Note: This story was dynamically reformatted for online reading convenience. LES PETITES MERDEUSES CHAPITRE I - Le caca culotte Synopsis : g/g, caca culotte. Sarah et Mélanie sont couchées de tout leur long sur le lit. Elles sont quasiment nues, ne portant que leur petite culotte. Elles devisent des dernières nouvelles de l'école et des garçons de leur classe. Les deux gamines ont maintenant onze ans. Elles se connaissent depuis la maternelle. Et, ce vendredi après-midi, comme elles n'ont pas cours, elles ont investi la chambre de Sarah. Elles ont l'habitude de se mettre à l'aise et de ne garder sur elles que leurs dessous. Sarah est de très loin la plus jolie. Son visage d'ange est parfaitement mis en valeur par une chevelure dorée lui retombant sur les épaules. Son immense touffe provoque chaque jour l'éloge de sa mère, et l'envie de ses sœurs. Elle peut être coiffée de n'importe quelle façon, en chignon, en nattes, ou bien simplement une coupe plus classique. Le chignon lui donne une allure très stricte, trop pour son ge. Il lui donne l'illusion d'une fille sage et rigoureuse. Les nattes, au contraire accentuent son côté petite peste. L'arrivée en 6ème de cette petite gamine, dont on devine par ses traits qu'elle sera plus tard une très jolie femme, n'est pas passée inaperçue. Ses petits camarades n'ont eut de cesse de lui faire des avances, du plus timide qui eut droit à un refus courtois, mais réservé ; du plus fruste qui s'exposa à un refus fait dans les mêmes termes. Elle est comme ça Sarah. On peut la croire effacée, et elle vous étonne par son langage ordurier. On peut la croire sage, élève disciplinée, et elle peut vous démontrer qu'elle possède plus de vices que de vertu. Mélanie est tout son contraire. D'un naturel timide, elle vit dans l'ombre de sa camarade. Sans être une beauté, elle possède un certain charme. Les cheveux coupés courts, bruns, et un visage rieur. De bonne composition, elle est toujours prête à rendre service. Elle est surtout très influençable. Sarah est son mentor. Qu'une idée tordue ou saugrenue lui passe par la tête, et elle n'aspire qu'à la voir exécuter par Mélanie. Ne croyez pas que notre héroïne souffre d'être ainsi manipulée comme un pantin. Il existe des personnes qui renoncent à toute velléité, pourvu que ce soit l'autre qui prenne l'initiative. << Ouah, trop beau. Avec lui c'est quand il veut ! s'exclame Sarah. Les deux gamines contemplent le poster de leur chanteur favori, et comme toutes les jeunes filles de cet ge, elles sont emportées par un élan glamour, où le sexe points indiciblement. Sarah étale les posters sur le lit. Elle sélectionne celui qu'elle veut garder et range les autres dans son placard. << Voila, c'est celui-là que je vais coller sur le mur >. Mélanie fait une moue compréhensive. Elles ont partagé les frais lors de l'achat du magazine, et c'est encore une fois Sarah, qui choisit les meilleures photos, et laisse ce qu'elle ne souhaite pas garder à sa copine. Après avoir accroché le poster au mur en face de son lit, elle se jette prestement sur le matelas. En s'allongeant, près de Mélanie, elle fait une grimage qui ne passe pas inaperçue. << Ah, non ne me dis pas que tu as envie de faire caca ! s'écrie Mélanie >. << Gagnée et je crois que ça urge ! > Sarah est bien la plus délurée. Elle ne semble souffrir d'aucune pudeur dans son comportement parfois outrancier. D'autres voient la délivrance de la vessie et des intestins comme l'acte le plus intime. Sarah ne conçoit pas de pareilles sottises. Elle exhibe depuis longtemps devant sa copine ses besoins petits ou gros. Quand une envie la prend, elle relève sa jupe, baisse sa culotte et pisse sans honte. Elle ne prend même pas le temps de s'accroupir. Depuis presque trois ans, elle s'amuse à pisser debout << comme font les mecs, dit elle dans ces moments là >. Au début, par timidité, elle faisait bien attention à ne pas se salir. Puis, plus audacieuse, elle trouva plus amusant de se pisser sur les jambes : << Oh, je me pisse dessus. Regarde, Mélanie, je m'en mets plein les jambes. Je vais puer la pisse tout à l'heure >. Et elle riait aux éclats. Cela n'amusait pas du tout Mélanie, qui éprouvait de la gêne en sa compagnie. Elle éprouve tout autant de plaisir à s'exposer en train de déféquer. Souvent, Sarah ne s'est pas exonérée depuis plusieurs jours. Elle aime se retenir le plus longtemps possible. Quand l'étron frappe à la porte et qu'elle n'en peut plus, elle relève sa jupe et tout doucement, elle laisse échapper la merde. Un frisson vient lui effleurer la colonne vertébrale, elle jouit secrètement de chier. << Je crois qu'elle sera bien dure, cette fois-ci. Et ce sera un sacré boudin, je n'ai pas chié depuis six jours ! > A ces mots, Mélanie s'empourpre et détourne le regard de sa copine dont le visage se marque de rides. Sarah grimace pour empêcher son anus de s'évaser. Mais elle sait que dans ces moments, de petites limaces brunes s'échappent et viennent tacher son fond de culotte. Des pets odorants accompagnent la coulée merdique. << Oh, tu pues, salope ! gémit Mélanie. Qu'est-ce que t'attends pour aller aux toilettes, tu vas quand même pas faire dans ta culotte >. << Non, pas encore. C'est mieux quand ça presse> Un pet plus puissant et plus odorant accompagne ces mots. Mélanie semble défaillir. Elle se lève du lit pour échapper à l'infection. Mais au moment où elle consent à porter son regard sur sa copine, elle voit une Sarah en pleine concentration. Son visage est strié de rides. << Mais, qu'est-ce que tu fais, s'alarme Mélanie > << Je crois que je ne vais plus pouvoir me retenir. Oh, putain, il faut que je chie et maintenant ! s'exclame-t-elle. Je salis déjà le fond de ma culotte >. Sarah se lève précipitamment du lit. Dans son mouvement, Mélanie a pu apercevoir la souillure de sa culotte. Dégoûtée, elle porte un mouchoir à son nez. << Merde, Sarah ! Tu pues, c'est l'infection, tu sais >. << Ben, quoi, ça pourrait être pire. Je pourrais faire dans ma culotte, là dans ma chambre, si je voulais, s'écrit Sarah >. << Tu as déjà commencé, petite salope. Regarde le fond de ta culotte, il y a de la merde >. Sarah sourit de son méfait, nullement gênée. Mélanie conna"t ce sourire vicieux. Quand notre chère tête blonde l'arbore, c'est qu'elle a une idée derrière la tête. Son visage, à l'instant se creuse de rides. Elle fait des efforts surhumains pour se retenir de chier. Puis, avec la même expression, elle interpelle sa jeune copine. << C'est ma culotte merdeuse qui te gêne, et bien s'il n'y a que ça pour te faire plaisir >. Aussitôt, Sarah achève de se dévêtir en retirant sa petite culotte. Elle s'allonge de nouveau sur le lit, puis elle soulève son cul et écarte les fesses. Le trou plissé ainsi révélé, est imprégné d'une fine couche de merde. Ce n'est pas la première fois que la jeune fille exhibe son trou du cul, mais il n'avait jamais été aussi boueux. Mélanie manque de défaillir. Pourtant, elle ne cherche pas à fuir l'apparition. Elle est comme pétrifiée à la vue de la méduse. << Oh, mon Dieu ! Sarah, comment peux tu me montrer ton trou du cul qui est tout sale ? > << Attend, t'as pas tout vu, je peux faire pire, et comme pour confirmer ses dires, elle porte son index gauche à son trou. Elle le macule d'une épaisse couche d'excrément. Elle retire le doigt, le porte à son nez et le renifle comme un chien. << Mais, t'es folle... > Elle n'a pas le temps d'achever sa phrase. Sarah lèche maintenant son index et le rend propre comme un sou neuf. L'action lubrique surprend Mélanie. La jeune blonde, prend la culotte et la frotte sur son nez. L'action aurait pu achever de dégoûter sa copine. Il n'en est rien. Elle regarde la scène avec curiosité. Elle l'a vue tant de fois chier. Elle a pu constaté qu'elle peut déféquer d'énormes étron. Et à chaque fois, elle contemple l'ouvrage. Cette fois là n'est pas différente. Une envie malsaine l'oblige à ce voyeurisme. C'est toute l'ambiguïté de leur relation, l'une montre, l'autre regarde. Ce rituel s'accompagne souvent de plaisirs secrets. Sarah s'est barbouillée le nez et la figure de sa mixture. Une odeur rancie se dégage de la pièce. << Vraiment, tu es dégoûtante, Sarah, je ne comprend toujours pas comment tu peux faire ça. Et comment tu peux aimer la merde... > << Et, toi Mélanie pourquoi, tu me regardes faire si ça te dégoûte tant. T'es aussi cochonne que moi, sauf que toi tu ne te l'avoues pas. Tu aimes aussi la merde. Je pue quand je pète et je chie et tu restes là pendant que je fais caca >. << Oh, c'est pas ce que tu crois..., tente de se justifier la pauvre Mélanie tout en s'empourprant >. Sarah remet sa culotte. Elle se redresse sur le lit. Elle adresse alors un regard inquisiteur sur sa copine. Un sourire vicieux barre son visage. Une idée vraiment loufoque vient de germer dans son esprit. Oh, ce qu'elles pourraient faire à l'instant... << Tu sais, Mélanie, quand tu m'as engueulée tout à l'heure parce que j'arrivais pas à me retenir, tu m'as suggéré une chose qu'on pourrait faire > << Moi, je t'ai suggéré quelque chose ? > << Oui, tu sais quand tu m'as dit que je n'allais tout de même pas faire caca dans ma culotte, et bien ça m'a donné une idée de le faire pour de bon... > << Quoi donc, demande Mélanie. Puis se reprenant : Oh, non, tu vas tout de même pas chier dans ta culotte, c'est dégueulasse, et puis y faudra après tout nettoyer > << Oui, je sais. Mais je le fais souvent, à la maison. J'aime bien sentir cette masse chaude caresser mon cul... > Interloquée, Mélanie ne sait plus quoi dire devant tant de révélations. Son cœur se met à battre la chamade. Elle ose un regard et toute timide, elle ose poser la question qui la taraude. << Tu as déjà fait caca dans ta culotte ? Mais, c'est vraiment dégueulasse, et je ne sais pas si... >. << Tu sais pas ce que tu manques, coupe Sarah. La sensation est vraiment extraordinaire et si tu voulais l'essayer avec moi, tu verrais de quoi je parle >. << Non vraiment, je crois pas que ce soit fait pour moi et puis ça pue >. Mélanie a prononcé ces dernières paroles sur un ton monocorde, sans aucune conviction. Sarah sourit de satisfaction. Elle sait que le poisson est ferré, il n'y a plus qu'à le tirer hors de l'eau. Elle s'est approchée de sa petite copine, puis dans un souffle, elle lui susurre : << Personne à l'école le saura. Et puis, si tu crois que je l'ai pas déjà fait avec d'autres... > << Ah, oui et qui ? demande Mélanie, intriguée > << Ben avec ma petite sœur, pardi ! Tu verrais l'état de sa culotte quand elle fait ça. Je sais pas ce qu'elle mange mais sa merde pue plus que la mienne >. La révélation a surpris la jeune gamine. Elle pensait que Sarah l'avait fait avec un autre camarade de sa classe. Mais, là vraiment, ça dépasse tout entendement. Sa petite sœur, Ariane est une toute petite fille toute frêle, toute jolie avec ses cheveux blonds bouclés. On lui aurait donné le bon Dieu sans confession. Elle a aujourd'hui sept ans, c'est une gamine fra"che comme le jour. Une question germe à l'esprit de Mélanie, elle n'a pas le temps de la poser. << Tu veux sans doute savoir quand j'ai fait ça avec Ariane. Et bien, je le fais tout le temps avec elle. Quand on sait qu'on a envie de faire caca, on se retient le plus longtemps possible. Elle a vraiment des idées pour son ge. Puis on va aux toilettes, mais souvent on le fait dans les bois, à l'abri des regards. Quand on est aux toilettes, on garde sur nous que notre petite culotte. Elle n'a pas de tétés, mais c'est très bien comme ça. Puis chacune après l'autre on fait caca dans la culotte. Des fois on reste la journée entière avec la culotte merdeuse. C'est vraiment délicieux de sentir ce paquet merdeux entre mes fesses. Puis, on jette le contenu aux toilettes et je nettoie nos deux culottes avant de les mettre en machine. Maman n'y voit que du feu >. << Et depuis quand faites vous caca dans vos culottes, demande Mélanie ? > << Oh, si je me souviens bien, Ariane devait avoir trois ans, oui c'est ça dans ces eaux là. C'était donc il y a un peu plus de quatre ans. Et, elle a eu un accident, elle a salopé tout dans sa culotte. Moi, je faisais déjà caca dans la culotte depuis un an. Je lui ai dit que c'était pas grave, et je me suis aussi à faire devant elle. Depuis, on le fait souvent >. << Oh, t'es vraiment une grosse truie. Accepter de faire ça avec ta propre sœur, c'est vraiment quelque chose que je ne peux pas comprendre >. Sarah se tortille, et met une main sur ses fesses pour ne pas tout l cher. Un masque de douleur illumine son beau visage. Mélanie comprend alors que la défécation est imminente. << Ecoute, Mélanie, j'adorerai en parler avec toi. Mais là tu vois ça urge. Je peux plus me retenir. Alors, soit tu le fais avec moi, soit tu restes dans ma chambre et tu attends que j'aie fini >. Sarah se précipite vers la porte de la chambre, elle l'ouvre en trombe et elle court jusqu'aux toilettes. Elle sent une présence derrière elle. Mélanie l'a suivie. Elle l'aurait parié, que derrière cette petite fille innocente se cache une nature plus volcanique. << Tiens, je croyais que tu voulais pas le faire avec moi, s'exclame sur le ton de l'ironie >. << Non, c'est pas ça, rougit notre petite héroïne, je suis sûre que t'es pas cap de le faire >. << Pas cap de le faire, alors tu vas être servie. Mais, ne viens pas te plaindre de l'odeur. J'ai une merde qui pue le moisi >. Le visage d'ange de l'adorable petite frimousse blonde se marque de rides. Sarah en pleins efforts, pousse des soupirs bruyants. Oui, elle le fait. Elle fait caca dans sa culotte, là devant sa copine, dans les toilettes. Mélanie aurait pu s'enfuir. Mais elle reste là à contempler l'ouvrage en spectatrice. En voyeuse qui prend du plaisir dans ce qu'elle voit. Elle comprend maintenant que toutes les exhibitions de Sarah, même les plus dégoûtantes sont faites pour assouvir ses propres fantasmes. Ce qu'elle n'ose pas faire, la jeune blonde plus délurée l'exécute. Et notre amie vit son fantasme par procuration. Le visage de Sarah de blême devient écarlate devant l'effort. << Oh, ça y est ça vient. Je sens la merde contre ma culotte. Oh, je chie et tout en susurrant ces paroles graves, elle glisse sa main droite sur le devant du tissu. Elle l'écarte et ses doigts inquisiteurs viennent triturer son sexe glabre >. La dernière poussée est accompagnée de borborygmes. Le fond de la culotte se tache de brun. La marque honteuse s'étend et grossit au fur et à mesure. Les excréments viennent se mouler au fond de la culotte. Sarah laisse couler la merde avec un contentement peint sur son visage. Elle s'est débouchée le trou du cul, et n'a maintenant plus qu'à laisser s'échapper l'étron. L'odeur de la merde imprègne aussitôt la pièce. Mélanie est restée sans bouger. Elle a vu la bosse grossir, grossir... Elle continue de chier avec des trémoussements de joie. << Oh, putain, ça y est je remplis toute ma culotte. Oh, putain que c'est bon >. << Mais comment, tu peux dire ça. C'est ta propre merde, s'exclame une Mélanie peu convaincue >. << Oui, ma merde. Oh, je suis une Gorée, je chie, je chie. Oh, mon Dieu, je sens que ça vient, je jouis, je jouiiis >. Le corps de Sarah se tend comme un arc au sommet d'une jouissance contre nature. Son visage exprime le nirvana. Puis, elle retombe dans un choc lourd sur le sol. Maintenant repue, elle s'efforce de trouver l'air qui semble lui manquer. Inquiète, Mélanie ne s'explique pas l'attitude de sa copine. Elle vient la secouer, afin de la réanimer. << Qu'est-ce que t'as Sarah, t'es p le, tu tiens même plus debout >. << C'est rien, Mélanie, c'est normal. J'ai joui. Tu sais pas ce que c'est un orgasme ? Je t'apprendrai, tu verras, c'est trop bon. Je voulais tout tout de suite, et maintenant je suis vidée. Et, je m'en suis mis partout >. En effet, la merde a été écrasée quand elle retombée sur le sol. Elle s'est échappée de tout côté, maculant les fesses et les jambes de Sarah. Elle en a cure, c'est ce qu'elle voulait. L'odeur est horrible. La petite salle de bain sent la merde rancie. Mélanie est sur le point de gerber. << Putain, je sais pas ce que tu manges, mais ça pue vraiment >. Puis se redressant elle colle un baiser sur la bouche de sa copine tout en effleurant de sa main gauche le paquet merdeux. Un bruit caractéristique de matière macérée se fait entendre. Le fumer devient plus insupportable. << Oui, c'est ça Mélanie, met moi en partout. Je veux être toute merdeuse >. Mélanie frotte avec plus de conviction la culotte souillée. La merde se fraye un chemin entre les jambes, elle s'échappe en filaments poisseux. Elle n'est plus dégoûtée. Elle a atteint le point de non retour. Le vice était enfui tout au fond d'elle-même. Il a suffi d'une révélation, pour qu'elle prenne conscience du pouvoir autodestructeur de sa passion. Sarah reprend peu à peu son souffle. En relevant la tête, elle aperçoit le visage vicieux de sa copine. << Tu sais, Sarah, j'ai envie de faire caca aussi et je pourrais le faire aussi dans ma culotte comme tu me l'as demandé >. Ravie, Sarah attire le visage de Mélanie. Elle effleure de ses lèvres sa joue droite. Et dans un murmure, elle l che : << Vraiment, on va bien s'amuser. Je suis ta gorette, tu es ma truie, le groupe des petites merdeuses. Je ferais tout ce que tu me diras de faire >. Dans un soupire, elle embrasse Mélanie. Les deux amies se roulent sur le sol en écrasant la merde entre leur corps. << Je crois que je vais aimer ça, lance Mélanie tout sourire >.