Note: This story was dynamically reformatted for online reading convenience. CHAPITRE III   MA SŒUR ET MOI     Synopsis : f/g, inceste, entre sœurs, uro, scato. Ma sœur, Agnès et moi nous avions toujours été très unies. Nous avions trois ans d'écart et nous étions habituées à tout partager, nos joies comme les malheurs. Nous formions une communion de l'esprit. Quelques fois je m'emportais après elle, ce qu'elle pouvait être bordélique. En cette époque de notre tendre jeunesse, nous dormions dans la même chambre. Elle laissait tra"ner ses affaires. Elle pouvait être aussi négligée dans ses tenues vestimentaires. J'étais tout le contraire, rangée, soignée, maniaque au possible. A chaque place son objet, à chaque objet sa place. Nos conflits étaient donc permanents. Les orages ne parvenaient cependant pas à obscurcir nos relations plus d'une demi journée. Je croyais tout conna"tre d'elle. Quand je dis que nous partagions tout c'était vrai. Nous nous épanchions l'une sur l'autre. Dès nos premiers émois sexuels, nous racontions nos pratiques et nos désires. Je n'aurais donc jamais cru qu'elle puisse me cacher le plus lourd secret. En toute chose, elle était plus ouverte que je ne l'étais. Elle ne fermait jamais la porte quand elle prenait son bain. Et elle n'était nullement gênée quand elle faisait ses besoins. Dans ces moments là, j'entendais pétarader son pipi qui s'échappait dans la cuvette. Des fois, elle faisait caca devant moi, il n'était pas rare qu'elle y aille de son commentaire : << Oh, c'est une grosse, regarde Sandrine je chie un gros boudin >. Je préférais m'éloigner. L'odeur de ses excréments était vraiment insupportable. En secret, je respirais ses odeurs. A chaque fois qu'elle sortait des toilettes, je prenais sa place. Et, souvent, l'odeur de son caca imprégnait la pièce. Quand ai-je pu franchir le pas ? J'imaginais au début Agnès comme simplement une sœur. Elle était très jolie, mais rien ne m'aurait poussé dans ses bras. Il faut croire que dans l'excitation du moment, les tabous n'existent plus. Je venais d'avoir quatorze ans et ma sœur en avait onze. Je fréquentais un copain de ma classe depuis quelques semaines, et il m'avait dépucelée. Je ne songeais plus depuis un moment, donner libre cours à mes plaisirs solitaires. Plus de jeux caca, finies les autres dégueulasseries. J'avais grandi tout simplement. C'était un vendredi soir, je rentrais de l'école plus tôt. J'avais l'habitude d'aller goûter chez ma copine Hélène. Mais là j'avais trop envie de chier, après sept jours de rétention. Je ne m'étais plus adonnée à mes jeux scatos depuis quatre mois. Mais l'envie avait réveillé une certaine excitation. Je savais qu'Agnès serait à la maison, alitée par une forte fièvre. Elle devait dormir, il ne me restait plus qu'à m'arranger de ne pas la réveiller. Je fis coulisser sans bruit la clef dans la serrure. La porte grinça faiblement, trop faiblement pour que ma sœur l'entende de l'étage. Je me déchaussais dans le hall, et je grimpais lentement les escaliers. Au premier étage, je vis que la porte de la chambre de ma sœur était bien fermée. Ma chambre était attenante à la sienne et à celle de mes parents. Je glissais sur le parquet ciré, puis j'entrais avec la même prudence dans ma chambre. Je collais l'oreille contre le mur et je ne perçus aucun souffle. Agnès devait dormir comme prévu. Rassurée, je me déshabillais à la h te et je jetais mes affaires sur le parquet. Toute nue, je m'affalais sur le lit. Mon envie de déféquer devenait insupportable. N'importe comment, il fallait que je m'exonère. Je relevais mes jambes à l'aide du mur. Je décrivis un moment un << y > puis je rabattis mes jambes dans la position du poirier. J'exécutais la figure avec plus de prestance. Mon cœur battait à tout rompre. Je n'eus pas à forcer, l'étron ouvrit le passage. Une pointe noire merdique fit son apparition. Un gémissement sourd se fit entendre dans la chambre de ma sœur. Apeurée, je retombais sur le lit et refoulais mon envie au plus profond de mes intestins. J'eus tôt fait de me rhabiller. Le bruit de la chambre contiguë m'avait fait craindre un moment d'être surprise en plein ouvrage. Mon cœur s'affolait pris au piège dans sa cage thoracique. Les gémissements devinrent plus nets. Ce n'étaient pas des cris. Se pouvait-il que ma sœur se donne du plaisir ? Elle n'avait qu'onze ans, mais c'était l' ge idéal pour la découverte du sexe. Je fus intriguée, émue même. Le bruit cessa, la porte de la chambre d'Agnès s'ouvrit. J'entendis les pas lourds de ma sœur sur le parquet, ils se dirigeaient tout au fond du couloir. Elle devait s'être enfermée dans les toilettes. J'étais morte de curiosité. Je devais savoir ce qu'elle faisait.  Toute habillée, mais pieds nus, j'entrais sans bruit dans sa chambre. Une faible odeur d'urine m'accueillit. Les draps avaient été jetés au bas du lit. Ils étaient froissés. Le drap housse portait une grosse marque jaunie. Elle avait pissé au lit. Ma sœur avait pissé au lit ! Je découvris à même le sol, son haut et bas de pyjama. Agnès devait s'être précipitée aux toilettes quasiment nue. Le désordre de la chambre émoustillait ma curiosité. Se pouvait-il qu'elle ait eu un accident ? Ou alors, jouait-elle à des jeux troubles, d'où ses gémissements orgasmiques. La dernière solution pouvait être terrifiante. Plus excitée que jamais, je sortis de la pièce et je me dirigeais à pas de loups vers la porte des toilettes au fond du couloir. Il me fallait savoir ! La porte était entrouverte. J'entendis les mêmes gémissements. Cela me rasséréna. Je poussais lentement la porte et ce que je vis me laissa sans voix. Je vis Agnès de dos accoudée à la cuvette des wc. Elle portait seulement sa petite culotte. Elle tendit les muscles de ses jambes, ses pieds se palmèrent contre le sol. Un gémissement plus fort, plus aigu se fit entendre. Agnès poussait sur ses sphincters, j'en étais sûre. Une tache brune apparut au bas de sa culotte. Des gémissements plus plaintifs, et une bosse commença à grossir. Une odeur pestilentielle se dégagea, je me bouchais le nez. La merde se fraya un chemin. Elle écarta la culotte de son nez merdique. Et elle continuait de chier. L'étron plus épais se moula dans le tissu qui ne pouvait en contenir plus. Avec sa main gauche, Agnès écrasa la merde contre son cul, macula les cuisses d'une glaire foireuse. Puis elle recommença à pousser. La merde s'épaississait, une nouvelle bosse apparut qui poussait l'élastique de la culotte. Je n'en croyais pas mes yeux. Son étron prenait la forme d'un véritable monstre glaireux. Il grossissait à vue d'œil. Je ne pouvais pas penser qu'elle puisse chier une telle quantité. Et surtout cette odeur. J'étais pour la première fois confrontée aux odeurs d'une autre. Je réprimais une nausée. Un gémissement plus bref, et la merde s'arrêta. La poitrine si petite de ma sœur, se dégonfla. De sa main, elle écrasa de nouveau la merde. Une quantité s'échappa pour s'écouler le long de ses jambes. Elle se retourna et me fit face brusquement. Je vis un sentiment de terreur se peindre dans ses yeux. Elle p lit. Elle ouvrit la bouche comme pour se justifier. Et moi, je la regardais, comme on fixe un fantôme ou une quelconque apparition surnaturelle. << Sandrine, comment... ? les mots s'évanouirent et sa gorge se noua d'émotions > Elle éclata en sanglots. Je me radoucis. Je m'approchais d'elle, je pris sa tête entre mes mains. << Pleure pas Agnès ! Moi aussi, je le fais souvent. J'aime faire caca dans sa culotte, tu sais. Alors, ça me gêne pas. Au contraire >. Elle leva des yeux sur moi. Je ne sais pas toujours pas pourquoi aujourd'hui, je lui ai révélé ce terrible secret. Des yeux interrogateurs me fixèrent. Quelques gouttes s'échappèrent de ses yeux et s'écoulèrent sur ses joues. J'en fus émue. << T'as pas à avoir honte, tu sais. Si tu veux, on peut le faire toutes les deux. J'aimerais le faire avec toi, annonçais-je >. << Comment, toi aussi... ? > Elle avait cessé de pleurer. Par une pulsion irrépressible, j'attirais son visage contre le mien. Je léchais ses larmes. Puis, je l'embrassais. Elle ne chercha pas à se dégager. Jamais je n'aurais pensé faire ça avec ma propre sœur. Mais, là seul le plaisir comptait. Elle se dégagea, me fixa de ses clairs embués. << T'es pas gênée par l'odeur, demanda-t-elle ? > << Tu rigoles, m'exclamais-je ! Tu pues, mais j'aime l'odeur de la merde. Ton caca, c'est un véritable boudin. Comment peux-tu chier une telle quantité ? > << C'est que je me retiens, car j'aime quand ça remplit ma culotte, dit-elle avec plus d'assurances >. Je sus dès ce moment, que ce soir serait le témoin d'une relation ineffable, inavouable entre deux sœurs, unies par les liens de la merde. Agnès ne pleurait plus. Elle me fixait avec envie. << Tu veux jouer avec moi, me demanda-t-elle à nouveau, tout sourire ? > << Oui, répondis-je, après un moment. Moi aussi j'ai envie de faire caca. D'ailleurs, j'allais me chier dessus, quand je t'ai entendue dans l'autre chambre >. Les yeux d'Agnès brillèrent d'une lumière nouvelle. Elle sourit et mi-choquée, elle commenta : << Ouah, tu te chies dessus ! J'aimerais bien voir ça. Comment tu fais pour que la merde te vienne dessus ? > << Je le ferais devant toi, si tu veux. On fera tout ensemble petite coquine. Retourne toi, j'ai une surprise pour toi >. Par une impulsion subite, je m'accroupis. La culotte merdeuse d'Agnès exhalait une odeur terrible de pourriture. Mais, l'envie était trop forte. J'agrippais son cul et j'enfournais mon visage contre sa culotte. Je léchais, je croquais, comme prise de folie. Je me gavais de ses trésors. Un goût étranger envahit mon palais. Je refluais la nausée. << Oh, mon Dieu, tu goûtes ma merde !! s'écria Agnès tout excitée. Mange-moi ! > Le jeune corps d'Agnès se tendit comme un ressort. Elle poussa des gémissements aigus au sommet d'un orgasme nouveau. Elle se retourna, et ce qu'elle vit la fit s'esclaffer de rire. Toute ma figure était imprégnée de ses excréments. Une mèche de mes cheveux était même barbouillée. << Oh, merde ! Tu devrais te regarder dans la glace, Sandrine. T'es toute merdeuse ! > << Embrasse-moi, petite cochonne, si tu m'aimes dis-je en forme de défi >. A ma grande surprise, Agnès s'assit sur le carrelage, écrasant la merde au fond de sa culotte. Le trop plein reflua et s'étala sur son entrecuisses et ses jambes. L'odeur devint plus forte. Elle m'embrassa langoureusement. Elle goûtait sa propre merde, sans défaillir. En se dégageant, elle me dit : << Oh, je pourrais faire plus aujourd'hui. Dis, Sandrine, j'ai encore envie de jouir. Fais quelque chose, je t'en prie ! > Son innocence dans la crasse m'émut au plus haut point. Je la pris par la main, et la relevais. << Viens dans ma chambre, on va s'amuser ! annonçais-je > Main dans la main, je l'entra"nais dans ma chambre et je la couchais sur le lit. Je me dévêtit à la va vite, et toute nue je m'allongeais près d'elle. Puis je changeais de position. Je m'accroupis tout contre son visage. J'écartais mes fesses, de façon à montrer mon trou du cul. << Vas-y, lèche-moi le trou du cul merdeux. Démontre-moi comme tu peux être cochonne ! > Agnès ne se fit pas prier. La langue reptilienne glissa sur mon anus. Elle lapait comme un chien. Une fine couche merdique imprégnait mon petit trou. << Oh, comme tu goûtes bon, s'enquit ma petite sœur. Dis, t'as envie de faire caca ? Car là, j'en peux plus, il faut que je jouisse ! > << Ah, petite merdeuse, tu veux que je chie. Attends, j'ai une idée. Lève-toi du lit, tu vas voir ! > Agnès descendit du lit et attendit patiemment. Je m'allongeais, puis très vite je décrivis la position du poirier. Comprenant ce que je voulais faire, ma sœur maintint ma position en adossant son buste tout contre mon dos. Son regard exprimait un vice sans borne. Je n'avais pas encore joui. Et j'avais envie de décharger toute la tension électrique. Point intimidée, de le faire pour la première fois en compagnie, je poussais de toutes mes forces sur mes sphincters. Mon trou s'ouvrit livrant passage à un formidable étron. Après s'être déroulé un moment à la verticale, il piqua du nez pour épouser les contours de mes lèvres. L'étron était gras et puant à souhait. << Pouh, tu pues Sandrine ! s'écria Agnès, nullement dégoûtée >. Une joie indicible se lisait dans ses yeux. Elle plongea son visage au plus près de la merde. Elle inhala le doux fumer. La chambre s'était imprégnée déjà de nos deux cacas. << Oh, regarde Agnès comme je me chie dessus. Tu pourras le faire plus tard. Tu verras, c'est trop bon, répliquais-je >. << Oui, ta merde est belle. Oh, vas-y mange la, mange la, je vais jouir. Oh, oui ! > Les yeux d'Agnès tirèrent sur le blanc. Je sus qu'elle n'allait pas tarder à venir. Il en était de même pour moi. Sans me toucher, je pouvais me procurer le plus formidable orgasme. D'être ainsi observée, achevait d'élever mon plaisir. La merde se détacha de mon trou et me tomba sur la figure et dans la bouche. J'enfournais la masse. Je la m chais consciencieusement. Agnès agrippa alors mes jambes ; elle poussa un gémissement bref. Elle venait de jouir. Remise, elle se mit à me caresser le vagin. Il ne m'en fallut pas plus. L'orgasme me submergea, je faillis m'étrangler. Agnès insatisfaite, léchait mon trou du cul merdeux. Sa langue pénétrait au plus profond de mon cul. Elle recueillait la merde entre ses dents. Elle me bouffait avec des bruits de succion. Je recrachai l'étron épais dans la paume de ma main. Je regardais ma sœur avec envie. Nous n'eûmes pas besoin de paroles pour se comprendre. Elle quitta la position et je retombai sur le lit. << Fous-moi en partout, Sandrine. Je veux être merdeuse de la tête aux pieds ! > Je ne me fis pas prier. Je maculais sa poitrine d'une bouillie merdeuse. Puis, je frottais son sexe avec mes mains noires. Elle écarta les cuisses pour faciliter l'intrusion. Je m'appliquais le reste de la merde sur le corps. Nous étions maintenant toutes merdeuses et heureuses de l'être. Mais, j'en voulais plus. << Je veux te manger. Je veux tout de toi, Agnès. Et jouir, jouir..., m'écriai-je >. Je la fis mettre à quatre pattes. Son cul était rehaussé devant mon visage. Je plongeai ma figure contre la culotte merdeuse. Puis, j'agrippai l'élastique et prise d'une impulsion soudaine, je fis craquer les coutures. La merde, libérée de son fourreau, fusa de tous côtés. Elle macula mon visage et mes cheveux. Une gangue brune coulait le long de mes joues, sur ma poitrine, avant de s'écraser sur les draps déjà bien salis. Je saisis son cul entre mes mains. Ma langue débusqua son petit trou. Je lapais bruyamment le reste de sa merde. Ma langue en conque, pénétra dans l'antre. J'avalais ce que je trouvais. Je me gavais de son étron. J'étais heureuse de me conduire comme la pire des truies. Dans le même temps, je branlais ma petite sœur. A ses grognements plaintifs, je sus qu'elle appréciait mes attentions. << Jouissons ensemble, Agnès. Conduisons-nous comme deux petites merdeuses que nous sommes ! m'exclamai-je > Je repris mon ouvrage. Mais Agnès en décida autrement. Elle se retourna pour assister à ma déchéance. << Oh, mais... Regarde comme t'es noire de crasse. Je vais jouir Sandrine, maintenant ! > << A ces mots, elle se jeta sur moi. Elle s'allongea et se frotta sur mon cuir merdeux. Ses yeux virèrent au blanc. Elle saisit ma tête entre ses mains et m'embrassa. L'orgasme nous surprit toutes les deux en pleine action. << Oh, putain ! Comme c'était bon, avoua Agnès. Je pourrais le faire tous les jours. Dis moi qu'on le refera, hein ! > Remise à peine de ma jouissance, jamais je n'avais éprouvé une telle plénitude, je la regardais comme une bête curieuse. La honte avait repris son empire et je doutais de pouvoir récidiver. Nous étions merdeuses, le lit était dans un état pitoyable. << Je ne sais pas, Agnès. C'est vraiment terrible ce qu'on fait. Et c'est mal... >. Après tout, c'était ma sœur. Comment avais-je pu oublier le lien familial qui nous unissait ? << Mal ! Oh, on s'en fout, Sandrine ! Moi, j'ai aimé et je veux recommencer ! > Décidemment, Agnès ne cessait de m'étonner. Elle ne semblait éprouver aucune honte. Elle était heureuse de se conduire comme un goret. << Oui, peut-être qu'on recommencera, dis-je. Mais là, je suis trop fatiguée. Allons nous laver. Papa et maman ne vont pas tarder à rentrer >. J'entra"nai Agnès dans la salle de bain. Nous pr"mes notre douche ensemble. Puis, il nous fallut bien une heure pour tout nettoyer et faire dispara"tre l'odeur persistante. Quand les parents rentrèrent de leur journée de travail, ils ne virent que deux jeunes filles modèles affalées sur le canapé, et devisant de sujets de leur ge. Mais, les apparences sont trompeuses. Je savais que nous étions appelées à récidiver l'expérience. Je ne voyais plus Agnès comme ma sœur, mais comme une compagne de jeux.