Un accident dans la véranda
Une histoire érotique par Robertomaloch
http://histoirespornos.blogspot.com

Résumé : Un vieux jardinier s'est coupé sur tout le corps avec du
verre. Pour nettoyer ses plaies, un couple doît dévêtir le blessé
et découvre une merveille de la nature.

Mots clés : Cocu Soumis Voyeur Vieux Maigre PlusGros Arabe
GrosSexe Sale

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Ma femme et moi venons d'avoir quarante ans. Nous vivons dans les
alentours de Perpignan dans une grande villa avec vu sur la mer.
Nous travaillons tous les deux dans les ressources humaines. Ma
femme, Karine, est DRH chez un petit groupe pharmaceutique,
tandis que moi, Stéphane, je fais passer des entretiens
d'embauche pour une chaine de supermarchés. Passionnés par notre
travail respectif, nous n'avons jamais eu le temps d'avoir un
enfant. Physiquement presque tout nous oppose... Elle est petite,
mate de peau ; ses hanches sont larges et sa poitrine généreuse.
Je suis grand, mince, les cheveux obscur et le teint pâle.

Depuis peu, une association humanitaire nous a demandé d'héberger
un vieux réfugié libyen qui a fui son pays pendant la révolution.
Ali est musulman, il ne parle pas français et c'est parfois
compliqué de communiquer avec lui. Nous ne connaissons pas son 
ge, mais il doit être plus vieux que mon père. Son visage maigre
et flétri est toujours souriant, malgré les aléas qu'il a dû
subir. Ses yeux, abrités derrière d'épaisses lunettes, laissent
souvent transparaitre la fatigue du vieil homme. Nous ne lui
demandons jamais rien, mais Ali aime se rendre utile, pendant que
nous travaillons il s'occupe d'entretenir notre jardin : il tond
la pelouse, il nettoie la piscine ... etc. ...

Ce jour-là, ma femme était venue me chercher au travail dans
notre décapotable. Depuis l'allé qui conduis au garage on
apercevait Ali en haut d'une échelle en train de décoincer une de
mes balles de golf perchée sur le toit. Lorsqu'il nous entendit,
il tourna son torse grêle et leva son bras écharné pour nous
saluer. Avec le mouvement, l'échelle vacilla et le vieil arabe
perdit l'équilibre. Affolé, il tomba sur le toit vitré de la
véranda qui s'écroula sous son faible poids.

Nous accoururent dans cette loggia pour voir l'étendue des dég
ts. C'était un désastre, il avait perdu connaissance. Son corps
ancien gisait sur le sol, entre nos sièges en rotin. Des éclats
de verre le taillaient sur tous le corps. On distinguait, sous sa
tunique traditionnelle, des tessons pointus enfoncés dans ses
jambes, son torse et ses bras. Tremblant, je n'osais pas le
toucher de crainte de le blesser davantage. Karine, accroupis à
côté de lui, avait commencé à le nettoyer. Je m'assis et regarda.
La situation était désagréable et le vieil homme sentait fort. 
<< Va chercher un coussin pour sa tête >> dit-elle agacé de me voir
inactif.

Quand je revins avec un oreiller remplis de plumes, ma femme
avait déjà enlevé quelques éclats. << Ça sent le bouc >> dis-je
pour dédramatiser la situation. Elle ne me regarda pas, elle se
concentrait sur les cuisses velues. Elle fut obligée de relever
un peu plus la djellaba tachée de sang. Délicatement, elle tirait
éclat après éclat. J'en voyais encore beaucoup et je dis  
<< Chérie, dégage sa robe, j'en vois d'autre ... >> Elle fit une
grimace mais souleva encore un peu la toile, révélant plus des
trois quarts des jambes faméliques du vieux réfugié. Les poils ne
rendaient pas le travail facile. J'aidais mon épouse en repérant
les éclats et elle, doucement, les arrachait en caressant un peu
les zones sensibles avec ses mains fines.

Accroupis aux pieds d'Ali, je remarquai une masse obscure entre
ses cuisses, dans l'ombre de la djellaba. On aurait dit une
murène noire enroulée dans son nid. Ne voulant pas alarmer
inutilement ma femme je repoussai rapidement cette bête endormis
dans sa tanière avec la main. J'ai trouvé sa queue lourde et
chaude au toucher. Karine dû découvrir un plus de la vielle peau
flétri pour retirer plus de bouts de verres. Inévitablement, cet
épais morceau la viande grise est entrée dans le champ de vision
de mon épouse. Trop occupé à désinfecter les plaies elle remarqua
à peine ce long boyau strié. Patiemment, elle continuait son
œuvre.

Quand vint le moment de lui nettoyer  l'entre-jambes, d'une main,
elle attrapa sans émotion le membre ridé et puant du vieil arabe
et continua son travail comme si de rien n'était, comme si elle
voyait des queues gigantesques tous les jours... Je suis bien
placé pour savoir que ce n'était pas le cas ! Je n'étais pas
mécontent de ma verge, mais Ali me surpassait. Bien qu'au repos,
son engin était deux fois plus long que le mien quand je bande.
Lui vieux et maigre, moi encore jeune et bien portant,
paradoxalement ma bite était rachitique à côté de sa trompe.
J'étais un peu honteux.

Le sexe du réfugié musulman semblait se réveiller mollement dans
la main de ma femme. Paresseusement il s'allongeait jusqu'à
devenir un tube rigide couvert de stries. Gamin, j'avais vu la
bite d'un  ne au zoo, celle d'Ali n'avait rien à lui envier.

<<  Prends ça, c'est trop lourd, j'arrive plus à travailler >> me
dit-elle en me tendant la hampe érectile. Gêné, j'attrapais le
magnifique morceau de chair grise. Dans ma main tremblante, je
sentais pomper les veines qui alimentaient en sang ce membre
encore calotté. J'essayais de tenir fermement cette bite qui
semblait vouloir s'échapper. Je regardais ces boules volumineuses
et frisées. Tandis que je songeais nerveusement à la quantité de
liquide qu'elles pouvaient contenir, je perdais tout contrôle sur
moi. Le tremblement de ma main me fit l cher cette queue gonflée
qui alla frapper avec force la bouche pulpeuse de ma femme.
Karine s'arrêta et me regarda  << Tu ne peux même pas faire une
chose correctement >>, me reprocha-t-elle. Elle empoigna le sexe
d'Ali  et le serra entre son mollet et sa cuisse charnue.

La queue était maintenant décalottée. Avec la pression son gland
continuait de gonfler. Sa large collerette le faisait ressembler
à un champignon ... sans doute vénéneux. C'était un spectacle
étonnant de voir cette bite monstrueuse qui commençait à baver du
liquide séminal sur les jambes dodues de mon épouse. La bouche
plissée du monstre était à quelques centimètres des
sous-vêtements de ma femme accroupie. Sa chatte était visible à
travers l'ouverture de ses jambes, sous le tailleur court qu'elle
portait.

 << Enlève-lui sa djellaba >> m'ordonna-t-elle. Je tirai cette
loque infecte et déshabillai Ali en lui passant sa tunique par la
tête. Le vieil homme gisait complétement nu. Je le regardais un
moment. Rien ne laissait penser que ce corps famélique et fatigué
abritait ce joyau de virilité.

Karine continuait cette pénible besogne. Elle se mit à
califourchon de sorte que ses genoux touchaient le sol et que ses
jambes étaient de chaque côté du corps osseux. D'où j'étais, je
pouvais admirer ses lèvres vaginales qui s'entreb illaient. Mon
épouse porte toujours des légers dessous de soie et aujourd'hui
elle ne faisait pas exception à la règle.

Je ne sais pas ce qui s'est passé, sans doute perdit-elle sa
prise. La vielle queue massive du musulman bondit sous la jupe de
ma femme et s'immisça dans sa raie écarté par une position peu
confortable. Je ne pouvais plus voir son visage.  <<Mon dieu >>
s'écria t'elle <<Tu peux pas faire quelque chose ? ... sort son
engin de mes lèvres au lieu de rester sans rien faire ! >>

Je me suis accroupie derrière elle, entre les jambes d'Ali et je
mis mes mains dans sa culotte pour dégager cette bite de cheval
de sa chatte savonnage. Mais au lieu de l'effet escompté, le
membre charnu du vieil arabe s'enfonça un peu plus dans la vulve
distendue de mon épouse. Elle glapit et souleva son derrière pour
mieux laisser passer mes mains. En palpant je fini par frotter
mon index sur son clitoris gonflé. Ce contact inopiné déclencha
un orgasme. Elle se cambra subitement et se rassit sur cette
grosse queue libyenne en poussant un hurlement plus profond que
le premier. Son pubis était trempé de leur gluant liquide séminal
qui s'était mélangé dans son vagin. Sous le poids de ses fesses
mouillées, mes mains glissèrent sur les lourdes couilles
boursouflées du vieil homme qui en un instant se rétractèrent. A
son tour, cette caresse accidentelle provoqua l'orgasme du brave
musulman. Son sexe cracha d'épaisses giclées dans la vulve
accueillante de ma femme. La force des jets la fit tomber sur le
côté.

Cette queue massive, comme un tuyau d'arrosage furibond,
continuait d'expulser la semence précieuse dans toute notre
véranda. Toujours accroupis, quelques décharges poisseuses
vinrent me bruler le visage. << Fait quelque chose !>> Lui
criais-je. Et sans que je m'y attende, elle se pencha sur lui et
commença à nettoyer sa bite encore gonflée avec sa petite langue
rose.

Tandis qu'elle lui léchait le gland complétement souille de
foute, Ali se réveilla. Surpris, il saisit sa djellaba et se
rhabilla en se levant. L'air navré, il dit rapidement quelques
mots incompréhensibles et s'enfuit vers ses appartements.

<< Fais pas cette tête !>> me dit-elle en rigolant tandis que
j'essuyais le sperme toujours chaud de mes lèvres. Elle continua
<< Le pauvre vieux s'est fait mal dans notre maison, il faut bien
le traiter pour ne pas qu'il nous dénonce à l'asso ! >>. Je la
regardais les yeux écarquillés quand elle me cria: <<Viens me
nettoyer la chatte bon à rien ! >>

Tandis qu'elle s'assaillait sur mon visage elle ajouta en
souriant << Je sais que ça t'a plu... si tu t'appliques, on
recommencera demain >>

Date : 04/09/2012 19:10
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