Note: This story was dynamically reformatted for online reading convenience. CACA AU LIT Synopsis : Sandra mère de famille de 37 ans, Giselle sa fille a"née gée de 14 ans et Alice la cadette de 11 ans. Pendant que le père travaille (il est gardien de nuit), la mère et sa fille a"née s'amusent à des jeux caca dans la chambre conjugale, Alice qui n'arrive pas à dormir aimerait aussi y participer. (Ffg, inceste mère - fille, entre sœurs, ws, scat) << Pour la dernière fois Alice, va prendre ta douche et va te coucher ! Je ne le répéterai pas. > << Mais, maman, il n'y a pas classe demain, c'est samedi, et papa a dit que j'avais le droit de regarder la télé. > << Je n'ai pas envie de regarder la télé ce soir, et ta sœur et moi nous allons nous coucher tôt. > La gamine maugréa, il était à peine neuf heures du soir, et elle n'avait pas du tout envie de se coucher si tôt. Mais, elle connaissait sa mère. Elle avait appris à la craindre plus que son père, qu'elle voyait peu. Tout en grognant, et en claquant la porte de dépit, elle s'enferma dans la salle de bain. Un sourire malicieux se peignit sur le visage de sa sœur a"née, Giselle. Pendant la dispute entre la mère et la fille, elle chargeait le lave vaisselle et avait tout entendu. Sandra s'approcha de Giselle et la tint à la taille comme font deux amoureux. Depuis deux ans déjà, elles couchaient presque tous les soirs dans le même lit, profitant des absences forcées du père. << Ce soir, tu viens coucher dans mon lit, hein, tu sais au bureau, j'ai songé à toutes les horreurs qu'on pourrait faire cette nuit. > << A quoi, penses-tu, maman ? > Elle sourit à la pensée de ce qu'elles allaient accomplir dans quelques instants. << As-tu envie de faire caca, moi j'ai une forte envie, je ne sais pas si je pourrai tenir jusqu'à ce que ta sœur aille au lit. La dernière fois que j'ai chié, c'était il y a trois jours. > << Moi aussi j'ai envie de chier, maman. La dernière fois on l'a fait ensemble. Tu te rappelles, on s'est chiées dessus dans la salle de bain, juste avant de se coucher. Le temps que ça nous a pris pour nous débarbouiller ! > Les deux femmes se mirent à sourire à l'évocation de ce souvenir. Il est vrai qu'elles avaient l'air cocasses, toutes deux barbouillées de merde de la tête aux pieds. A un moment de la soirée, elles avaient craint qu'Alice ne les surprenne. Elle s'était éveillée en plein milieu de la nuit. Heureusement, elle ne s'était levée que pour boire. << Dès qu'Alice aura quitté la salle de bain et sera partie se coucher, on pourra le faire à nouveau. J'espère qu'elle va se dépêcher, parce que là vraiment, je n'en peux plus ! >, rétorqua Giselle. << C'est que vois-tu, j'ai d'autres projets en tête >, répondit sa maman. << Quoi donc ? Je ne sais si je pourrais faire l'amour avant d'avoir chié >, s'inquiéta la jeune adolescente. << Ce n'est pas ça. Mais j'en ai marre que nous fassions ça toujours dans la salle d'eau. Si on le faisait dans ma chambre, dans mon lit, qu'en dis-tu ? > << Quoi tu veux faire ça au lit ! Mais c'est dégueulasse, et les draps et le matelas... > << On s'en fout, ça fait un moment que j'y pense, tu sais. On joue à notre partie scato comme deux amoureuses honteuses. Faire ça aux toilettes, ça n'est pas comme faire l'amour. L'amour se fait dans un lit. J'aimerai que cette nuit nous soyons merdeuses de la tête aux pieds, que l'on s'endorme dans nos saletés, qu'on se réveille au petit matin heureuses et repues sans aucune honte. Et puis les draps ça se lave. Il n'y a aucun risque qu'on nous surprenne. Ta sœur se lève à 7h pour aller à la gymnastique, et ton père ne rentre que demain après midi. > << Oh ! >, rougit la jeune fille, plus excitée que jamais à l'idée atroce. C'était comme si elles s'apprêtaient cette nuit à jeter leur dernier reste de civilisation stéréotypée au panier, qu'elles allaient franchir un dernier pallier de la satisfaction honteuse à l'acceptation de soi. La porte de la salle de bain s'ouvrit dans un vacarme infernal. Alice venait de para"tre sur le seuil de la cuisine et toisa les deux femmes. << S'il te plait, maman, je n'ai pas sommeil. Je n'arriverai d'ailleurs pas à dormir. > << Non, il n'y a pas à insister. Je suis d'ailleurs fatiguée et je ne vais pas tarder à aller me coucher. > << Et Giselle... Je constate que c'est bien elle ta préférée, tu ne l'envoies pas au lit, elle. > << Elle va y aller, il y a qu'elle, elle me fait pas toute une comédie pour rester. > << Bon... >, répondit Alice et tout en bougonnant elle alla s'enfermer dans sa chambre. << Je crois que la voie est libre, tu es toujours partante. > << Plus que jamais, maman. Mais j'ai peur, ce ne sera pas aussi facile que de faire ça aux toilettes >, s'inquiéta Giselle. Mais sa mère arbora un grand sourire et répondit : << Tu as qu'à oublier que nous sommes dans ma chambre, que c'est une vaste toilette qui pue la merde et la pisse. Quant à moi, l'idée va me faire redoubler d'ardeur. Allez viens, je sens que je ne vais plus pouvoir me retenir longtemps. > Sandra prit sa fille par la main et l'entra"na dans sa chambre. Elle la coucha sur le lit et la déshabilla promptement. Puis, se redressant, elle se dévêtit elle-même, doucement. C'était presque devenu un rituel entre elles. Elle fit glisser lentement sa robe à ses pieds. Elle dégrafa le soutien gorge, ensuite elle baissa sa culotte suffisamment pour montrer sa chatte charnue. Elle écarta les lèvres de son sexe, une mouille abondante s'échappa et vint tacher le drap. << Oh, maman comme tu mouilles ! > << Je sais, chérie. J'ai rêvé de cette nuit toute l'après midi et l'idée que nous allons faire caca au lit me fait mouiller plus que jamais. Il suffira que tu lèches ma chatte pour que je jouisse. > << Alors, viens maman je vais la laver ta chatte baveuse >. Sandra à ces mots s'accroupit près de la bouche de sa fille, la culotte baissée à ses genoux. Giselle fut assaillie par la forte odeur dégagée par le sexe de sa mère, l'odeur d'un sexe mal lavé, d'une mouille aux relents acides, de la senteur de pisse retenue entre les plis du sexe. Sandra avait toujours pris une certaine liberté avec son hygiène personnelle. Elle avait pour habitude de ne véritablement laver que les parties visibles. Pour le reste, elle utilisait un très fort déodorant. Giselle lécha avec application la chatte de Sandra. Cette dernière émit un bruit rauque. La langue de sa fille l'excitait. Elle avait une terrible envie de jouir. << Oh, oui ! Vas-y, je sens que je ne vais pas tarder à venir. Suce avec ta langue, oui c'est ça ! Mets ta langue en conque et pénètre moi la chatte, boit ma mouille. Ouiii, je te sens à fond ! > Giselle lapa avec avidité la mouille qui s'échappait de sa chatte, elle avait le goût fort d'une femme qui a envie de jouir. Sandra frottait son sexe sur le visage de sa fille, ses yeux viraient au blanc. << Cà y est je viens ! Je vais jouir. Oh ouiii, je vieeeeeens ! >. Sandra hoqueta sous le coup de la jouissance et s'écroula sur le lit à côté de sa fille. Giselle enroula son corps sur celui de sa mère. Les deux femmes s'embrassèrent pendant un long moment jusqu'à perdre souffle. << Crache-moi dessus, petite cochonne. Je boirai tout de toi, je vais tout manger >. Des petits crachats aspergèrent son beau visage, atteignant sa bouche, s'écoulant aux commissures de ses lèvres le long de son cou et venant tacher les draps. << J'ai maintenant envie de pisser, et je crois que j'ai une idée >, ajouta Sandra avec un sourire sur les lèvres. Sandra s'assit sur le bord du lit, elle remonta sa culotte. << Mais, je pensais que tu voulais pisser >. << Oui, mais tu verras c'est plus marrant comme cela, tu vas me lécher la chatte à travers le slip >. << Oh ! > Giselle comprenait ce que voulait sa mère et l'idée l'émoustilla. Sandra s'accroupit à nouveau sur le visage de sa fille, la culotte sur son sexe. La jeune fille devinait les plis de la chatte de sa mère cachée par le coton maculé de taches jaun tres et blanch tres. Elle titilla avec sa langue le renflement. Soudain, un liquide gicla et s'écoula le long de la culotte et sur son visage. Giselle ouvrit la bouche pour boire la pisse, mais la mixture pleuvait dru et vint imprégner les draps de larges traces jaunes. Sandra n'arrivait pas à stopper la giclée. Elle s'était retenue de pisser toute l'après-midi. La pisse baigna le visage de sa fille. Elle arrivait parfois à boire le liquide mais quand elle refermait la bouche pour avaler, le pipi aspergeait sa figure et le lit. La mère poussait des gémissements de joie, et tout en roucoulant, le liquide jaun tre prenait de l'ampleur et s'écoulait avec force. C'est avec un soulagement à peine contenu que Sandra sentit le flux de sa pisse diminuer. De petites rigoles se formaient le long de ses jambes, elles s'écoulaient goutte à goutte sur le visage radieux de sa fille bien aimée. "Oh, maman, c'est déjà fini ? Tu sais ta pisse est délicieuse. Je pourrais en boire des litres et des litres, un vrai régal" dit la jeune fille tout en léchant le slip imprégné de la pisse de sa mère. Sandra, repue et tout heureuse de s'être laissée aller, vint s'allonger auprès de Giselle dans un grand flop. "Oh, regarde cochonne ce que tu as fais. Tu n'es donc pas capable de boire sans en perdre une goutte. La prochaine fois je te mettrai un bavoir". Bien sûr, la colère de la mère était feinte. Elle était arrivée au résultat qu'elle désirait. Les draps du lit étaient maintenant baignés de son urine. "Giselle ! Je crois que maintenant, ça y est, je ne vais plus pouvoir me retenir, je vais chier dans un moment" "Maman, laisse moi goûter ton cul d'abord. Je veux goûter ta merde, je veux tout bouffer, tout !" s'écria Giselle. Elle glissa sa main le long de son sexe impatient. Elle commença à se masturber. "Oh, petite cochonne, comme je vais mal me tenir dans un moment, viens que je te montre mon trou du cul. Je crois bien qu'il est noir de ma merde puante". Sur ce, elle baissa la culotte à ses genoux et promptement elle s'accroupit sur le visage de sa propre fille. Dès que le cul fut sur elle, la jeune fille défaillit, tant l'odeur d'excréments était forte. Le trou du cul de Sandra était effectivement tout barbouillé de merde. Elle n'avait pas du s'essuyer le cul depuis un moment. Des filets d'excréments poisseux collaient aux poils noirs et drus de la jeune mère. Cela produisait une forte odeur, de fromage trop fermenté ou de pourriture. Giselle, ne s'en laissa pas compter. Elle aimait l'odeur de la merde. Elle adorait s'en barbouiller depuis son plus jeune ge. Elle inspira profondément, pour que chacune de ses fibres gardent l'odeur pestilentielle d'un excrément bien macéré. "C'est le cul de maman, je vais manger sa merde !" Giselle était au bord de la jouissance, elle comprenait l'offrande spéciale que lui faisait sa mère et elle n'aurait pas cédé sa place pour tout l'or du monde. "Vas-y lèche moi le trou du cul merdeux. Je vais chier, je vais en mettre partout, sur le lit, partout !" Sandra était particulièrement vulgaire dans les moments qui précédaient la naissance de l'étron. Subrepticement, elle poussait vers la sortie l'horrible festin. Elle sentait que son plaisir était proche. Elle était dans sa chambre, les fenêtres fermées, et elle allait faire caca sur le visage de Giselle. Déjà, la merde pointa le bout de son nez. Elle teintait sur le marron. Giselle fut assaillie par le fumer de l'étron. Elle ouvrit les yeux pour s'apercevoir que sa mère avait commencé son affaire. "Oh, maman, tu vas me chier dessus. Je veux ta merde, je veux la manger. Maman, merci, merci !" s'écria la jeune fille au bord de l'orgasme, sa main gauche triturait son clitoris. Alors, que la merde s'épaississait, l'odeur devenait insoutenable. La chambre puait de cette odeur si particulière. L'étron était sorti de dix centimètres du trou de sa jeune donneuse. Son bout merdeux taquinait le nez de Giselle. Cette dernière inhala avec un contentement certain le doux fumer. Elle s'imprégna de l'odeur et l'envie d'aller plus loin devenait plus forte. Sandra se redressa soudain, et avec vivacité, elle remonta sa culotte sur son cul. "Mais, maman, qu'est-ce que tu fais ? Je croyais que tu allais me chier sur la gueule", fit l'adolescente surprise et déçue. "Non, ma chérie, je vais chier dans ma culotte. Il y a tellement longtemps que je ne l'ai plus fait. Tu verras ce serra encore meilleur. Tiens moi le cul et sens mon étron forcer le fond de ma culotte." Giselle s'agenouilla sur le bord du lit. Sa mère vint la rejoindre et lui tendit son cul à quelques centimètres de son visage. L'adolescente agrippa à deux mains les fesses de Sandra. Elle ne puit s'empêcher de lécher le renflement merdeux de la culotte. "Vas-y maman, tu peux chier", s'enquit la jeune Giselle. Alors que sa mère s'apprêtait à pousser sur ses sphincters pour se libérer d'un grand poids, elle se redressa tout à fait, p le de terreur comme si elle avait aperçu un fantôme. "Oh, mon Dieu !", s'écria-t-elle. "Quoi, qu'est-ce qu'il y a ? demanda Giselle, qui ne comprenait rien à la soudaine attitude de sa mère. Mais, quand elle dégagea son visage du cul de Sandra elle fut elle aussi prise de terreur. Elle vit, sa jeune soeur, Alice qui se tenait dans l'embrasure de la porte. Elle était nue et ses petits seins tout mignons arquaient leur nez fièrement. Les deux femmes ne purent dire un mot, devant l'apparition. Sandra, tenta néanmoins de se justifier. "Tu sais, Alice, ce n'est pas ..." Un sourire malicieux se peignit sur le visage de la gamine. Sandra resta prostrée, étonnée par l'attitude de sa plus jeune fille. Elle semblait seulement réaliser qu'Alice était nue. La gamine s'approcha doucement du duo, et grimpa sur le lit. << Je vois pourquoi, vous vouliez tellement que j'aille au lit ! >, mais Alice prononça ces mots sans colère d'un ton monocorde. << Et, je sais ça déjà depuis un mois >, reprit elle. << Tu sais, quoi ? >, s'inquiéta Giselle qui s'était approchée de sa jeune sœur. << Je sais que vous vous chiez dessus pratiquement toutes les nuits quand papa n'est pas là. Oh, c'est pas la peine de dire le contraire, j'ai tout vu >. << Et quand as-tu pu nous voir ? > s'écria Sandra. << Une nuit que je n'arrivais pas à dormir, poursuivit Alice, je voulais aller aux toilettes. Mais quand je voulus ouvrir la porte, j'ai entendu des gémissements. J'ai écouté pendant quelques minutes, puis je me suis cachée pour vous voir sortir de la salle de bain. J'ai compris cette nuit là qu'il y avait quelque chose qui n'était pas normal. La nuit suivante, j'ai poussé la porte, sans que vous vous en aperceviez et là j'ai eu la surprise de ma vie. Je vous ai vues toutes deux couvertes de merde et vous sembliez heureuses. Et puis cette odeur... > << Je suis désolée, que tu ais vu cette horreur, et... je peux te dire que nous ne le referons plus >, dit Sandra, les yeux embués de larme. << Non, tu comprends pas, maman. J'a' été étonnée de m'apercevoir que vous partagiez mes goûts pour la merde. Depuis, l' ge de huit ans, je crois, j'adore chier dans ma culotte. Je ne sais pas pourquoi j'aime ça, mais je le fais souvent quand il n'y a personne à la maison, et j'y prend chaque fois un grand plaisir. Et puis tu sais, Giselle sait que j'aime chier dans mes culottes, elle m'a surprise il y a un peu plus d'un an... > Sandra se retourna vers Giselle qui avait écouté religieusement la confession de sa sœur et après un moment s'écria : << Et tu ne m'as rien dit ! Mais comment as-tu découvert ce qu'elle faisait ? >. Giselle semblait gênée de devoir se justifier. Elle prit un moment avant de répondre. << Alice ne pensait pas que je rentrerai si tôt de l'école. Elle n'avait pas fermé la porte de la salle de bain et quand j'ai ouvert la porte d'entrée, elle était trop dans ce qu'elle faisait pour m'entendre. Puis je l'ai vue, de dos, agenouillée sur le sol près de la cuvette des toilettes, la culotte baissée à ses genoux. Elle était remplie d'un formidable étron... >. << Et, que faisait-elle ? >, demanda Sandra. << Elle était en train de se branler avec sa main merdeuse, à ces mots la jeune Alice rougit,elle s'en mettait partout, sur le sexe, ses seins, et elle gémissait comme un chienne en chaleur... Effectivement, elle ne m'avait pas entendue entrer, mais la scène qui se déroulait devant mes yeux avait quelque chose d'extraordinairement érotique. Non, ne t'inquiète maman, nous n'avons rien fait de mal... Quand, elle a joui elle s'est retournée pour se barbouiller du reste de l'étron qui était dans sa culotte, et c'est là qu'elle m'a vue. Elle s'est mise à pleurer et m'a demandé de ne rien te dire >. La mère des deux jeunes filles ne puit renchérir. Elle était confuse, mais ce fut Alice qui rompit le silence. << Ca ne doit pas te mette mal à l'aise, maman. J'aime ce que vous fa"tes et j'aimerais moi aussi participer et je voudrais être toute merdeuse comme vous et... >. << Mais, grand Dieu, à onze ans tu ne devrais pas penser à ça. Tu sais c'est dégueulasse ! Tu crois quoi, c'est pas normal que tu penses à de pareilles cochonneries... >. << Mais, maman, je ne suis plus une petite fille et je sais ce qu'est le sexe, et les copines de mon ge ne rêvent pas au prince charmant, ce qu'on veut avant tout c'est prendre son pied c'est tout, et moi y a que le caca qui me fait jouir. Là, en ce moment je sens l'odeur de ta merde. Je sais que tu as commencé à chier dans ta culotte, et ça pue vraiment, mais j'aime ça... >. << Te fais jouir ? s'écria Sandra, mais tu n'as que onze ans et tu ne devrais pas penser à ça ! Maintenant je te demande d'aller dans ta chambre et Giselle va y aller aussi, allez ouste du balai ! >. C'est le moment que choisit Giselle pour intervenir et d'une voix douce s'adressa à sa mère. << Elle pourrait participer aussi à nos jeux. N'avais-je pas le même ge qu'elle quand nous avons dormi dans le même lit pour la première fois ? > << Tu avais douze ans et pour moi ce n'est pas la même chose... > << Oh, onze ans ou douze ans s'écria Giselle, il n'y a que toi qui fais la différence. Elle est prête pour participer à nos ébats, tu aurais vu comme elle se branlait avec ses mains merdeuses, qu'elle s'en foutait partout. Et puis, tu devrais voir la taille de ses étrons. J'ai toujours été étonnée qu'un si petit cul puisse chier une telle quantité de merde >. Pendant le discours de sa sœur, Alice s'était rapprochée de sa mère, ses petits seins effleuraient la poitrine de sa génitrice. Sandra tourna la tête pour voir sa jeune fille presque quémander une faveur. Elle avait les yeux pleureurs et suppliants d'un jeune chiot. Cette attitude eut pour effet de la radoucir. << Tu veux vraiment participer à notre partie scato, répliqua Sandra en s'adressant à Alice. Tu sais ça va être crade, on va faire caca sur mon lit. Cette chambre va vraiment puer la merde >. << T'inquiètes pas, maman. C'est ce que je veux. Et quand j'ai vu que vous alliez faire vos dégueulasseries dans ta chambre, je crois que j'ai joui comme une grosse truie >. Sandra ne puit s'empêcher de sourire. Alice avait toujours possédé un langage si peu ch tié, et en d'autres temps elle aurait réprimé une telle allocution. Mais, elle était ce jour dans de meilleurs termes. L'idée de faire participer sa jeune fille, lui faisait monter la température. << C'est bien, tu peux rester avec nous, mais ne viens pas te plaindre après >. << Youpii ! s'écria Alice en sautant sur le lit, et en retombant elle s'affala complètement et de tout son long sur le matelas >. Giselle vint s'allonger près de sa sœur. Elles s'observèrent avec une envie irrépressible. Et d'un mouvement brusque, elle colla sa bouche contre celle d'Alice. Elles échangèrent un brûlant baiser, puis se séparèrent pour reprendre leur souffle. << Oh, fit la jeune mère étonnée, voilà qui est nouveau. Je peux vous dire qu'il n' y a rien de plus jouissif que de voir deux sœurs s'embrasser. Vraiment, vous me g tez. Je crois que cette nuit va être à jamais mémorable. Tu as aimé le baiser de ta sœur ? > << Embrasse-moi, maman, rétorqua Alice pour seule réponse >. Sandra approcha ses lèvres d'Alice et l'embrassa timidement au tout début, puis avec plus de conviction. Pendant l'embrassade, les deux amantes se roulaient sur le lit. Sandra s'allongea sur sa fille et fit pression de son poids jusqu'à presque l'étouffer. Mais la gamine ne chercha pas à se dégager. Sandra de sa langue força le passage de la jeune bouche. La langue s'imissait dans les moindres recoins et cavités. Elle cracha sa salive et Alice toute surprise au début de sentir ce corps étranger envahir sa bouche, se mit aussi à faire de même. La salive coula aux commissures de ses lèvres, le long de sa joue, et coula sur les draps. Sandra se redressa lentement, et par de bruits de succions aspira la salive. Enfin, Sandra rompit le langoureux baiser. << Oh, maman, dit Alice j'ai cru que j'allais étouffer. Mais j'aime ça et je voudrais pouvoir t'embrasser tous les jours. Tu embrasses bien mieux que Fabrice, un garçon de l'école >. Sandra fut flattée du compliment. Elle s'allongea sur le dos, côte à côte avec sa fille, tout en grimaçant de douleur. << Qu'est-ce que t'as maman ? demanda Giselle inquiète > << Rien, mon amour. C'est que j'ai maintenant une terrible envie de chier. Je n'ai pas fini mes besoins. Regarde comme la merde est écrasée au fond de ma culotte. Et ça pue, je te dis pas. Mais j'aimerai avant que vous me pissiez dessus petites cochonnes >. << S'il n'y a que ça pour te flaire plaisir, répliqua Giselle. Allez, viens Alice on va pisser sur maman >. Les deux gamines se mirent debout. Giselle prit position au dessus de la bouche de Sandra. Quant à Alice, elle préférait mouiller le sexe d'où voilà onze ans elle était sortie. Le liquide jaillit dru de la chatte à peine poilue de Giselle. Le pipi s'écoula avec force dans la bouche grande ouverte. Une grande partie éclaboussa et tacha les draps déjà imbibés. Alice après une longue inspiration, pissa sur le sexe de sa mère. Son urine était moins abondante. Et puis, elle n'avait pas l'habitude de s'oublier comme ça. Le trac semblait contrarier sa pressente envie. << Laisses-toi aller, penses que tu es aux toilettes, sur la cuvette des wc, Alice, conseilla Sandra >. Ses doigts trituraient le clito de la gamine. Elle accéléra le mouvement pour l'obliger à se libérer. Bientôt, Alice sentit les effets de la branlette. Son envie d'uriner était plus forte. << Oh, ça y est, maman je vais pisser ! Je pisse, regarde maman comme je te pisse dessus. Continue de me branler, je vais jouir en te pissant dessus !!! s'écria Alice au bord de l'orgasme > Le pipi gicla sur le corps de Sandra. Elle était maintenant toute mouillée de la tête aux pieds. Sa culotte, qu'elle portait encore devenait une véritable éponge. << Ca y est maman, je jouis. Ouiii >. Au moment de l'orgasme, la jeune Alice émit un son rauque et s'écroula sur le corps trempé de sa mère. Sandra n'avait rien manqué de la scène. Attendrie plus que jamais, elle couvrait sa petite fille de baisers. La jeune fille se remettait à peine d'avoir tant joui, elle semblait émerger d'un rêve. << Oh, maman, c'était mieux que tout ce que j'avais imaginé. Je voudrai qu'on se pisse dessus tous les jours. Que l'on pisse sur les draps, au lit avant d'aller se coucher >. << On le fera c'est promis, ma petite chérie. Je veux maintenant que l'on couche tous les soirs dans le même lit, qu'on fasse l'amour et qu'on pisse au lit. Merci, mes chéries de m'avoir révéler ce qu'il y a peu j'ignorais. Je m'ennuyais dans cette vie de merde. André est un bon père et un bon mari, mais au lit c'est une nouille. Je n'ai jamais pris mon pied quand on faisait l'amour. Je crois que maintenant je ne pourrais plus me passer de ces plaisirs interdits. Je vous aime toutes deux, mes chéries et plus qu'une mère, comme une ma"tresse, une amante. Acceptez vous ce changement, je ne serais plus votre maman adorée, mais votre petite amie, et nous ferons l'amour toutes les nuits >. << Oh, oui maman, répliqua Giselle. Ce serait super de pouvoir tout partager, même notre merde. On a vraiment de la chance de t'avoir, toutes les mères ne sont pas aussi compréhensives que toi. Mais, tu n'as pas envie de pisser en ce moment. Tu pourrais le faire sur nous. Tu sais que j'adore quand tu me pisses dessus >. << Oui, je sais. Mais là je préférerais me pisser dessus, et vous allez m'aider mes petites cochonnes. Je n'ai plus la souplesse de mes douze ans >. << Mais comment, maman, tu vas pouvoir te pisser dessus ? demanda la naïve Alice > << Tu ne comprends pas, elle va faire le poirier >. Alice était une gymnaste apprentie, et elle connaissait parfaitement la figure du poirier. Du coup, il lui parut évident que la combinaison bien exécutée rendrait la chose possible. Sandra avait déjà commencé à prendre la posture. Elle redressa son buste et attira vers elle ses jambes. Giselle l'aida à prendre la position. Elle soutenait le dos de sa mère qui bientôt forma un y. Ses jambes descendirent maintenant lentement sur son visage. Giselle plaça son visage juste au dessus du cul de sa mère. Elle fut assaillie par la puissante odeur de l'excrément. La merde avait été écrasée, et s'était répandue sur le fond de la culotte, remontant presque sur son sexe. << Ca y est maman, tu peux y aller. Pisses-toi dessus grosse truie ! > << Oh, oui ça y est je le fais mes chéries. Je me pisse dessus, je suis une grosse cochonne qui aime toutes les dégueulasseries. Tu renifles déjà ma merde, tu vas maintenant sentir ma pisse >. La pisse s'écoula de son sexe à travers la culotte devenue transparente. On devinait plus que jamais la chatte poilue de Sandra. Le liquide jaun tre éclata telle une cascade. Il se répandait partout. Sandra recevait le pipi avec satisfaction et envie. Son corps était maintenant trempé, ses cheveux étaient noyés dans une mare. Enfin, la mixture imbibait le lit et les draps. << Oh, maman quelle pisse, tu devais vraiment avoir très envie, dit Alice quand sa mère eut terminé son besoin >. << Oui, ma chérie, je n'en pouvais plus de me retenir, acquiesça Sandra. J'ai bien cru que j'allais me faire dessus >. Les deux gamines apprécièrent la plaisanterie et en rirent de bon cœur. Mais, Sandra qui n'avait pas quitté la position, toujours soutenue par Giselle, grimaça. << Qu'est-ce que t'as, maman ? demanda Giselle >. Elle ne répondit pas à sa fille. En plein effort, son visage se marqua de rides. Elle inspira profondément avant de reprendre, comme une femme qui donne naissance. Elle émit un son guttural au sommet de sa souffrance. << Oh, je crois que maman est en train de chier, s'exclama Alice tout excitée. Elle va se chier dessus. Vas-y maman, pousse ta grosse merde hors de ton cul. Badigeonnes-toi de ta merde >. Alice s'était approchée de sa mère et contemplait ce qu'elle allait faire. Sandra péta bruyamment et l'odeur soufrée se répandit dans la pièce. << Oh, maman tu pues ! dit Giselle qui avait le nez près du cul de sa mère. Fais nous un bien gros caca, on en mettra partout. On repeindra les murs avec >. L'anus de la jeune femme s'évasa et dans un dernier pet, le bout merdeux de l'étron sortit de son antre. Il vint se mêler à l'excrément qui tapissait le fond de sa culotte. Le renflement de la merde poussa le coton pour se frayer un chemin. Les deux gamines contemplaient le spectacle avec envie. << Oh, maman ça y est ! On la voit ta merde, la bosse de ta culotte grossit >. En effet, un paquet de merde s'étalait et poussait l'élastique de la culotte. Le tissu moulait l'étron, l'emprisonnait dans sa mince sphère. Bientôt, les fesses merdeuses de Sandra se dévoilèrent. Elle n'avait pas fini de chier, et au bord d'un orgasme naissant, elle voulut se libérer. Elle poussa avec plus de violence. Le reste du caca érupta du sphincter. La matière était plus molle, elle s'étala sur ses fesses. Puis, l'amas glissa le long de ses jambes, une partie tomba sur le drap mouillé, l'autre s'écrasa contre sa poitrine et son cou. L'odeur imprégna toute la pièce. Giselle dégagea son visage du derrière de sa mère. L'infection était trop grande. << Pouh, tu schlingues, maman, c'est une horreur. Ca sent plus que d'habitude >. << Mais, la merde pue ma chérie. Je vais jouir. Oh, quelle salope je suis. Je jouis en me chiant dessus >. Le corps de Sandra fut secoué de soubresauts. Elle retomba sur le lit mollement, épuisée. Alice qui n'avait rien manqué de la scène se saisit de la merde qui reposait sur le lit et prise d'une soudaine inspiration, elle l'étala sur sa poitrine naissante. Son buste fut bientôt peint de la glaise foireuse. L'odeur devint à ce moment étouffante. Giselle ne puit le supporter. Elle sauta du lit, sortit de la chambre en trombe et courut vers les toilettes. << Mais, qu'est-ce qu'elle a maman ? Je croyais qu'elle aimait la merde >. << Tu sais, Alice on ne peut jamais dire qu'on aime la merde. Elle a des odeurs différentes. Et certaines fois alors qu'on pense qu'on est faites pour ça, que la puanteur ne nous fait pas reculer, on se met à gerber parce que la merde à des relents qui ne nous plaisent pas. On ne peut jamais savoir. Nul ne peut véritablement s'habituer à l'odeur de la merde. Et c'est vrai que ce soir je me suis surpassée >. << Moi, maman, ça ne me dégoûte pas et je pourrais faire ça tous les jours. Regarde comme je me suis peinturlurée le ventre >. << Oh, petite cochonne, tu aimes donc cette dégueulasserie. Viens que je te nettoie >. Sandra approcha son visage des petits seins de sa fille. La pensée dégénérée d'user ainsi de sa langue la titilla. Elle lécha avec application le pourtour de la poitrine. Sa merde avait le goût prononcé d'un fromage trop fermenté. Sa langue descendit pour nettoyer le ventre et le nombril. Elle parvint enfin à l'orée de la frontière des interdits, le con d'une jeune fille pré pubère. Elle lapa comme un toutou, la mouille qui sortait du sexe de sa fille et les petites gouttes de pipi. << Ah, maman, je t'en supplies ! Ne t'arrêtes pas. Je ne vais pas tarder à jouir. Je sens l'orgasme qui monte. Oh, putain, maman je jouis et je pisse. Oui, je pisse ! > La pisse gicla de sa chatte et atteignit en pleine figure la jeune mère. Cette dernière s'efforça d'ingurgiter le plus vite possible la liqueur saline. Ce qu'elle ne puit avaler, dégoulinait sur son menton et sur ses seins avant de mouiller les draps. Le corps d'Alice se détendit au sommet de la jouissance. Elle poussa un petit cri, puis retomba mollement sur le lit. Giselle venait de repara"tre dans la chambre. Elle avait assisté à l'orgasme de sa sœur. << Alors, te voilà remise ? demanda Sandra. T'as dégueulé ? > << Oui, maman. Je ne sais pas ce qui s'est passé. D'habitude l'odeur de la merde a un effet aphrodisiaque sur moi, mais là vraiment, mon ventre n'a pas supporté. Mais, je suis à nouveau partante et j'ai plus qu'envie de chier >. << Alors, monte sur le lit. Tu vas chier sur ta sœur, pendant qu'elle me léchera la culotte merdeuse. Hein, c'est ce que tu veux, demanda-t-elle à Alice >. << Oh, oui ! Merci, maman >. Sans coup férir, la jeune gamine s'allongea sur le dos en plein milieu d'une large auréole pisseuse. Giselle, enjamba sa sœur et lui tourna le dos. Elle s'accroupit lentement, de façon à laisser entrevoir son sillon fessier entre ses deux fesses menues. Elle n'avait pas beaucoup de pilosité pour une jeune fille de quatorze ans. Alice eut un haut le cœur. Le trou du cul de l'adolescente était beurré d'une large couche de merde. << Oh, Giselle t'es vraiment crade. Regarde ton trou du cul, il est tout plein de merde, se plaignit Alice >. << Et, alors je te rappelle que c'est une partie scato, et la merde fait partie du jeu >. La pièce était tout imprégnée des effluves merdeux. L'air était chargé et devenait irrespirable. Sandra approcha son cul du visage d'Alice. Cette dernière se saisit à deux mains du fessier. Elle attira vers elle la culotte salie et pleine d'excréments. Elle inhala avec délectation le doux fumer. << Oh, maman comme tu pues bon ! s'écria la jeune fille > Sa langue lécha d'abord le renflement de la culotte. La merde avait un goût sublime. L'odeur, certes aurait pu la faire reculer. Mais quand l'esprit suit, et que le vice est intact, il n'y a aucun interdit qui ne puisse être franchi. Alice était en ce moment dans un état proche de l'hystérie. Elle était à un point excitée, qu'elle ne pouvait réfléchir à l'ignominie de ce qu'elle accomplissait. Seul son plaisir comptait. Elle écarta les plis du dessous, puis après une bouffée d'air, elle plongea sa tête dans l'amas de caca semi solide. << Quelle grosse cochonne tu fais, Alice ! T'as pas honte, plaisanta Sandra. Elle était étonnée de la conversion subite de sa petite fille chérie, en une grosse truie scato que rien ne rebute >. << Oh, maman, que fait elle, demanda Giselle en retournant la tête de son côté, tout en conservant la position d'une fille qui va aller à la selle >. << Elle se barbouille la gueule dans ma merde. Et même elle s'en met plein les cheveux. Vraiment on ne peut pas faire plus crade. Ca va être commode d'enlever tout ça quand tu vas prendre ta douche >. << Maman, tiens moi le cul, je vais chier un gros caca sur son bidon de petite putain ! cria Giselle >. Elle avait déjà commencé son office. La pointe d'un excrément aux formes surdimensionnées était sortie du trou du cul de sa donneuse. Quand Sandra souleva le fessier de sa fille a"née, la saucisse merdeuse pendait de plus de quinze centimètres de long, et faisait au jugé quatre centimètres de diamètre. L'excrément s'enfla encore. Vingt, vingt cinq et bientôt trente centimètres furent évacués du cloaque. Enfin, le boudin marron foncé tomba tout chaud et fumant sur le ventre d'Alice. Vu l'état de la chambre, l'odeur ne se remarqua pas. L'atmosphère était déjà bien chargée. Giselle se tourna pour contempler son ouvrage. L'étron avait fière allure posé sur le ventre de sa jeune compagne. Il était gras et puait cent mille chiottes. La jeune fille le prit entre ses mains, et porta l'extrémité à sa bouche. Elle suça le bout, la saucisse fondait dans sa bouche, le liquide nauséabond se mêla à sa salive. Puis, elle se pencha pour embrasser sa mère. Elles partagèrent un long baiser. Elles entreprirent de sucer chacune l'extrémité de l'excrément. Quelques fois, elles croquaient dans la viande, elles avalaient l'ignoble repas. La merde était encore de bonnes dimensions, quand Giselle la reposa sur le ventre de sa sœur. Alice n'était pas restée inactive pendant ce temps. Elle s'était barbouillée la figure de merde, et vu son excitation, elle n'hésita pas à s'en mettre plein les cheveux. Elle roula quelques bouts d'étron sur le drap mouillé pour l'humidifier et elle appliqua la mélasse ainsi obtenue en guise de shampoing. << Moi, aussi j'ai envie d'un shampoing aux senteurs d'anus, rétorqua Giselle qui regardait sa sœur faire depuis un moment. Tu en veux aussi, maman ? > Sur un signe de tête positif de sa part, elle s'accroupit au dessus de l'étron. Elle écarta avec délicatesse les lèvres de son sexe et pissa. La merde s'était délayée. Giselle prit entre sa paume une partie de la boue excrémentielle pour la poser sur les cheveux blonds de sa mère, elle frotta avec application le cuir de celle-ci. Le résultat fut immédiat. Sandra était maintenant travestie en une clocharde. Sa chevelure dorée avait pris la teinte de la merde. Giselle appliqua le même shampoing pour ses cheveux. Au aurait dit que les trois filles sortaient d'un film d'horreur. Le reste d'excrément elle l'utilisa pour se barbouiller le ventre et les seins. Elle frotta ses mains merdeuses contre sa chatte, laissant une large noisette sur son clitoris. Elle voulait maintenant jouir. << J'aimerais que tu m'encules avec ton gros gode, maman. Au point où j'en suis-je vais pas tarder à jouir, demanda-t-elle >. << J'ai une meilleur idée. C'est Alice qui va t'enculer. Et moi, pendant ce temps là je lui lècherai le cul. Je sens qu'elle va pas tarder à chier. Qu'est-ce que t'en pense ? > << Oh, dit Giselle, je peux t'enculer, ce serait trop super, s'exclama Alice qui allait de surprises en surprises >. Giselle n'avait pas pipé mot. Mais l'idée que sa sœur allait dans un instant fouiller son trou à merde la faisait mouiller. Sandra sortit du tiroir de sa commode, un beau gode, aux dimensions honnêtes. Il s'accrochait à la taille par une alèse. << Ouah !!! contempla Alice admirative. Dis je peux le mettre, maman. J'aurai l'air d'un homme avec ça >. << Bien sûr ma chérie. Tiens je vais te le fixer. Voilà, regarde t'as pas dû voir souvent un gros machin pendouiller entre tes jambes. Mets toi à quatre pattes, Giselle. Ta sœur va te prendre en levrette >. Giselle s'exécuta. Alice malgré son jeune ge, n'avait pas besoin qu'on lui fasse un dessein pour procéder. Toutes les gamines de dix onze ans savent tout de nos jours sur le sexe. Elle enfonça son mandrin sans ménagement dans la boite à caca de sa sœur. Il est vrai que la merde pouvait faire office de vaseline. Alice s'activa. Son faux sexe entrait et sortait du trou, s'imprégnant d'une fine couche d'excréments. Sandra prit position derrière sa fille, et à genoux elle commença à lécher son mignon petit trou. Il ne sentait pas trop fort. Cela s'explique en grande partie, par le fait qu'Alice n'était pas encore à un ge où on transpire beaucoup. Son anus n'était pas enduit d'une pellicule de transpiration. La mère pénétra le fondement avec sa langue. Elle fut assaillie par un fort goût de pourritures. Oui, Alice avait bien envie de chier, et elle n'allait pas tarder vu l'état d'avancement de la masse. Giselle gémissait sous les coups de boutoir de sa sœur. Elle savait qu'elle n'allait pas tarder à jouir, et à entendre les gémissements d'Alice elle pensait que les évènements allaient se précipiter. Alice montait sa compagne comme un chien qui enculait une chienne en chaleur. Cela produisait un tableau extrêmement érotique. << Maman, maman, alerta Alice. Ta langue me donne envie de chier. Je ne vais pas me retenir. Je crois que je vais tout l cher >. << Non, ordonna Sandra qui promptement quitta sa position pour s'allonger de dos. Vite, chie-moi dans la chatte. Ta sœur aime me le faire souvent. Vite >. Alice, sans réfléchir décula et s'accroupit près de l'ouverture du vagin de sa mère. Elle n'eut pas à attendre longtemps. L'étron pressa l'entrée. Stoppé net par une résistance, la jeune donneuse força alors sur ses sphincters tout en poussant un cri strident. La merde se fraya un chemin et vint s'enrouler dans l'antre chaud. << Oh, mon Dieu ! C'est tout au fond je le sens. Ca y est, je jouis. Oh, je jouis ma chérie. Je viens, je vieeeens ! > Alice et Sandra venaient de jouir de concert. Giselle, elle, s'astiquait le con de plus en plus rapidement et ne tarda pas à venir. Elle retomba épuisée sur le lit. Les trois filles s'enroulèrent les unes contre les autres. Elles échangèrent des bisous merdeux. << Oh, mon Dieu regardez dans quel état est ma chambre. Et les draps, je ne vous dis pas. Il faudrait peut être se lever et nous débarbouiller sous la douche, proposa après un moment Sandra >. << Oh, non. Je suis trop fatiguée pour me lever, maman. On verra demain, protesta Giselle >. La mère et ses deux filles s'endormirent ainsi dans leurs saletés. Les odeurs de la pièce étaient insupportables. Il y avait de la merde partout sur le lit. C'était une première fois pour elles. Mais dès le lendemain, elles s'attelèrent à prévoir d'autres soirées du même style. Vous pouvez m'envoyer vos commentaires via email sur pybrac2004@caramail.com. Toute critique constructive sera la bien venue. Vous pouvez aussi joindre des propositions pour les futures histoires. De plus, je vous rappelle qu'il s'agit d'un site de partage. Je serais heureux si vous désirez y participer en m'envoyant une histoire de votre crû, où les thèmes scatophiles et inceste s'y retrouvent. Les histoires acceptées doivent être écrites en français ou en anglais. Merci par avance.