Note: This story was dynamically reformatted for online reading convenience. CHAPITRE I PREMIERS PAS Aussi loin que je me souvienne, j'ai toujours été attirée par mes excréments. Si, dans ma tendre enfance les jeux que je pratiquais puisaient plus d'innocence que de vices, ils sont aujourd'hui le fruit d'une existence dépravée, d'une perversion élevée à son plus haut point. Je sais que je ne peux plus rien y faire, mais il est des jours où mes fantasmes me font peur, une honte envahit tout mon être, la société des bien pensants reprend le dessus ; il est terrible le chemin où on se perd loin des sentiers battus. Il serait peut être nécessaire que je me présente. Je m'appelle Sandrine et j'ai eu aujourd'hui vingt trois ans. Je suis une jeune femme assez menue et frêle. Mon physique de bimbo m'a toujours valu des regards admiratifs. Mon jeune ge fut un banc d'essai pour tout ce qu'il y a de plus dépravé. Que ceux qui n'ont pas l'estomac solide ou qu'ils craignent de ne pouvoir supporter les descriptions de mes jeux inavouables cessent leur lecture. J'ai décidé de ne faire aucune concession au bon goût. Ce que je suis-je l'ai accepté depuis longtemps. Voilà comment tout a commencé. C'est à l' ge de cinq ans que j'ai eu ma première expérience crade. Je dois avouer que j'ai été propre de bonne heure, avant mes deux ans et que je ne semblais pas conna"tre de problèmes en ce domaine. Je mouillais rarement mon lit. Bien au contraire je souffrais d'une sorte de constipation. Il arrivait parfois que je me retienne toute une semaine sans faire la grosse commission. Mes parents ne semblaient pas me prêter attention. Ils avaient plus à faire avec l'éducation de ma jeune sœur qui n'avait même pas deux ans. Ses moindres cris et gémissements étaient suivis d'un geste de ceux-ci. Je me sentais délaissée. C'est peut être à ce moment que mon cerveau enfantin a conçu de les pousser à s'intéresser à moi. Un matin au cours de la récréation de 10 heures, je fus prise de soudaines coliques et je me précipitais dans les toilettes. Mais, c'est un fait que je dois confesser, je n'aimais pas utiliser les toilettes publiques. Arrivée là, je voulus me retenir et attendre la fin de l'école, nous étions un samedi matin, pour pouvoir faire plus librement. J'avais sans doute trop présumé de mes forces. Une semaine de rétention c'était trop et je ne pus me retenir longtemps. Je ne pus atteindre la porte des toilettes. Mes excréments fusèrent dans ma culotte. J'essayais bien de contracter l'anus ; mais rien y fit. Une copine sortit à ce moment d'une des stalles et me vit. J'avoue qu'une rougeur me monte encore aux joues en pensant à ces moments. Elle fit sa choquée et s'écria : << Ayii, Sandrine fait caca dans sa culotte. Ayii .... > Moi, j'avais si honte, je ne pouvais la regarder dans les yeux. Je pleurais. Elle se précipita hors des toilettes, je voulus la retenir mais il était trop tard. << Venez voir les filles, Sandrine a fait caca dans sa culotte !!! > Une ronde de gamines moqueuses et même de garçons était venue rire de mon malheur. Ma mère le sut évidemment, et je fus sévèrement punie. Je dus nettoyer mes cochonneries. Je crois même qu'elle me mit la tête près de la culotte souillée comme on le fait à un chien pour lui faire passer ses envies. Ce ne fut pas mon seul accident. Ils s'ensuivirent d'autres plus homériques encore. Ma mère décida alors de me faire suivre par un psychologue. Ce dernier arriva à la conclusion, que j'étais jalouse de ma petite sœur. C'est inconsciemment que je m'étais mise à faire comme un bébé, pour attirer l'attention de mes parents. Cette sale habitude ne dura pas plus de deux ou trois mois. Puis je redevins la sage petite fille. Tout était ainsi rentré dans l'ordre. Et pourtant... Cette expérience devait à jamais me marquer. Je devais avoir huit ans quand je fis une autre expérience plus troublante. Freud écrivait que les petits enfants rapprochaient le sexe au seul domaine qu'ils connaissent le pipi-caca. Je conçus à cette époque un vif plaisir d'aller à la selle. Je faisais de très gros boudins, qui en passant dans le rectum, provoquaient un frottement loin d'être désagréable. Je concevais alors très vite la relation, plaisir et défécation. Un soir, je fus plus audacieuse. J'avais envie de chier, je m'étais retenue pendant quelques jours, pour éprouver une plus grande sensation de me vider allègrement. Une fois enfermée aux toilettes, je me déshabillais complètement. Mes affaires trônaient à côté de la cuvette de wc. Je sentais poindre en moi le sournois désire de tous mes rêves inavoués. Toute l'après-midi, à l'école mon cœur battit la chamade. J'allais franchir un ultime interdit. Je découpais deux grandes feuilles de papier toilette que je disposais sur le sol, puis je m'accroupis au-dessus d'elles. Après un effort surhumain sur moi-même, je forçais sur mes sphincters pour me décharger l'anus. Comme j'étais constipée, je sentais l'envie mais rien ne venait. Mes poussées réveillèrent mon besoin de faire pipi. Au point où j'en étais j'étais plus excitée que jamais et toujours accroupie je l chais les vannes. Ma pisse fusa éclaboussant au passage mes jambes et le mur en face de moi. Si le plaisir puissant de pisser comme une guenon m'avait guidé, je dois dire qu'après je ressentis une honte de voir le mur imprégné de mon urine. Les gouttes avaient glissé au sol, créant une mare. Mon envie s'estompa comme par enchantement. Je me relevais promptement pour me rhabiller. Puis je nettoyais mes cochonneries. Je conçus dès ce jour que mon plaisir de chier n'allait pas jusqu'à celui de pisser. Je pense ne pas être la seule dans ce cas. Je n'ai jamais rien trouvé d'érotique dans les jeux uro, au contraire de tout ce qui se rapprochait de la scato. Le lendemain, je récidivais l'expérience. J'alignais les feuilles de papier sur le sol et toute nue je m'accroupis. Cette fois je sentis poindre au fond de mes entrailles le lourd fardeau. La masse d'excréments évasa mon anus, et au plus fort de ma souffrance, l'étron s'échappa de mon petit trou. Il s'enroula comme une limace sur le papier, je dus soulever mon cul pour que la merde finisse de sortir. J'étais arrivée à un haut degré d'excitation. Mon étron ressemblait à un gros boudin teintant sur le marron. L'odeur de mes cochonneries était loin de me rebuter. C'est toute tremblante que je contemplais l'ouvrage, comme si c'était une œuvre d'art. J'approchais le nez de la pointe merdique, et la pestilence imprégna chacune de mes fibres. Je n'étais pas encore en ge comprendre que le plaisir que je ressentais était proche de l'orgasme. Je venais de franchir un tabou. C'est l'interdit même de la chose qui me poussait à aller plus loin. Ce fut donc la première étape vers une dépravation plus grande. Je ne manquais pas dès que j'allais aux toilettes pour chier, de récidiver l'expérience. Mes jeux variaient. Quelques fois je chiais debout, d'autres fois allongée sur le dos en soulevant les jambes. Une fois même je voulus le faire dans ma culotte. Je la bourrais de papiers toilettes. J'étais nue comme à mon habitude, et accroupie je poussais. Dès que l'étron força le passage et s'enroula sur le papier, une sensation de bien être et de désire titilla la pointe de mes petits seins. La merde évasa la culotte, qui s'agrandit en comprimant l'excrément. Je dus à ce moment écarter l'élastique de ma culotte pour livrer passage au formidable boudin. La bosse grossissait à vue d'œil. La merde fut stoppée nette dans sa progression. Un formidable dilemme se présentait à moi. Il me fallait choisir entre arrêter là mon jeu et me décharger l'anus dans la cuvette ou bien continuer. Ma résolution ne se fit pas attendre. Je m'arque boutais et je forçais de toutes mes forces. La merde s'enroula et tira un peu plus sur l'élastique. Je finis mon ouvrage épuisée. La bosse touchait le sol. Ma merde durcie puait comme jamais. J'abaissais la culotte à mes genoux. Mon indexe toucha la merde, et je reniflais le doigt inf me. J'eus l'idée saugrenue de la goûter. Je m'allongeais sur le sol près de mes cochonneries. El là je plongeai mon visage, ma langue titilla l'étron. Le goût d'un fromage qui avait longtemps fermenté envahit mon palais, je crus défaillir. Néanmoins, après maints efforts pour empêcher mon premier mouvement ma langue continua de titiller la merde. Dès lors je voulus aller plus avant. Mes inhibitions d'un reste de civilisation stéréotypée, ne devaient pas résister à mes derniers outrages. Mes nuits étaient hantées par de vieux démons lubriques. J'étais plus que jamais obsédée par le fuit de mes entrailles. Les toilettes étaient le témoin impassible de mes jeux. Je ne me servais plus du papier toilettes. Je chiais à même le sol, je faisais carrément dans ma culotte, et en cachette je la lavais avant de la mettre dans le bac de linge sale. Il m'arrivait aussi de prendre une pleine pelletée et d'en respirer le doux fumer, de lécher avant de me nettoyer la main souillée. De l'audace, toujours de l'audace... A l'orée de mes douze ans, mes jeux d'innocents devinrent pervers. Jusqu'à présent je ne concevais rien de méchant ou de sexuels. Je m'amusais sans plus. Mais je devenais plus femme. Mon corps changeait. J'avais des désires que mes rêves amplifiaient. Un mardi après-midi, alors que je n'avais pas classe, j'étais seule. Mes parents travaillaient et ma sœur était à l'école. J'avais réfléchis le matin à toutes les horreurs que je pourrais accomplir. J'avais une terrible envie de chier, je n'avais pas fait depuis quatre jours et je savais que mon étron serai gros et gras, puant à souhait. Je voulais innover ce jour là. Je m'étais enfermée dans ma chambre toute nue et allongée sur le lit je me triturais les seins et plus bas le sexe. J'avais découvert les plaisirs de la masturbation depuis quelques mois sans arriver au véritable orgasme. Je jouissais de la perspective d'être obligée dans quelques instants de déféquer. Et j'allais le faire au lit. Oui au lit, et rien que l'idée m'émoustillait. Je sentis poindre une brûlante envie de ma conduire comme une véritable cochonne. Dans un état normal, jamais je n'aurais fait ça dans ma chambre. Tandis qu'ici seul le plaisir comptait. On jouit mieux dans la honte. J'enfilais ma culotte. Elle enserra mon petit cul au point de le compresser. Mon envie devint plus pressente. La pointe de mes seins durcit. Démons et anges livraient un homérique combat. Ma tête était le siège d'une bataille à l'issue incertaine. J'étais désespérée, je voulais pleurer. Je croyais ne jamais avoir la force de braver ce nouveau tabou. J'écartais les jambes et je soulevais mon buste. La pointe merdique d'un formidable étron, effleura le renflement du slip. Je pouvais m'arrêter, me précipiter aux toilettes et faire comme j'avais l'habitude. Je n'en fis rien. Je laissais tout doucement la merde écarter les parois de mon anus et se frayer un chemin au tréfonds de ma culotte. Je demeurais inactive. La merde s'épaissit ; il ne pouvait plus être question pour moi de retour. Mon corps me commandait de le faire. Il était tendu vers cette ultime offrande. La saucisse de caca ne pouvait plus se rétracter. Alors au plus fort d'une jouissance naissante, je repris l'initiative. Je poussais sur mes sphincters de toutes mes forces. J'accompagnais la sortie du boudin triomphant avec des ahanements sourds. La saucisse s'enroula dans l'étroit fourreau. J'avais le désire de mal me conduire. La chambre s'était imprégnée de mon odeur. La merde avait un relent désagréable. Je n'y prêtais pas attention. J'étais toute entière guidée vers un même but, jouir comme une grosse truie dans mes saletés. Prise d'une soudaine inspiration, je m'asseyais sur le lit, écrasant la merde dans ma culotte. Les excréments éclaboussèrent de tout côté. Ils remontèrent jusqu'à mon sexe. Dès que je sentis le paquet effleurer les lèvres, je n'y tins plus. Mon corps se raidit. Je me roulais sur le lit comme une folle. Ma main plongea carrément dans la culotte, je graissai mon con d'une large couche de merde. Je pris une seconde pelletée, et m'en peignis le corps. A ce moment l'odeur devint plus puissante. La merde libéra sa pestilence. La chambre toute entière puait cent mille chiottes. S'en était trop, mon sexe me faisait mal. Je frottai ma main souillée contre celui-ci. Des éclairs de lumière jaillirent de mes yeux. Tout devint sombre, je ne voyais plus rien. Mes jambes arquées contre le rebord du lit flanchèrent. Je m'écroulai sur le matelas tout en jouissant. Je devais rester inanimée pendant quelques minutes. Je me réveillais tout doucement. La puanteur agressa mon odorat. Et là je fixais les dég ts sur mon lit. Les premiers moments d'une volupté de jouissance s'étant estompés, le retour à la réalité fut pire qu'un cauchemar. Que ne s'ampute-t-on pas du cerveau ! Le plaisir me faisait oublier jusqu'à ma propre existence. Le corps se libérait du poids qui l'emprisonnait. Mais là, tout n'était que débauche et désolation. La merde souillait allègrement les draps. Mon corps lui était tout peinturluré. La honte m'assaillit. Il fallait maintenant faire dispara"tre mes cochonneries, tout nettoyer pour que la pièce retrouve un semblant de propreté. Je mis deux heures à tout nettoyer. Je jetai les draps dans la machine à laver. Et moi je plongeai sous la douche. Je refis trois fois ma toilette avant d'être satisfaite de ma propreté. Je trouvai néanmoins que mes mains sentaient encore la merde. C'est incroyable que l'odeur puisse ainsi pérenniser malgré une toilette intensive. Le soir, mes parents n'y virent que du feu. Mais cette expérience fut éprouvante. J'étais arrivée à une autre frontière. Je fus dégoûtée de moi-même. Je me haïssais. Ma première véritable jouissance m'avait fait sombrer dans un ab"me de perversité. Et je ne souhaitais plus renouveler l'expérience. Pendant quelques mois mes jeux caca cessèrent. Je n'en avais plus le désire. Et quand le plaisir reprenait son empire, il me suffisait de repenser à ma dernière partie pour me convaincre de ne jamais recommencer. Mon dégoût pouvait me sauver. Il ne fit que me précipiter plus avant. Les mois estompèrent la sensation d'horreurs que j'avais éprouvée ce jour là. Dès que j'avais envie de chier, les idées folles affluaient. Je les repoussais mais plus mollement. Une nuit, un rêve me fit replonger. Je me voyais toute couverte de merde, de la tête aux pieds. Même mes cheveux étaient imprégnés. Et je jouissais d'être ainsi salie. Je me réveillai à ce moment. Il devait être deux heures du matin. J'étais trempée d'avoir tant suer. Une odeur cre me monta au nez. J'avais mouillé les draps de ma jouissance et de ma pisse. Je dois dire que la honte me reprit. J'examinais les dég ts avec une envie irrésistible de pleurer. Le réveil brutal avait réactivé en moi le désire plus grand de me souiller. J'avais sentie une envie de chier. Je me défis promptement de ma chemise de nuit que je jetai au bas du lit. Puis je m'accroupie. Je poussai de toutes forces. Je n'avais plus honte je voulais le faire. La saucisse de caca se déroula lentement hors de mon anus et happée par le vide, elle s'étala sur la couverture. Le désire de jouissance se fit plus pressent ; il sourdait mon ventre pour me pousser au plus grand vice. Je pris l'étron entre mes mains, puis je l'écrasai comme une p te à modeler. Enfin, je me barbouillais du contenu. Je peignis mes petits seins de brun. Je n'oubliai pas mon sexe que je beurrais allègrement. Le vagin me piquait et je le frottais contre les barreaux du lit. C'est ainsi que la jouissance m'a surprise. C'est toute pantelante que je me découvris emmerdifiée. La honte réapparu. Pourtant, je sus dès ce jour que je saurai désormais jouir dans la honte. Le nettoyage de la pièce me parut moins fastidieux. Il augurait d'autres expériences du même type. Je m'appelle Sandrine et j'ai douze ans. Le vice a déjà investi tout mon être. Je sais dès à présent que je ne pourrai plus jouir que dans la réalisation des scénarii les plus tordus. La normalité est chiante en amour.