un soupire, et avec un moue dubitative, elle consentit. << Peut être un jour, qui c'est... Mais, ce sera quand je l'aurais décidé. Là, aujourd'hui, c'est trop pour moi. Viens, filons. Je ne peux plus sentir l'odeur de ta merde. Sinon, je sens que je vais gerber >. Elle prit Béatrice par la main, et elles s'éloignèrent à pas rapide du lieu de leur infamie. Hélène attendit quelques minutes, le cœur battant. Elle sortit, alors de sa cachette, pour contempler l'énorme étron moulé à ses pieds. Hélène se savait plus quoi penser. Toute gamine, elle s'adonnait avec passion à ses jeux pipi. Vers treize ans, un jour où la passion sourdait son ventre, la poussant à dépasser ses propres interdits, elle fit pour la première fois caca dans sa culotte. Son orgasme dépassa en puissance les précédents. Mais, elle en ressentit une véritable honte. Dès lors, elle ne joua avec ses propres excréments qu'avec parcimonie, et quand elle était bien excitée. La dernière fois, qu'elle se chia dessus, ce fut quand elle avait quinze ou seize ans. Elle ne pensait pas qu'elle pouvait resombrer dans cette perversion sans nom. Aujourd'hui, elle ne savait plus. Hélène glissa sa main sous son jean. Elle débusqua sa chatte poilue, et elle tritura les lèvres baignées d'une mouille ardente. Elle poussa des ahanements sourds. La scène l'avait émoustillait. Elle allait jouir. Mais pas comme ça. Elle se laissa tomber sur le sol. Puis, elle baissa son jean et sa petite culotte à ses genoux. Ses doigts accélérèrent le mouvement. Ses affaires la gênaient, elle enleva carrément son pantalon et sa culotte en les jetant négligemment aux pieds d'un arbre. Elle était maintenant cul nu. La douceur d'un soir de juin vint effleurer son sexe. Elle était accroupie à quelques pas de la merde de sa fille. L'odeur des excréments lui fouetta le nez. Elle tomba sur le sol herbeux, allongée de tout son long. Sa tête avança jusqu'à la merde. Elle huma la senteur poivrée. Elle allait venir. Elle jouissait le nez dans la merde de Béatrice. Son corps se raidit dans un soubresaut ultime. *************************************************************************** << Puis-je vous aider, mademoiselle ? > Plof ! Retour brutal à la réalité. Hélène se retourna pour faire face à un jeune homme qui devait tout juste avoir dix-neuf ou vingt ans. Son apparence physique était quelconque, mais il ne manquait pas de charme. Henri, tel était son prénom, avait été embauché il y a quatre mois, et il guidait les clients dans leur choix. Hélène avait toujours pensé qu'il avait un faible pour elle. A chaque fois qu'il la voyait entrer dans le sexe shop, il se débrouillait pour venir la conseiller. Il pensait qu'elle n'était pas mariée, au nom de l'idée reçue qu'une femme mariée ne fréquente pas ces lieux de luxure. << Vous savez, on a reçu aujourd'hui de nombreuses vidéos uros. Je m'apprêtais d'ailleurs à les placer sur l'étagère, confia-t-il >. Comme la jeune mère venait au moins une fois par semaine dans ce magasin, Henri avait pu se familiariser avec ses goûts. Elle se dirigeait toujours vers le stand uro, elle louait trois ou quatre DVD, pour les rapporter le lendemain. << Non, merci, ça ira Henri. J'ai ce qu'il faut. On verra la prochaine fois, dit elle, puis se ravisant, elle continua timidement, j'aimerais voir ce que vous avez en scato >. La scène de la semaine dernière l'avait émoustillée. Depuis le matin, elle avait ressenti une forte envie de déféquer, et toute excitée, elle pensait franchir un dernier pas. Ce n'était pas la première fois qu'elle visionnait une vidéo scato. Mais, elle les avait toutes téléchargées sur Internet, achetées sur le site HWV MEDIA, ou bien sur le P2Peer à l'aide d'emule. Elle tapait dans la case Rechercher le terme scat, et elle avait à disposition de nombreuses vidéos. Certaines de ces vidéos étaient vraiment excitantes, notamment les japonaises ou les brésiliennes, mais cela ne l'avait jamais convaincue de passer à l'acte. Ce soir elle allait le faire. Oui, elle se sentait prête. Elle allait faire caca au lit tout en regardant une de ces vidéos. << Oh, je ne sais...bredouilla le jeune homme, visiblement mal à l'aise >. Son sourire béat avait disparu. En amoureux, cela ne le gênait pas qu'Hélène s'intéresse à l'uro. C'était une petite perversion, en comparaison du fantasme scatophile. Il semblait déçu. Hélène sourit en voyant sa réaction. Cela aurait pu être une grande histoire d'amour, pensa-t-elle ironiquement, mais là visiblement, c'est tombé à l'eau. << J'ai trois DVD, si ça vous intéresse, se reprit il en présentant les bo"tiers >. L'excitation de la jeune femme monta d'un pic. Les deux premières vidéos allemandes ne présentaient aucun intérêt. C'était toujours la même chose. L'homme chiait dans la bouche d'une femme souvent très belle, certaines ne semblaient pas apprécier le traitement. Elle préférait les vidéos de lesbiennes, quand le fantasme était partagé par deux jolies femmes. Mais, le troisième DVD était différent. Le bo"tier montrait une jeune blonde désirable, qui s'adonnait en solo aux jeux scatos. La vidéo était franco-néerlandaise et s'intitulait shittygirls01. Elle prit la pochette et la présenta au jeune homme rougissant. << C'est celle là que je vais prendre, avec les trois autres vidéos dont j'ai noté le numéro, s'exclama-t-elle en souriant >. Après avoir réglé le montant demandé, Hélène sortit promptement du sexe shop. Elle rentra dans sa voiture et mit le contact. Son cœur battait très fort dans sa poitrine. Elle était suffisamment excitée pour passer les limites. Oh, ce soir je vais me conduire comme une grosse cochonne, comme la jeune femme dans la vidéo, pensa-t-elle. Comment en était-elle arrivée à cette extrémité ? La scène de la semaine dernière avait fait monté sa température. Mais, après avoir joui, elle avait essuyé avec dégoût le bout de son nez tout merdeux. Elle s'était jurée qu'on ne l'y reprendrait plus. Et pourtant...Hier soir, une nouvelle surprise l'attendait. *************************************************************************** << Ah, ça mais...Tu as fait caca dans ton pyjama ! > Après le d"ner, Béatrice s'était éclipsée subrepticement. Elle n'avait même pas fait d'apparition dans le salon pour regarder la télévision. Juste avant de se coucher, Hélène avait voulu rappeler à sa cadette d'aller prendre son bain. Béatrice pouvait être assez négligée, et si sa mère n'était pas derrière elle pour l'obliger à se laver tous les jours, elle aurait facilement passé son tour. Hélène était entrée sans frapper dans la chambre de sa fille. Elle fut accueillit par une odeur nauséabonde. Et là ce qu'elle vit la laissa un moment sans voix. Béatrice avait retiré son haut de pyjama, et baissé à ses pieds le bas. Sa culotte de pyjama était pleine d'un gros étron recroquevillé et écrasé. Les fesses de la gamine étaient barbouillées de merde. Et de dos, à ses gémissements, sa mère put en déduire qu'elle se masturbait. Le caca libérait sa pestilence, confiné dans une petite chambre sous les toits, les fenêtres fermées. Béatrice se retourna brusquement et défaillit en voyant appara"tre sa mère dans l'embrasure de la porte. Son visage devint blême. << Maman, bredouilla la jeune fille, je... >. << Ta gueule, s'écria Hélène visiblement en colère ! Tout ce que tu pourras me dire ne pourra qu'être mensonger. Tu vas peut être me faire croire que c'est un accident >. << Mais c'est vrai, maman. Je n'ai pas pu me retenir. J'avais trop envie, et..., commença à s'expliquer Béatrice >. << Me prends pas pour une conne ! répliqua Hélène > Béatrice fondit en larmes. Mais cela ne fit qu'accentuer la colère de sa mère. Elle sortit de ses gonds et s'écria : << Arrête de pleurnicher, et regarde moi dans les yeux quand je te parle ! > << Mais, maman, pourquoi tu me crois pas, c'est un accident >. S'en était trop. Hélène gifla sa fille violemment. Puis, elle l'agrippa par les épaules et la secoua. << Mais, putain ! Qu'est-ce qu'on va faire de toi, petite cochonne ? Arrête de me dire des bêtises, j'ai bien vu que tu te branlais, hein. Tu jouis dans ta merde, comme une truie. Est-il possible d'être comme ça. Retire ta culotte de pyjama ! > Hélène l cha sa fille, qui tout en continuant de pleurnicher, obtempéra. Sa mère prit alors la culotte merdeuse et invectiva de plus belle Béatrice. << Putain, regarde les cochonneries que tu as faites. C'est donc ça que tu aimes, tu vis dans ta merde comme les porcs >. Elle agrippa la tête de sa fille, et la baissa le nez dans sa merde. Elle frotta la bouillie contre son visage, pour lui faire passer l'envie de recommencer. Elle rel cha son étreinte, Béatrice avait le visage tout maculé de ses cochonneries. De lourdes gouttes d'eau roulaient sur ses joues et se maculaient de la boue glaireuse. << Allez maintenant, vas te nettoyer et prendre ton bain ! Puis, tu pourras aller te coucher. On reparlera de ça demain. Pour ce soir, je ne veux plus te voir >. Elle sortit de la chambre avec la culotte de pyjama. Elle descendit au rez-de-chaussée pour faire mine d'aller nettoyer le pyjama souillé. En, elle attendit dans la cuisine, que sa fille s'enferme dans la salle de bain, avant de remonter dans sa chambre qui donnait au fond du couloir, distante de trois portes de celle de Béatrice. Elle n'avait pas feint la colère. Sur le moment, elle s'était emportée. Puis, elle se calma vite. Elle agrippa la culotte de pyjama contenant le paquet de merde et huma la forte odeur. Sa chambre s'était aussitôt imprégnée de l'odeur. Puis, elle approcha le paquet de son visage. L'odeur de pourriture devint plus forte, réveillant des envies inassouvies chez la jeune femme. Elle avait invectivé Béatrice, et elle-même devait se conduire comme une truie. Elle jeta le paquet sur le sol et retira sa chemise de nuit. Elle se précipita sur le lit toute nue, et mouillé de la nuit précédente. Elle pissa et se branla jusqu'à l'orgasme. Se réveillant de sa jouissance, elle cacha la culotte merdeuse dans son placard, avant de s'endormir. *************************************************************************** Hélène trouva ses trois filles, affalées sur le fauteuil du salon, en train de regarder la télévision. Béatrice, certainement impressionnée de la discussion de la nuit dernière, n'osait pas regarder sa mère. Hélène prépara le d"ner et le repas se déroula dans le calme. Quand la table fut débarrassée, et le lave vaisselle chargé, Hélène prit un air grave de circonstance. << Julie, va jouer dans le jardin, j'ai à parler à tes deux sœurs ! > La petite dernière fit une moue dubitative, mais obtempéra. Une fois sortie, Hélène continua. << Venez, suivez-moi dans le salon, dit-elle >. Elle fut suivie comme son ombre par Claire et Béatrice, plus craintive que jamais. Une fois dans la pièce, elle reprit. << Bon, vous savez certainement de quoi j'ai à vous parler, n'est-ce pas, dit-elle en fixant ses deux filles. Je tenais à vous dire, que je vous ai surprises la semaine dernière en train de faire pipi dans vos jeans. Si, si, vous ne pouvez nier >. La révélation fit l'effet d'une bombe. Claire p lit, elle détourna le regard gêné. Béatrice, elle s'attendait à une discussion animée. Elle fut presque soulagée de ne plus être la seule en position d'accusée. << Vous pouvez penser que je vais être en colère contre vous. Je devrais l'être et je ne le peux pas. Je vais vous dire la réalité. Je devais avoir votre ge quand je jouais à pisser dans mon pantalon. Et vous savez quoi, je le fais encore aujourd'hui. J'en retire une jouissance incroyable >. Hélène fixa l'assistance. Les deux gamines ne s'attendaient pas à cela. Maman, leur mère s'adonnait à des jeux aussi cochons. Elles ne purent dire un mot. << Je comprend votre surprise. J'ai moi-même été une gamine, et je trouvais jouissif de pisser dans ma culotte. Quant au caca, dont tu sembles raffoler, Béatrice, j'ai quelques fois fait dans ma culotte. Si, hier je t'ai engueulée, c'est que je ne voulais pas accepter que tu te conduises comme un goret. Nous les parents, on a souvent un rôle à jouer, c'est d'interdire ce qui est mal, même si quand on était enfant on a fait les mêmes bêtises. Ce soir, je ne pense pas ce que je t'ai dit, hier >. << Quoi, tu veux dire, osa timidement Béatrice... >. << Ce que je veux vous dire, c'est que vous êtes libres de votre corps. Et si vous trouvez plus jouissif de vous pisser dessus, alors tant mieux pour vous. Vous pourrez le faire dans vos jeans, ça me gêne pas. Et toi, Béatrice, ne nie pas je t'ai vue hier soir. Je sais que tu te masturbais après avoir fait caca dans ton pyjama. Et bien, tu peux le faire quand tu auras envie. Seul compte le plaisir qu'on se procure >. << Oh, maman, s'exclama Claire, toute surprise. On peut donc faire pipi sans problème dans nos jeans. Oh, mais c'est super. On n'aura donc plus à se cacher >. << Oui, et caca aussi. Tu devrais essayer Claire, demande à Béatrice la sensation qu'on en retire >. << Oh, oui Claire. Maman a raison, s'écria Béatrice toute excitée. Tu devrais le faire avec moi. C'est tout chaud au fond de la culotte, ça colle aux fesses, et vraiment c'est très excitant que de sentir ce paquet de merde >. << Peut-être...s'enquit Béatrice avec une moue dubitative >. << Vous pourrez faire caca et pipi dans vos affaires tant que vous voudrez. Mais, il faudra simplement faire attention à ne pas le faire en présence de votre petite sœur. Il faudra être discrètes, compris. Elle est trop jeune pour comprendre. Et, puisqu'on est en vaine de confidences, je dois vous avouer que je fais tous les soirs en me branlant, pipi au lit. Ce qui fait que mes draps sont constamment mouillés. Vous pourrez aussi faire votre pipi et même votre caca dans votre lit la nuit >. Les visages des deux gamines se décomposèrent. Leur mère leur autorisait de souiller leur lit sans aucune honte. << Alors on peut faire caca et pipi sur les draps, demanda Béatrice, mais c'est super >. << Oui, Béatrice, mais à la seule condition, que vous nettoyiez vos saloperies le lendemain matin. Il faudra aussi laver les draps >. << Oh, pas de problème, maman, répondirent en même temps les deux fillettes >. << Bien, fa"tes ce que vous avez à faire. Pissez, chiez dans vos jeans. Ou bien fa"tes le au lit. Quant à moi, ce soir j'ai une très forte envie de faire caca. Et je sens que je vais salir mon lit comme jamais. Demain, le résultat sera terrible. Mais, là j'ai trop envie. Alors, je vous laisse les filles. Ne vous couchez pas trop tard. Ah, n'oubliez pas de coucher Julie, et surtout qu'elle n'apprenne rien de ce qu'on vient de décider ce soir >. Hélène abandonna ses deux filles à leur turpitude. Elle gagna sa chambre à pas rapides. Son cœur battait à tout rompre dans sa poitrine. Elle n'aurait jamais cru être capable de se confier ainsi à ses filles. Ce soir, l'excitation l'avait emporté sur la prudence. Elle ne voulait plus se cacher. Ce soir, tout simplement, devait être inoubliable. Son envie de chier s'était réveillée. Elle retira la couverture du lit, pour ne laisser que les draps. Puis, elle se dévêtit entièrement. Nue, elle s'allongea sur le lit. Elle prit la télécommande posée sur la table de chevet. Elle enleva la veille du téléviseur et enclencha le lecteur de DVD. La vidéo commença. Les premières vidéos uros, étaient bien, mais cette nuit Hélène en voulait plus. Elle arrêta le film, se leva pour le remplacer par Shittygirls01. Elle sélectionna la scène avec la jolie blonde qui se prénommait aussi Hélène. La jeune femme se serait damnée pour rencontrer une femme comme ça. Elle était sublime que s'en était irréel. Elle se masturba furieusement en assistant aux dépravations de l'actrice. Cette dernière fit pipi au lit puis caca. Elle jouait avec sa merde. Elle s'en badigeonnait le sexe, les seins. Elle approchait la merde de son visage d'ange, pour en happer quelques morceaux. Elle avalait, oui elle avalait les excréments comme si c'était un g teau au chocolat. Enfin, en apothéose, elle macula sa chevelure dorée de la mélasse brune. Hélène gémit bruyamment sans peur d'alerter ses filles. La vidéo s'arrêta sur la bande annonce de la prochaine vidéo qui promettait beaucoup. La jeune femme voulait jouir, son entrecuisse la démangeait. Elle rehaussa son cul en mettant ses mains derrière son dos. Puis, elle poussa sur ses sphincters. Une pointe de son étron avait déjà forcé son anus. Elle refoula son envie. Enfin, elle se détendit. Son envie de chier était arrivée à un état avancé. Elle n'avait plus qu'à laisser faire. La merde érupta de son trou du cul. Elle chiait allègrement, sans fausse pudeur. La merde s'enroula sur les draps, les maculant d'une glaire foireuse. C'est maintenant, pensa-t-elle, il faut que je me collette avec cette merde, que je m'en foute sur tout le corps. Elle mit en exécution ses pensées. Elle agrippa l'étron gras entre ses mains. Elle le réduisit en bouillie et frotta son vagin, barbouilla son ventre et ses seins. Elle allait jouir en se frottant à sa crasse. Elle criait sa joie. Prise d'une impulsion subite, elle se roula le visage en avant contre les draps souillés. Son visage s'imprégna de sa merde. Elle bougeait au rythme de son orgasme naissant. Son corps se tendit comme un arc, et elle retomba sur le lit. Elle en voulait plus. Elle descendit du lit toute merdeuse de la tête aux pieds. Elle ne se préoccupa point de maculer le plancher de quelques traces brunes. Hélène se saisit du pyjama inf me de Béatrice. L'étron avait durci, mais exhalait encore son odeur fétide. Elle eut à ce moment une idée lumineuse qui pouvait la faire jouir avec plus d'intensité. Elle rapprocha sur le côté de son lit, le miroir en pied qui se tenait derrière la penderie. Et toute heureuse de sa nouvelle résolution, elle se coucha sur le lit de façon à voir ses fesses et tout son corps merdique refléter dans la glace. Elle plongea ensuite son visage dans la culotte souillée. Elle imprégna son visage d'une gangue brune. Sa chevelure disparut sous l'épaisse crasse noire. Elle souleva un peu son cul de façon à voir son anus s'étirer dans le miroir. Elle frotta ses mains salies contre son sexe. Et ce faisant, elle poussa sur ses sphincters. Quelques crottes se dégagèrent et tombèrent su le lit. << Han, han, gémit elle bruyamment. Peu lui importait que ses filles l'entendent >. L'ultime jouissance vint sans prévenir. Elle poussa plus fort, son anus se déchargea de son trop plein, et tout en chiant, elle s'écria : << Oh, oui, je jouiiis ! Trop bon >. Epuisée, elle posa sa tête sur l'oreiller. A travers le brouillard qui s'épaississait, elle put se raccrocher à une pensée. << Ce serait tellement bon, de le faire avec mes filles. Demain, il faudra que je leur en parle. Même Julie, son petit corps maculé de ma merde... > Elle s'endormit dans sa crasse. La chambre ressemblait à un champ de bataille, tant le désordre régnait.