Note: This story was dynamically reformatted for online reading convenience. CHAPITRE II PREMIERE EXPERIENCE COPROPHAGE Bonjour, je m'appelle Sandrine. Ceux qui ont lu le premier chapitre de mes expériences scatos me connaissent déjà. Je suis assez jolie, un teint mate du pays du soleil, de la méditerranée. J'ai treize ans, jeune adolescente, un ge où on fait tous les rêves, et l'on souhaite en secret qu'ils se réalisent tous. Un beau mari, une ribambelle d'enfants, un mas entre la lumière et les oliviers. Bien sûr, c'est aussi l'époque où on s'habille avec les robes les plus courtes, les plus sexies. Il n'est rien de plus intéressant pour une jeune teen d'entrer dans la norme. Mais, la norme je l'avais déjà dépassée dans le secret de ma vie privée. Je ne suis pas une jeune fille comme toutes les autres. Et, après tout, je m'en fous ! Seul compte, le plaisir que je me procure. Depuis l' ge de sept, huit ans je pratique le caca culotte. Quelques fois, je le fais en rentrant de l'école. Quel plaisir de pousser ma merde dure, le boudin cacateux hors de mon trou. Il investit le mince tissu de ma culotte. L'étron stoppé est refoulé entre mes jambes, il remonte mes cuisses, effleure mon vagin. Et, dans ces moments d'extase, je pousse des hauts cris, pour expulser le reste du caca et permettre l'intrusion dans mon antre chaud. J'aime aussi, suprême défi, fait à la convenance me tenir la plus crade possible en prévision de mes jeux. Je sais, et il faut que je sois particulièrement excitée, que plus rien ne peut m'arrêter quand j'ai pris la décision de m'immoler dans la putréfaction, de l'immondice qui me marquera au fer rouge. Oui, dans ces moments, j'oublie tout. Je suis une bête arque boutée par le désire de jouir. Les plaisirs du caca au lit sont des délices. C'est un ultime tabou franchi. Je fais mes petites cochonneries dans mon lit et non pas aux toilettes comme une putain honteuse, la honte m'assaillit, mais ma jouissance est plus forte. Je me roule dans la merde, je m'en mets partout. Touts les pores de mon corps s'en imprègnent. Je ne peux pas plus expliquer pourquoi j'ai des orgasmes d'être ainsi avilie, ce que j'ai compris c'est que le retour à une vie plus décente m'est impossible. Avant mes treize ans, je partageais une chambre avec ma jeune sœur Agnès, de trois ans ma cadette. Désormais, j'ai une chambre pour moi toute seule. Je n'ai plus à faire mes cochonneries quand les parents et Agnès ne sont pas là. Toutes mes dégueulasseries, se déroulent la nuit, la porte fermée. J'essaye, cependant de ne pas trop faire de bruit. Ma chambre est contiguë à celle de mes parents. Une nuit, j'ai poussé l'expérience plus avant. J'avais mal au ventre de me retenir. Je savais que ma merde serait molle. J'avais réfléchi à tout ce que je pourrais faire, je n'avais retenu aucune option possible. Je me sentais l' me aventureuse. Je voulais goûter ma merde. L'idée me tiraillait depuis un moment. Je ne l'avais jamais fait, car l'odeur m'avait arrêtée. Mes excréments sont odorants. Quand je chie, ma chambre s'imprègne immédiatement du fumer. Ce que ça pue, c'est pas croyable !! Bref, je voulais manger ma merde, m'en gaver. Ce soir là, je me sentais prête. J'aurais pu chier sur le lit, ou entre mes mains, lécher le paquet, l'étron fumant. Mais, non, je voulais plus. Je voulais me chier dessus, que la merde me vienne sur la figure. L'idée m'émoustillait. Sous les coups de minuit, l'illumination m'est venue. Il n'y a qu'une seule façon de se faire caca dessus, c'est de replier les jambes contre son épaule et de laisser faire son office. J'avais bien réfléchi, je savais que l'étron risquait de maculer mes cheveux d'une crasse noire. Et la douche était au rez de chaussée. Il faudrait donc que je descende les escaliers sans faire de bruit pour me nettoyer. Je me suis déshabillée entièrement. Mes affaires étaient posées pêle-mêle sur le parquet de ma chambre. Toute nue, allongée sur le lit, je me suis caressée. L'envie me sourdait le ventre. Je n'en pouvais plus de me retenir. La défécation était imminente. L'étron pressait contre la paroi de mon anus. Je jouissais une première fois, puis une deuxième. Enfin, détendue, je redressais mon buste, mes jambes s'activèrent pour soulever ma masse. Je croyais de ne pouvoir y parvenir, car je n'étais pas si souple. Cependant, l'opération s'exécuta avec précision. Je décrivais la figure du y. Il me restait à replier mes jambes. Je le fis lentement, de peur de m'écrouler sur le lit. Voilà c'était fini, je pris mes jambes entre mes mains et les ramenais derrière mes épaules. Le premier effort fut le bon. Mon anus s'ouvrit, livrant le passage à un formidable étron. Tout se passa trop vite. Ma merde était si molle qu'elle se décolla du trou, et vint s'écraser contre mon front, un autre morceau s'aplatit contre mon cuir chevelu, tandis que le reste de la merde presque liquide vint tacher les draps du lit. Pour ceux ou celles qui ont déjà vécu mon expérience (j'espère ne pas être la seule adolescente aux goûts délurés), vous savez que c'est terrible d'être confronté à sa propre odeur. On peut chier sur le lit et s'étaler la merde sur le buste, la puanteur si forte soit elle, ne remplacera jamais la sensation éprouvée quand l'excrément vous descend dessus. Vous ne pouvez pas y échapper. Et toutes les fois, que l'on me chie dans la bouche, c'est la même appréhension qui refait surface : celle de ne pouvoir accepter la charogne et de vomir son quatre heures. On peut être une scatophile émérite, il est des fois où l'envie de gerber est plus forte. Je me relevais promptement du lit, les excréments tombèrent sur les draps. Je regardais avec une indicible horreur mon visage maculé de brun, mes cheveux étaient poisseux. Quelques mèches étaient collées. Je déroulais des tonnes de papier cul pour nettoyer le désastre. Ma première expérience ne fut donc pas concluante. Et pourtant, cela ne me dégoûta pas. Je voulais recommencer et cette fois, aller jusqu'au bout. Un vendredi après midi, alors que je rentrais de l'école, une violente colique me secoua le ventre. Il faut dire, que j'avais fait fort. Je n'avais plus chié depuis ma dernière expérience scato, depuis huit jours. Je ne pensais pas pouvoir me retenir aussi longtemps. Et comme toujours j'attendais le dernier moment pour déféquer. Je ressentis une douleur forte au bas des reins. Je me précipitais dans ma chambre. Mes parents n'étaient pas à la maison. La voie était libre. Dans ces moments, précédant la délivrance, je suis en proie à une excitation proche du délire. Mon cœur s'emballe. Dans ma chambre, je n'ai que le temps de me dévêtir entièrement. Je jetais mes affaires sur le sol. Puis, je m'allongeais sur le lit, face au mur. Ma position me permit de freiner la défécation. Avec l'indexe de ma main droite, je vins effleurer le trou du cul. Dieu, ce qu'il était sale ! Il était boueux, plein de merde. Je grattais la couche épaisse d'excréments et la ramenais avec mon doigt. A peine avais-je approché le doigt de mon nez, qu'une odeur de pourriture m'assaillit. Ma merde puait comme jamais. Cela ne me dégoûta pas. Bien trop excitée pour y prêter attention, j'engloutis mon b ton merdeux de ma bouche vorace. L'odeur influence généralement le goût ou dégoût que l'on a pour certaines choses. Alors le fumer d'un étron bien épais est un repoussoir. Et bien, je dois dire que quand par un esprit bien aguerri, on a fait fi de la puanteur (il en est de même pour certains fromages forts), la merde n'a aucun goût. Il nous reste bien dans la bouche une sensation de pourriture qui assèche le palet, mais c'est tout. Je nettoyais mon doigt avec application. Je n'avais pas vomi et j'étais prête à franchir un nouveau pas dans mon initiation. Cette fois-ci, j'allais faire le repas ignoble, me colleter avec mes détritus. Je le voulais. Plus rien ne pouvait m'arrêter. Je ressentis une nouvelle douleur au bas du ventre, signe pour moi de ma défécation imminente. J'élevais mes jambes à l'aide du mur tuteur. Mon cul fut rehaussé, et alors que ma position couchée avait stoppé le cheminement de la merde, la nouvelle position réveilla mon envie. De mon doigt inquisiteur je scrutais l'arrivée à l'air libre de mon étron. Je n'avais même pas à forcer sur mes sphincters. Mon trou du cul était débouché. Plusieurs fois, la merde buta contre mon doigt, plusieurs fois je la refoulais. Enfin, je sentis que je ne pourrais plus rien retenir. Je refoulais une dernière fois mon étron, puis je pliais mes jambes contre le mur. Mon buste se souleva, je décrivis un << y >. Il me restait plus qu'à ramener mes jambes. La figure s'opéra instantanément. Je saisis mes jambes entre mes mains. Je décrivis la figure d'un escargot qui se replie dans sa carapace. Mon sexe était à portée de ma bouche. Si j'avais été plus souple, j'aurais pu le mouiller de ma langue. Je sentis mon anus s'entrouvrir. Mon cœur battait à tout rompre. Mes excréments approchèrent de l'orée, ils forcèrent le passage. Pour toutes celles qui comme moi se sont laissées à se faire dessus, elles savent que la sensation n'est pas désagréable. De ma position d'aveugle, je pus enfin apercevoir un bout merdique de mon étron. Il était d'un marron prononcé, dur et gras comme je le souhaitais. La merde se déroula à la verticale. Il était énorme, monstrueux même. Huit jours sans chier et je mettais au monde le plus inf me bébé, qu'aucune mère n'aurait voulu reconna"tre. Je forçais maintenant sur mes sphincters pour l'expulser au plus vite. La douleur me propulsa dans un océan d'allégresse. La merde sortait par chuintements. Et au sommet, elle se rabattit comme un poirier. Je vis alors le plus sublime spectacle ; un étron, mon étron, me descendait sur le visage. J'avais atteint le point de non retour, ma folie me fit souhaitais la chose la plus incongrue. L'odeur infecte agressa mon odorat, mais tout excitée je continuais de pousser. J'ouvris la bouche en grand. Ma merde ne pouvait plus m'échapper. Je la désirais, l'union allait avoir lieu. Ce qui venait de moi reprendrait le chemin par où il était sorti. Une ultime poussée, et l'étron tomba. Il s'écrasa contre mon visage. Il s'enroula de mon nez à ma bouche. Je le happais. J'enfournais l'énorme masse au point de m'étouffer. Je n'avais pas encore jouie, mais cela n'allait pas tarder. Un autre étron plus petit se détacha du cul, il vint s'abattre sur mon front et mes cheveux. Des borborygmes accompagnèrent l'épilogue. Une merde plus molle suivit la position de mon corps dénudé. Il imprégna mon sexe d'une couche épaisse, glissa sur mon ventre, atteignit mes seins, et continua sa route pour venir s'immoler sur mon menton. Je m chais comme une gorette l'énorme étron. Je saisis la merde qui salissait mes cheveux et je beurrais mon vagin. Je me pris un morceau, je voulus le forcer à l'intérieur de mon antre. S'en était trop. Quelque chose explosa à l'intérieur de moi. J'avalais les dernières bouchées pendant que je bourrais mon con. Un orgasme surpuissant me transperça. Je ne me souviens plus très bien après ça. J'avais fini le repas. Je suais à grosses eaux sur le lit sali. Je repris peu à peu mes esprits. Le retour à la norme me fit rejeter ce que je venais de faire. J'avais mangé ma merde dans l'excitation du moment. En me réveillant je me découvris nauséeuse. Je me précipitais dans les toilettes où je vomis tout le contenu de mon ventre. J'ai été malade toute la nuit. Ma mère se méprit sur mon état. Elle cru à un début de gastro. Et d'une semaine, je ne voulus plus repenser à cette expérience. Cela ne dura que le temps du dégoût. Le vice avait fait le siège de mon corps. Je voulus recommencer. Depuis, je suis devenue une coprophage convaincue, vous savez ces petites bestioles qui se nourrissent de détritus et vivent dans ces immondices. Je n'ai pourtant rien d'un cafard, et mon attitude pourrait choquer les bien pensants. J'en ai que faire ! Chaque fois qu'une envie de faire caca me prend, je réfléchis à la manière façon de le faire. J'ai décidé de ne plus chier aux toilettes. Une fois toute excitée, j'ai chié sur les draps un énorme étron. La vue de ce boudin marron foncé me fit frémir. Je me précipitais sur le lit. J'enfournais la p te dans ma bouche. Il me fallut bien une demi-heure pour tout manger, je m'endormis aussitôt que j'eus fini. Je ne compte plus le nombre de fois où j'ai mangé ma merde. Je mange aussi celle des autres, mais ça s'est une autre histoire. A bientôt quatorze ans, le retour à une vie normale est impossible. Je suis une truie et fière de l'être.