Note: This story was dynamically reformatted for online reading convenience. CACA AU LIT 02 Synopsis : une semaine après leur incartade scato dans la chambre de leur mère, les deux gamines, Giselle 14 ans et Alice 11 ans n'ont de cesse de renouveler l'expérience avec leur jeune mère. Un dimanche matin, Alice vient retrouver Sandra dans sa chambre. André, le père comme tous les dimanches se retrouve avec ses camarades pour un footing. Giselle, elle n'est pas là non plus ; elle a une très importante compétition de volley ball. Sandra sentit dans son sommeil une langue lui chatouiller le visage. Elle l'imprégnait d'une salive épaisse. Elle n'était pas encore tout à fait réveillée quand l'haleine fétide vint se coller contre son nez. Des crachats aspergèrent ses yeux et ses cheveux. Elle ouvrit enfin les yeux dans un semi coma. La première chose qu'elle vit au dessus de son visage, ce fut la figure rayonnante de sa jeune fille, Alice. Alice dès que son père avait fermé la porte d'entrée s'était précipitée dans la chambre de sa mère ; elle fut déçue de la trouver endormie. Mais, ce matin des idées lubriques venaient de germer dans son petit cerveau. Elle était tiraillée par une forte envie de chier, cela faisait bien depuis une semaine qu'elle se retenait, et tout la nuit elle n'avait pensé qu'à son plaisir grandissant de pouvoir contracter son anus. Elle avait pénétré dans la chambre de Sandra sur la pointe des pieds. Puis, au pied du lit elle avait jeté prestement sur le carrelage en nylon sa robe de chambre et sa chemise de nuit. Un vent du matin vint caresser sa nuque. Elle grimpa sur le lit et s'approcha du corps endormi de sa mère. Elle lécha alors avec application son joli visage tout en lançant des crachats. Son haleine l'avait réveillée. C'est qu'elle ne s'était pas lavée depuis plus d'une semaine. Son dernier bain remontait au samedi précédent le vendredi soir de leur partie scato. Elle aimait se tenir dans un état de souillon en prévision de l'orgie à venir. Sandra fixa sur sa fille un regard étonné. Elle semblait sortir d'un mauvais rêve. Puis, se redressant elle ouvrit tout à fait les yeux. La chambre était plongée dans l'obscurité. Emergeant peu à peu, elle arbora un sourire aimable à l'attention de sa jeune fille. << Petite cochonne ! Tu pourrais au moins te laver les dents, tu sens l'égout, fut sa première réaction >. << Mais, maman, tu sais bien que ça fait partie du jeu, s'exclama Alice >. << Quel jeu, demanda-t-elle ? > << Vendredi dernier tu as dit que pour participer à une partie caca, il fallait se tenir le plus crade possible >. << Quoi, vraiment c'est ce que tu veux, là ce matin, s'étonna Sandra >. << Oh, oui, maman, j'ai une putain envie de chier, je n'ai pu fermer l'œil de la nuit >. Sandra observa Alice. Malgré son jeune ge, on devinait par ses trais fins, une jolie jeune fille. Ce matin, elle avait plutôt l'air négligée. Ses cheveux étaient emmêlés et gras, ses dents étaient jaunies par manque d'hygiène. Et cela ne suffisait pas à l'enlaidir. Elle portait la crasse avec élégance comme d'autres incarnent le bon goût et la prestance. Cette petite frimousse blonde émouvait chaque jour sa mère. Jusque dans son jargon des faubourgs populaires. << Mais ta sœur a une compete et on ne peut pas faire ça sans elle, répliqua Sandra >. << Et vous vendredi soir, vous vous êtes pas gênées de faire ça alors que je dormais chez ma copine Brigitte. Et je sais que vous l'avez fait car Giselle m'a tout raconté. Et la chambre puait encore quand je suis revenue le matin. Alors moi j'ai envie de le faire ce matin, d'ailleurs je ne peux plus me retenir ! > Sandra sourit devant l'exclamation de sa jeune fille. Et comme pour se rendre à ses raisons, elle attira le visage d'Alice contre le sien et fourra sa bouche contre la sienne. Elles emmêlèrent toutes deux leur langue l'une contre l'autre. Elles crachèrent leur salive. Sandra était maintenant bien trop excitée pour prêter une quelconque importance à l'haleine de sa jeune fille. Au contraire, cela lui faisait monter la température la poussant à aller toujours plus loin dans ses divagations. << Il va bien falloir te retenir. Moi aussi j'ai envie de chier et je crois que c'est une merde bien grasse et puante comme tu les aimes >. << Oh, oui, maman, glapit la jeune Alice, en comprenant que sa mère était partante pour une partie caca dans l'intimité de sa chambre >. Les deux femmes se roulèrent sur le lit en s'embrassant de plus belle. L'amour et le désire les étreignait et les forçait chaque jour à faire tomber les tabous. << Tu sais ce que j'aimerais que tu fasses, avant de nous conduire comme deux truies, demanda Sandra en se dégageant ? > << Quoi, interrogea Alice intriguée ? > << J'aimerais que tu te masturbes là sur le lit. Que tu te branles et que tu jouisses, que ton jus d'amour tache les draps. Oh, ce serait pour moi un plaisir que de voir une petite fille se branler. Crois-tu que tu pourras le faire ? s'exclama Sandra > Alice arbora un grand sourire. Et d'un signe de tête affirmatif, elle confirma son désire de sa branler devant sa mère. Ce désire pouvait para"tre étrange pour une mère qui avait déjà vue sa fille déféquer et manger sa propre merde, se rouler dans ses excréments, et puis l'embrasser comme le font deux amoureuses. Mais, le désire de voir Alice pratiquer l'onanisme devant elle, se conjuguait avec l'envie de la voir se dévoiler un peu plus. La masturbation est un acte que l'on fait seul, c'est l'acte le plus intime et le plus doux. S'exhiber ainsi, c'est dévoiler son intimité, c'est faire tomber les derniers secrets. Sandra ne savait plus si elle éprouvait du désire pour Alice ou bien de l'amour. Sandra se dévêtit de sa chemise de nuit, et nue elle approcha de sa fille. Cette dernière se colla blottie contre le coussin au pied du lit, elle se redressa. Sa main droite glissa jusqu'à son entrecuisses. Elle n'en pouvait plus de désire. Elle contracta son anus qui s'évasait devant la poussée de l'étron. Elle grimaça pour ne pas tout l cher. Pas tout de suite du moins. Sa main frêle titilla son vagin imberbe. Ses doigts débusquèrent le petit clito qui se cachait. Elle le chatouilla et émit un bruit de petite lapine, doux et tendre. Les préliminaires n'étaient plus qu'un lointain souvenir. Elle avait envie de jouir. Elle écrasa sans ménagement la petite bitte et aussitôt ses doigts s'activèrent comme mus par leur propre volonté. Elle émettait des gémissements plus lourds. La montée du plaisir accentua ses petits cris, ils devinrent plus aigus. Sandra comprit que sa fille était sur le point de jouir. Elle se leva et plaça son con tout contre la bouche d'Alice. << Jouis en pissant, petite salope. Mouille mon lit comme quand tu avais un an, murmura-t-elle >. Alice fut prise de soubresauts. Elle agita ses jambes dans tous les sens. Puis sa poitrine se souleva dans un ultime hoquet, et elle retomba sur le lit, toute épuisée. Une miction drue s'échappa de son vagin. Elle pissait sur les draps. Le pipi du matin avait une teinte jaun tre. L'odeur d'urine chaude imprégna immédiatement la pièce. Sandra sentit poindre en elle son premier orgasme. Elle écarta les poils de son con, et pissa sur sa fille. La pisse éclaboussa le jeune corps inanimé. Le liquide s'échappa avec plus de force, il roula sur les draps déjà bien imprégnés. L'orgasme surprit ainsi la jeune mère qui s'écroula sur le lit tout prêt de sa fille. Si Alice avait plus de mal à se remettre de sa première jouissance, Sandra était insatisfaite. Elle se mit à quatre pattes sur le lit, puis elle graissa son trou du cul avec un doigt inquisiteur. << Alice, vient me lécher le cul. Tu y sentiras la merde. C'est ce que tu veux, non ! Allez, fais un petit effort ! Fais moi jouir. Je veux que tu me lèche le trou du cul merdeux, j'ai si envie de chier ! > Alice sortie peu à peu de sa torpeur s'approcha en pénitente de l'offrande. Elle écarta les fesses de sa mère pour découvrir le petit trou plissé, brun et gras. Elle n'avait pas dû se torcher depuis vendredi. Une faible odeur de merde s'échappa du trou du cul désiré. Elle inhala le doux fumer. << Oh, maman, tu pues du cul, s'exclama Alice ! > << Mais, ma chérie, un cul c'est fait pour sentir la merde. Vas y torche moi, goûte ma merde >. Alice ne se fit pas prier plus longtemps. Elle plongea son visage contre les fesses de sa mère. Son nez frotta le trou plissé, puis elle sortie sa langue pour mieux torcher Sandra. Dès que sa langue pénétra au tréfonds, elle sentit une masse compacte envahir son palais. Elle retira promptement son visage et déglutit. << Alice, vite ta langue, s'écria Sandra !!! > Le trou du cul de la jeune mère s'évasa. Un pet sonore et odorant vint frapper au visage Alice, qui encore une fois détourna la tête. L'odeur d'excréments envahit la pièce. Elle vit alors le bout d'un étron se dégager de l'anus de Sandra. << Lèche ma merde, Alice. Vas y fais le ! > Alice obtempéra. Sa langue titilla le petit bout d'étron. Il avait un fort goût de camembert fermenté. Elle léchait la pointe merdique tout en se masturbant. Mais, au moment où elle s'apprêtait à croquer le bout, l'étron disparut dans son antre chaud. Sandra descendit du lit pour aller fouiller dans le tiroir de la table de chevet. Elle sortit un gode fixé à une alèse. C'était avec ce même gode qu'Alice avait enculé sa sœur. << Il est temps que tu perdes ton pucelage, ma puce. Ta sœur était plus gée, mais avec toi je vais me livrer à des jeux qui exigent que tu ais perdu ta fleur >. Alice frissonna. Ce gode dur et froid ne semblait pas le bon moyen pour la déflorer. Elle craignait d'avoir mal. Elle exposa ses doutes à sa mère. << N'aies crainte, ma chérie. Je ne serai pas brutale. C'est sûr que la première fois cela fait mal, mais tu verras on s'y fait vite. Allez en place, allonge-toi sur le lit >. La jeune fille s'allongea pendant que sa mère fixa le godemiché. Alice observa craintivement sa mère s'activer. Elle avait le désire de se sentir plus femme. Mais, elle était sensible à la douleur. Encore une fois Sandra qui semblait lire dans ses pensées, calma son appréhension. Elle se porta sur le lit, et de tout son long, s'allongea sur le corps de sa fille. Elle l'embrassa tendrement. Ses baisers descendirent sur son menton, le long de son cou, puis elle suçota les tout petits seins, si mignons d'Alice. Sa fille émit de petits couinements si particuliers chez certains mammifères de petite taille. Enfin, sa bouche s'arrêta sur le sexe glabre. Quelle indécence à se montrer sans sa parure, ornement d'hiver ! Ce con surmonté de petites lèvres, faisait prendre conscience à Sandra qu'elle franchissait un interdit, un tabou de notre société. << Suis-je une pédophile ? >, se demanda-t-elle. C'était la première fois qu'un tel cas de conscience la tiraillait. Ses yeux fixèrent de plus près le sexe, elle plongea son visage contre le pubis pour renifler l'antre inexploré. Les senteurs n'étaient pas celle d'une femme, aux odeurs aigres et piquantes.. << Es-tu prête, s'inquiéta Sandra, tout en astiquant le bout du faux sexe, comme si c'était un vrai ? > << Oui, maman, mais fais doucement, répondit timidement Alice >. Sandra fit coulisser le gode dans la petite grotte. Elle entra le bout, puis le fit ressortir. A chaque pénétration, le gode progressait. Le faux sexe se mêlait aux sécrétions qui l'aidaient dans son avancée. Alice claquait des dents. Elle ressentit quelques brûlures. Mais, Sandra se retira une nouvelle fois. Un grand sourire barra son visage, dont la signification échappait à sa fille. Puis, sans ménagement, elle se coucha de tout son long, et le sexe pénétra avec plus de force. Alice émit un gémissement plaintif. << Oh, maman, tu me fais mal. Retire-toi, je t'en prie >. Sandra ne répondit pas. Elle arqua son corps, et par une poussée subite, le gode vint frapper contre l'hymen. La première attaque fut veine. Le sexe se retira. Sans laisser le temps à Alice de respirer, cette dernière était plus que jamais transie de souffrance, Sandra poussa à nouveau sur son sexe. La force de l'attaque, eut raison de toute résistance, et c'est dans un cri accompagné de pleurs que le gode pénétra en vainqueur dans une place inexplorée. Alice était maintenant en larme, inconsolable. Sa mère lécha les gouttes qui coulaient le long de son visage, tout en la prenant dans ses bras. << Voila, voila, ma petite chérie ! C'est fait, tu es une femme maintenant >. Elle retira le gode. Ce dernier était taché de quelques gouttes de sang. Elle vint à nouveau consoler sa petite fille. << Oh, maman, tu m'as fait mal, tu sais. Mais, c'est bien vrai, je n'ai plus mon pucelage >. << Oui, regarde, ma chérie, le sang sur le gode. Tu pourras, maintenant te faire baiser dans le con, par moi ou ta sœur. Et tu verras que t'y prendras plaisir. Viens donc me pisser dessus, petite cochonne >. Sandra s'allongea sur le dos. Les draps étaient déjà baignés de leur urine. L'odeur pisseuse de la chambre ajoutait à cette atmosphère. Là où d'autres auraient été rebutés par l'odeur, chez nos deux protagonistes cela produisait l'effet d'un aphrodisiaque. Plus la pestilence était forte et plus leurs ébats sombraient dans une folie sans nom. La honte les submergeait après la jouissance. Alice prit position au dessus de sa mère, tout près de son visage. Elle ouvrit les lèvres de son con, la pisse gicla aussitôt accompagnée d'un soupire. Le liquide éclaboussa le corps de Sandra, dégringola pour tacher les draps déjà bien imbibés. Elle rectifia le tir. Elle s'accroupit au dessus de sa bouche. La pisse fut avalée promptement. Mais, pendant qu'elle refermait la bouche, le liquide continuait de couler, inondant le visage et les draps. Enfin, la mixions s'interrompit. Alice avait joui plusieurs fois durant l'opération. Elle se coucha près de sa mère, puis baisa sa bouche chargée de ses odeurs et de son goût. Enfin, gênée, elle se dégagea. << Dis, maman, je peux te demander quelque chose, interrogea-t-elle ? > << Quoi donc, Alice ? > << Tu te rappelles quand vendredi dernier j'ai enculé Giselle ? Et bien, j'aimerais que tu me le fasses, et je pourrais aussi t'enculer, dis >. La requête étonna la jeune mère. Alice apprenait vite, et mieux elle avait du vice. C'est ce qui la différenciait de sa grande sœur. Giselle pouvait se livrer aux actes les plus extrêmes, tout en conservant son innocence et une certaine naïveté. Elle vivait cela comme une poésie de Villon. La cadette, elle s'adonnait à ses turpitudes par goût. << Mais bien sûr, ma chérie, acquiesça-t-elle avec joie. D'ailleurs, je n'osais pas te le demander. Mais, tu n'as pas envie de chier ? > << Oh, oui, maman. Et une terrible envie. Mais je veux que ta queue me touche la merde au fond du cul. Je veux, qu'après l'enculade je ne puisse plus me retenir de faire caca et que je chie des gros boudins sur le lit. On s'en mettra partout, tu verras. La chambre puera. Et c'est ce que je veux, s'exclama une Alice en transe >. << Oui, c'est ce que nous voulons toutes les deux. Et tu seras exaucée. Je vais te déboucher le trou du cul avec le gros gode. En voila une idée. Rien qu'à l'idée d'y penser, je jouis. Et puis la merde atténuera la douleur de l'enculage. Mais avant, viens sucer le gode, et mouille le bien avec ta salive, il faut que ça rentre comme dans du beurre >. Alice s'exécuta immédiatement. Elle prit en bouche le faux sexe aux dimensions raisonnables. Après quelques succions, elle éjecta le gode, puis elle cracha sur le bout. Sur un signe de sa mère, elle se mit à quatre pattes. Sandra souleva le cul de sa fille, elle vint effleurer de son sexe le trou plissé. Mais, au lieu de procéder à l'enculage, c'est sa bouche qu'elle offrit au trou. Sous la surprise, la jeune fille émit quelques gémissements. << Oh, maman ! Tu me lèches le trou du cul. Tu lèches mon trou à merde, par là où je chie. Ta langue me donne envie de faire caca. Oui, vas y plus profond. Sens ma merde sur ta langue >. La langue de Sandra avait pénétré l'antre jusque là inexploré. Elle fut assaillie par un goût de pourriture, et une odeur caractéristique. Alice ne demandait qu'à faire sortir l'étron. Cela faisait plusieurs jours qu'elle s'était retenue, et elle ne pouvait plus. << Essaies de te retenir encore un peu, ma chérie, murmura Sandra. Je vais maintenant t'enculer dans ta merde >. Ses paroles furent suivies d'effet. Le gode força la pastille, et pénétra comme dans du beurre. La merde avait préparé le conduit anal. Elle moula le sexe, et ses mouvements étaient accompagnés de bruits incongrus. << Oh, je la sens ta merde dans ton trou. T'es vraiment prête à faire un gros caca petite cochonne. Dans un instant je vais te libérer les intestins, je vais te déboucher le trou >. Le gode alla se ficher au fond du rectum. Sandra prit sa fille par les hanches et avec un gémissement roque, elle secoua son corps d'avant en arrière. Une petite odeur était apparue dans la chambre. La queue ramenait à chaque va et vient un peu de merde. La jeune mère avait envie de jouir, elle activait ses mouvements, le gode venait se contracter sur son vagin, provoquant chaque fois une sensation irréelle. << Oh, ma petite chérie, je crois que je vais venir, je vais jouir en t'enculant dans ta merde ! s'écria sa mère au bord de la jouissance >. Les excréments suivaient le gode dans ses mouvements. Ils s'échappaient du rectum, puis étaient repoussés au fond. Cela produisait une sensation de plénitude à Alice. Elle criait presque quand le gode revenait au fond du trou. Elle laissa échapper des gémissements de souffrance. Elle ne parvenait plus à se retenir. Le faux sexe innervait ses muqueuses par ses allers et retours. Ca y est, elle allait chier dans un moment. Paniquée, elle alerta sa mère. << Maman, maman !! Retire toi, je vais chier, je vais chier ! > << Non pas maintenant. Je vais venir, oh je vais jouir ! > << Non, maman ! Je chie, je chie, gémit elle, la voix enrouée de larmes >. La merde commençait à s'échapper du petit trou. La pièce s'imprégna aussitôt de l'odeur. La bitte revenait chargée de la glaire foireuse, qui s'écoulait gouttes à gouttes le long des cuisses de la petite Alice. Les yeux de Sandra virèrent au blanc. Elle avait atteint le point de non retour. << Oh, Alice vas y chie !! Chie sur la bitte. Ne te retiens plus, vas y fais le, r la Sandra, un filet de bave s'échappa aux commissures de ses lèvres >. << Merci, maman. Ca y est, je chie, oh oui !!! >. La petite força sur ses sphincters. Son visage s'empourpra et se creusa de rides devant l'effort. Un long pet fusa, accompagnant la coulée merdique. L'odeur de la chambre s'imprégna aussitôt d'une odeur écoeurante et insupportable pour les non initiés. La merde érupta du trou. Elle se colla au faux sexe avant de s'échapper, et de s'écraser contre les draps. Sandra n'arrêta pas la sodomie. De la main gauche, elle recueillait la mixture. A chaque coulée, elle peinturlurait le ventre de sa fille. Elle avait commencé par le sexe, puis elle remontait le long de son buste. Enfin ses deux mains agrippèrent les mignons petits seins d'Alice. Et dans cette cadence, elle acheva l'enculage bestial. La merde tomba sur les draps mouillés. << Oh, je viens, je vieeeens, s'écria-t-elle. Puis comme transpercée d'une épée, elle fut secouée de spasmes, et elle retomba sur le corps de sa fille qu'elle écrasa tout à fait. Une bave ardente s'échappa de sa bouche, et vint tacher la joue gauche d'Alice >. Alice qui n'avait pas joui, décula. Le sexe sortit du trou accompagné de borborygmes. Un pet violent fusa de son anus, et une merde molle et verd tre s'écrasa sur les draps. C'est avec un certain soulagement, qu'elle termina la défécation. Elle se redressa, contempla le corps inanimé de sa mère avec la queue souillée qui pendait entre ses cuisses. En plein milieu du lit, un paquet d'excréments s'étalait comme un dégueuli immonde. La matière était molle, elle dégageait une odeur soufrée, qui avait imprégné la pièce depuis un moment. Dans le désire de jouir au plus vite, la gamine s'étala de son long sur le drap sali, écrasant la merde entre son ventre et ses seins. Elle fut prise de folie. Le contact de la merde sur sa peau, l'odeur plus puissante encore eurent raison d'elle. Elle se roula dans ses cochonneries, s'en peinturlura le buste de brun, puis se relevant tout à fait, elle plongea la tête dans la fange écrasée. Son visage, ses cheveux même, se colorèrent. Elle happa au passage un bout d'étron, et elle le mastiqua nerveusement. Alice se convulsa, elle émit un bruit animal avant de retomber transie et épuisée sur le lit. Les deux femmes s'étreignirent et s'embrassèrent. Sandra commença à lécher le visage d'Alice. Elles échangèrent leur salive. En reprenant leur force, elles s'amusèrent à se cracher dessus. Elles pissèrent de concert. Les draps étaient baignés par une petite mare jaun tre. La merde aussi était partout. La tapisserie blanche de la chambre était même salie. << Attend, petite cochonne, c'est pas fini. Moi aussi, j'ai envie de faire caca. Alors viens, mets toi à genoux comme pour quémander une faveur, j'ai une surprise pour toi >. Alice en fille de bonne éducation, obéit à sa mère. Elle se tint comme il lui était dit. Sandra se mit debout, sur le lit. Elle présenta son cul, au dessus de la tête blonde d'Alice. Cette dernière souleva son menton, sa bouche s'approcha du trou du cul tant désiré. Mais, ce n'était pas ce que sa mère voulait. << Non, Alice. Pas ta bouche, ta tête. Tu comprends, je veux que tu restes comme ça >. Alice s'exécuta à nouveau. Le cul de Sandra frôla la tête de sa victime. Elle la prit entre ses mains, puis son cul se frotta contre le cuir chevelu, et comme si elle voulut s'en servir d'un siège, elle tint la position. Elle poussa de toutes ses forces sur ses sphincters. Un étron épais s'échappa de l'anus, il s'enroula sur les cheveux de la jeune fille. Un deuxième étron suivit. Il dévala de la tête au front et au cou d'Alice, pour s'écraser sur les draps. Sandra n'était pas restée inactive. Elle avait pissé dans le même temps, et la merde s'était délayée. Elle appliqua l'onction comme un shampoing. Elle frotta les cheveux devenus bruns. Elle stoppa la défécation. Alice était peinte de la tête aux pieds. Le fumer des deux merdes était insupportable. Alice manqua de défaillir. Sandra prit la merde restée sur les draps, pour s'appliquer le même shampoing. << Oh, maintenant j'ai trop encore envie de jouir et je sais ce qu'il me faut, allonge toi, s'écria-t-elle >. Alice encore une fois obtempéra. Elle savait ce que voulait sa mère et cela l'émoustillait au plus haut point. Sandra s'assit sur le ventre de sa fille. << Tu es prête ? Tu sais ce que je veux, n'est-ce pas, hein >. Elle n'attendit pas la réponse. Elle souleva son cul pour le porter contre le vagin saillant de la jeune fille. Puis, son visage se marqua de rides. Elle souffla comme un animal en rut. Alice sentit une forme visqueuse et chaude investir son con. Elle hurla sa joie. Elle n'avait plus mal. L'étron en pénétrant dans le vagin, produisait une sensation de frottement pas désagréable. La fin de la défécation fut accueillie par Sandra comme une délivrance. Elle souleva son cul et l'approcha du visage de sa fille. << Lèche-moi le trou du cul, petite salope. Oui c'est ça comme tu le fais bien. Nettoie bien. Oui, à l'intérieur, comme ça >. Elles s'embrassèrent après l'opération. Comme deux monstresses, elles goûtèrent leur merde. Sandra parlait tout bas, c'était presque un murmure. << Tu vas manger ma merde. Chie toi dessus. Oui, c'est ça fais le poirier, là >. Alice exécuta la figure acrobatique. Son con se présentait à l'orée de sa bouche. Elle se secoua et le paquet de merde tomba sur son visage ravi, happé par une bouche avide. Elle m cha le contenu, le fit rouler entre ses joues. Sandra s'allongea sur sa fille. Alice ressortit l'étron remoulé par ses soins. Elles échangèrent le cadeau. De longs bisous merdeux furent l'apothéose de leur relation. La jouissance les surprit en pleine passion. La chambre puait comme jamais. Elles s'embrassèrent une dernière fois, puis sombrèrent dans un sommeil profond. L'innocence avait jeté son bras sur ces deux corps nus.