Le chalet de mon oncle
Une histoire érotique par Robertomaloch
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Résumé : Une adolescente est séduite par le grand oncle de son
fiancé. Celui-ci, caché derrière un rideau, observe la scène avec
émotions.

Mots clés : Cocu Soumis Contraint Voyeur Vieux Obese PlusGros
GrosSexe Humiliation

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Cette année, à l’université de Perpignan, j’ai rencontré une
fille incroyablement belle. Aurélie a 18 ans, elle est très mince
avec des fesses rondes et de seins fermes que ses t-shirts
moulants mettent en valeur. Des cheveux bruns coupés carrés
encadrent son visage d'ange. Quand j'ai vu ses grands yeux noirs
et son air innocent j'étais instantanément amoureux.

Pour quelque raison, que je n'arrive toujours pas à m’expliquer,
elle était tombée sous mon charme. Nous étions inséparables. Nous
perdîmes notre virginité ensemble, ce fut une expérience
incroyable. Depuis cette nuit-là, nous avions des rapports
réguliers, tendres et délicats. Aurélie refusait de prendre la
pilule, elle n'aimait pas l'idée d’avaler régulièrement des
médicaments. Je la pénétrais toujours avec un préservatif ; je
perdais en sensations, mais je tenais un peu plus longtemps.

Pour les vacances d’hivers Aurélie voulait passer quelques jours
à la neige mais nos bourses d’étudiant ne nous permettaient pas
de payer une location. Mon grand-oncle possédait un chalet dans
une station des alpes. Je n’aimais pas avoir affaire à lui,
moqueur, limite grossier, j’avais souvent l’impression qu’il me
prenait pour un imbécile. Mais ne voulant pas décevoir Aurélie,
je pris sur moi et lui demandai les clés de sa résidence
secondaire. De toute façon elle était toujours vide, mon oncle,
qui était resté célibataire, n’y allait jamais. Il n’était pas
sportif et son embonpoint l’empêchait de faire du ski.

Le jour des vacances, les clés en mains, nous prîmes le train
nuit, direction la montagne. Nous arrivâmes à la station de ski
au petit matin. Avant d’aller sur les pistes, nous devions passer
par le chalet pour déposer nos valises. Alors que je tournais la
clé dans la porte d’entrée, je sentis que quelqu’un l’ouvrait de
l’intérieur. Comme une apparition, mon oncle, dans le cadre de la
porte, souriait à pleines dents jaunes. Il me regarda à peine
puis tendit sa main potelée à Aurélie en disant « Enchanté,
appelle moi Henri !». « Que faisait-il ici !» pensai-je avec
horreur.

Il continua « C’était inattendu, j’ai dû venir faire un papier à
la mairie, je repartirais demain. » Ensuite, il insista pour nous
montrer notre chambre à l’étage. En montant dans les escaliers,
il restait collé à Aurélie en fixant ses jolies fesses. Pour
voyager confortablement, elle avait mis un pantalon de jogging
tellement fin qu’on pouvait deviner son boxer en dessous.

Arrivé dans la pièce, mon oncle nous dit « Préparez-vous pour
aller skier, ne vous inquiétez de rien les enfants, je m’occupe
du diner» puis il redescendit. Aurélie me regarda en fronçant les
sourcils « Je te trouve un peu sévère avec ton oncle, tu m’avais
pas dit qu’il était aussi aimable ! »

La journée de ski se passa sans encombre.

Le soir, nous étions attablés tous les trois dans la cuisine. Mon
oncle avait ouvert une bouteille de vin rouge. Ce soir-là, le
vieil homme était de la discrétion incarné et nous traitait comme
des adultes ; je commençai à me détendre. Le repas fut très long,
Henri avait préparé de nombreux plats et veillait toujours à ce
que nos verres soient pleins. Les joues d’Aurélie commençaient à
rougir et je voyais qu’elle n’allait pas tarder à être ivre. Moi
aussi je me sentais grisé. La journée de ski m’avait épuisé, mes
paupières s'alourdissaient, je somnolais sur ma chaise.

Dans mon demi-sommeil, je réalisai que mon oncle avait réussi à
orienter la conversation sur le sexe. Je me demandai si c'était
une sorte de jeu pour lui. Je décidai de rester les yeux fermés
et d’écouter leur conversation. Au lieu d'être agacé je me senti
excité et décidai de rester tranquille pour voir ce dont serait
capable le rusé vieillard.

Pendant un moment ils ont juste parlé de sexe en général :
Il commentait « Tu te trompes, le sexe c’est très bien si c'est
fait correctement, tu dois juste trouver le bon gars. Tu dois
essayer avec beaucoup avant de le découvrir. »
Elle répondit « Je ne suis pas d’accord, le sexe doit être fait
avec amour, et j'aime Yann »
«Je te parle pas d’amour. Je te parle de sexe. Chaque femme est
différente. Chacune a quelque chose qui la rend folle, une
certaine façon d'être traitée qui les fait se mouiller juste d’y
penser. »
Aurélie gloussa. Je devenais plus excitée phrases après phrases.
« Je connaissais une femme qui était désespérément amoureuse de
son mari, mais elle pouvaient pas avoir d’orgasme avec lui. Par
la suite, elle a découvert que ce qui l’excitait c’était de faire
l’amour avec d’autres femmes »
Ma copine rit une fois de plus et mon oncle continua
« Elle était pas gouine, elle aimait son mari. D’ailleurs ils ont
eu trois enfants. Ce que je veux te faire comprendre, c'est que
même si tu es follement amoureuse de Yann tu devrais chercher
ailleurs pour être vraiment satisfaite. »
« Mais comment suis-je censé savoir que Yann est pas la bonne
personne? » demanda t’elle
« Il te faudrait d’autres expériences, trouver un homme plus
chevronné pour découvrir de nouvelles expériences. »
«Quelqu’un comme vous, j’imagine» Elle se mit à rire puis elle
continua
« Dans l’hypothèse ou … que vous me proposeriez quoi pour me
combler sexuellement ? »,
J'étais abasourdi. Jamais elle n’avait parlé de cette façon, cela
m’excitait tellement.
«Je suis pas sûr que tu apprécies » Lui répondit-il.
« Dites toujours »
« On voit bien que Yann et toi êtes innocents. C’est sans
probablement la seule personne avec qui tu aies couché et sans
doute vous vous sentez un peu coupable après chaque acte. Non ?»
« Continuez. » Dit-elle laconiquement.
« Tu as jamais envisagé le sexe oral, ni anal, Même pas la
masturbation »
Il me sembla qu’Aurélie mal à l’aise se tortillait sur sa chaise.
« Parfois tu penses à des choses sale, puis tu as honte et tu
t’en veux »
« Ça ne réponds pas à ma question, vous m’avez pas dit comment
vous me satisferiez »
« Eh bien, je suis sûr que tu veux être dominée. »
Je m'attendais à ce que ma petite amie se lève et parte, mais au
lieu de ça elle demanda calmement « Quoi de plus ? »
Mon oncle expliqua «Ton genre, c’est faire l'amour tout le temps,
et je parle pas de baiser normalement, je parle de sexe sale,
humiliant.»

Il y eu un silence «J’ai raison non ? »
Aurélie resta calme.

Il poursuivit « Tu veux être forcé de baiser. Tu veux un homme,
un vrai, qui réalise tes perversions. »

Je n’en pouvais plus. Ne sachant pas quoi faire, je simulai que
je me réveillais. Ils restèrent silencieux. Ils ne soupçonnaient
pas que j’avais entendu leur conversation. Prétextant la fatigue,
je leur dit que j’allais me coucher. Mais une fois dans le salon
obscur, au lieu de monter à l’escalier, je restai caché derrière
le rideau qui séparait les deux pièces. Depuis ce poste
d’observation j’avais une vue imprenable sur la cuisine.

Mon oncle, satisfait souriait. Cambré contre le dossier de sa
chaise, il exhibait son gros ventre rond, le nombril à l’air. Sa
petite taille accentuant l’effet d’obésité, il avait l’air plus
pervers que de coutume.

Aurélie brisa le silence « Vous êtes complètement trompé sur moi.
»
 «Je crois pas, et je peux te le prouver. » Dit-il.
« Comment? » Demanda-t-elle d’une petite voix effrayée.
« Facile ». Dit mon oncle qui se leva l’attrapa para la taille et
enfonça sa main grassouillette entre les jambes de ma copine qui
portait une jupe en coton. Aurélie haleta, il lui fallut un
moment avant de réaliser ce qu’il se passait. Elle serra les
jambes et essayé de le repousser, mais il était trop fort.

J'étais hors de moi. Je savais que j'aurais dû me précipiter pour
arrêter ce vieux vicieux, mais je bandais de le voir toucher ma
petite amie comme jamais je ne l’avais fait.

Aurélie dit en colère « Arrêtez ! »
La main dodue allait et venait sous sa jupe. J'étais tellement
excitée que je commençai à frotter mon sexe à travers mon
pantalon.
« Si vous arrêtez pas, je vais crier. »
Mon oncle la regarda et dit: «Si tu devais crier tu l’aurais déjà
fait … tu es qu’une pute réticente »

A ces mots orduriers Aurélie frémit. La main de mon oncle
accélérait. Je ne pouvais en croire mes yeux, mais elle avait
l’air de réellement en profiter. Ses yeux se fermèrent et elle
dit «S'il vous plaît».
Mon oncle sourit exhibant sa denture dégelasse. Il baissa les
yeux sur elle et dit «Écoutez, tu es qu’un chienne qui a besoin
qu’on lui dise quand écarter les jambes, quand baiser, quand
jouir … »
Aurélie gémissait à chacun de ses mots.
« Fait ce que je dis. Enlève ta jupe et ta culotte … écarte bien
»

Elle obéissait docilement à chaque ordre. Pendant qu’elle faisait
glisser son habit, mon cœur battait comme si il allait exploser.
Elle révélait sa petite chatte complètement épilée à mon oncle
ventripotent. Ça en devenait trop pour moi.

Il immisça deux doigts grassouillets dans son con humide. Je les
vis disparaître à l'intérieur d’elle. Elle soupira tandis que mon
oncle s’enfonçait un peu plus. Jamais je n’avais été autant
excité, pour me soulager, je sortais ma verge comprimé dans le
pantalon et commençait à me caresser.

Les doigts de mon oncle entraient et sortaient à un rythme
effréné. La respiration d’Aurélie devenait plus rapide. Elle
approchait de l'orgasme, un orgasme différent de tous ceux que je
ne lui avais jamais lui donner. Ses jambes tremblaient. Sur son
visage était une expression de pure extase. Elle avait joui en
silence, pour ne pas me réveiller.

Elle s'effondra contre le vieux pervers les deux gros doigts
encore à l’intérieur elle. Elle s’écarta pour se dégager. Elle
avait l'air gêné.
«Je te l’avais dit." Dit-il avec suffisance.
« C’est une erreur, seulement parce que je suis saoule »
« Je crois pas, c’était ton premier orgasmes non ? »
Elle baissa les yeux
« J’ai raison ? » Demandât-il avec plus de force.
« Oui. » Répondit-elle timidement.

Je ne pouvais pas y croire. Toutes les fois où nous avions fait
l'amour ... Elle m'avait menti pour ne pas me chagriner.

« Maintenant tu en voudra plus. Yann ne sera pas en mesure de te
faire jouir comme moi »
«Ça fait rien. » Dit-elle avec colère soudaine. « Je l'aime et
c'est tout ce qui compte. »
« Tu as tort, mais tu ferra comme tu veux … une fois que tu
m’auras renvoyé l’ascenseur »
Elle avait l'air inquiète « Qu’est-ce que vous-voulez dire ? »
«Tout ceci m’a excité... ce serait poli de me faire la même chose
… »

Aurélie avait l'air choquée, mon oncle n’était pas un homme
attrayant.

Sur ce, il ouvrit sa braguette de son pantalon et sorti son épais
instrument. C’était une queue bouffi et grasse qui étrangement
s’accordait bien avec le physique obèse d mon vieil oncle. Même
au repos elle, était plus grande que la mienne en ce même
instant. Aurélie frissonna, j’imaginais qu’elle aussi, faisait la
comparaison avec mon sexe et ça me dérangeais.

Elle resta un moment la bouche ouverte en fixant cette trompe
boursoufflée. Le vieil homme lui prit la main et la posa sur son
pénis brunâtre. «Voyons ce que tu sais faire."

Voir les doux doigts fins de ma petite amie se refermer sur cet
horrible chibre trépidant était de loin la chose la plus érotique
que je n’avais jamais vu. Elle était loin d’en faire le tour.
Malgré sa réticence initiale, elle se mit à le caresser avant et
en arrière. La vielle bite de mon oncle fut bientôt entièrement
droite. Fascinée elle recula son prépuce, dévoilant le gland
gonflé et cramoisi

Mon oncle appuya un peu sur son épaule pour la faire
s’agenouiller. La vielle queue était au niveau de sa tête.

Devinant les intentions vieil homme elle fit non de la tête ce
qui n’empêcha pas mon oncle de la pousser plus près de son énorme
bite. Je savais qu’Aurélie détestait l'idée d'avoir une bite dans
la bouche mais comme le nœud gorgé de sang poussait contre ses
lèves, elle ouvrit la bouche. Le spectacle me fit jouir en
silence, derrière le rideau.

Mon oncle avait les deux mains autour de la tête de ma petite
amie et tirait vers lui. Cela ne servait à rien, son gland était
tout simplement trop grand. Il s’en agaçait et dit « Puis que tu
veux pas faire d’effort, je vais devoir te pénétrer.  Tu vas voir
comme ça va être bon »
« Non non, ça va empirer les choses » dit-elle avec honte.
« Tu veux que je raconte tout à Yann, hein ? »
Elle avait l’air horrifié mais accepta à contre cœur.
Mon oncle triomphant, l'attrapa par la taille, lui fit faire
volte-face et l'a poussa contre la table.

Mon oncle était face à moi à peine à un cinquante de centimètres
quand il baissa complétement son pantalon. J’admirais ses
couilles gonflées qui s’agitaient devant moi. On aurait dit on
aurait dit deux bouteilles d’Orangina qui ballotaient dans un sac
en peau.

Depuis mon poste d’observation, je ne perdais pas une miette. Je
distinguais aussi que la chatte écarté de ma petite amie était
encore mouillée. Mon oncle s’en aperçut aussi et rit « Toujours
humide … tant mieux, tu auras pas besoin de lubrifiant». Elle
enfouit son visage dans ses mains. « Prete ? » Il positionna la
tête de son énorme pieu à l'entrée de sa chatte adolescente et
poussa. Aurélie ne connaissant que ma verge dut avoir
l'impression qu’on plantait une batte de baseball dans sa vulve.
Elle poussa un cri douleur rapidement étouffées.

Mon oncle avait seulement réussi à loger son gland suintant entre
les lèvres distendues par l’effort. Cela devenait difficile. Il
saisit ses hanches et poussa plus fort. Petit à petit il
s’enfonçait à l'intérieur de ma copine.

« S'il vous plaît, Henri, c’est trop grand. Je ne peux pas. »
Se moquant de la douleur il répondit : «Mais non, il faut juste
adapter ta chatte à une vrai bite. »
«S'il vous plaît, Ça fait mal. »
«Vraiment». Dit-il en poussant encore un peu. «Je te fais une
faveur. Après cette nuit, ta chatte sera tellement large que
Yann, avec sa bite chétive, ne sera plus jamais en mesure de te
satisfaire »

Sa queue pénétrait encore un peu plus dans ce corps mince.
Aurélie sanglotait, chaque centimètre étirait un peu plus le
vagin. De ma cachette je contemplais cette magnifique queue
disparaitre dans la chate lisse de ma petite amie.

« Tu dois bien admettre que tu es une pute » dit mon oncle.
Son ventre gras était posé sur le dos d’Aurélie. Il resta un
moment au fond d’elle savourant sa victoire. Je n’en croyais pas
mes yeux elle avait pris son pieu tout entier.

Henri ne voulait pas laisser plus de temps pour qu’Aurélie
s’habitue à sa bite géante, brusquement, il sorti de quinze
centimètres puis repoussa tout à l’intérieur. Aurélie étouffa un
autre cri. Mon oncle répéta son geste sadique. Aurélie hurla de
douleur.
« Je vais étirer cette chatte tellement qu’elle ne pourras jamais
se refermer »
 On aurait dit qu’il étudiait ses cris pour savoir quel mouvement
était le plus douloureux.

J'étais torturé par la culpabilité de voir souffrir copine mais
j'étais trop excitée. Mon sexe durcissait à nouveau je ne pouvais
rien faire d’autre que d’observer. Peu à peu, je notais un
changement dans ses gémissements. Le temps passait et la douleur
semblait céder la place au plaisir. Cela me semblait pourtant
impossible qu’une demoiselle si douce puisse apprécier les coups
de boutoir de ce vieux monsieur, qu’une fille si sensée puisse
savourer l’humiliation d’être traitée comme une pute. Pourtant
les gémissements devenaient plus fort, Aurélie jouissait d'être
dégradée par cette énorme bite.

Mon oncle augmenta son rythme et il était évident qu'il était sur
le point de jouir. Sentant cela, Aurélie se rappela soudain
quelque chose d'important, Henri ne portait pas de préservatif!
Tournant la tête, elle dit: «Je ne prends pas la pilule. Vous
pourriez me mettre enceinte si vous éjaculez … »
Mon oncle avait l'air encore plus heureux. « Désolé, poupée. Mais
il ne fallait pas chercher les ennuis ! »
« Je suis au milieu de mon cycle … »
Mon oncle avait l'air indifférent pourtant, il stoppa net de la
pilonner et se retira.
«Si tu veux on arrête. J’ai pas de préservatif, donc on va
laisser tomber ... »

L’arrêt inattendu des vas et viens eu un effet étonnant sur
Aurélie. Elle sentit un grand vide. Elle retomba contra la table
et murmura « S’il vous plait … »
« S’il vous plait … quoi ? »
«S'il vous plaît … baisez-moi …».
«C’est bien ce que je pensais, tu es un salope qui adore la
bite.» Dit ‘il en se repositionnant en elle

Ses mots l’électrisèrent, elle recommença à crier.

«Tu veux que je bourre de foutre Aurélie ? »
« Oui ! »
« Sure ? Tu veux mon jus chaud et gluant?»
« Ouiiii, remplis moi de sperme, je veux le sentir sur les parois
de ma chatte !»

Quelle salope, elle savait qu’il y avait de forte possibilité
qu’elle soit fécondée. Je les regardais jouir avec voracité. Mon
oncle relâchait son fluide sans modération. Il eut de nombreux
spasmes, chacun se traduisait en une nouvelle décharge dans les
profondeurs les plus intimes de ma petite amie. La pensée que le
sexe si gros de mon grand-oncle, était le premier à déposer sa
semence dans le ventre mince et fertile de ma petite amie me fit
éjaculer à nouveau.

Pendant un moment personne ne parla, mon oncle reposait son corps
vieux et gras sur ma copine. Enfin, il se souleva et sortit sa
bite flétrit d’Aurélie épuisée. De ma cachette j’observais avec
émotions le liquide séminal dégouliner de la chate distendue.

Pendant qu’elle se rhabillait le sperme coulait sur ses jambes.
Elle pleurait…
 « C’est pas grave… » dit-il avec un rire gras « Y’a pas beaucoup
de vierge qui peuvent prendre ma bite et marcher droit le
lendemain»

Elle s’écarta et s’enfuit dans la chambre. Tandis qu’elle passait
devant moi dans le salon, je restai blotti dans l’ombre pour ne
pas qu’elle me voit.

Je senti mon oncle près du rideau qu’il souleva soudainement «
C’est un bon coup ta copine ». Il se tenait -dessus de moi,
encore à poil. Sa queue majestueuse était encore un peu
boursouflée, elle brillait à cause du liquide collant dont elle
était barbouillée. Je le regardais surpris.
« Depuis le début, je savais que tu étais là…  C’est drôle non ?»
« Quoi ? » fis-je interloqué
Il montra mon sexe poisseux… Il était rabougri à cote du sien «
C’est drôle de regarder sa copine se faire baiser et de se
régaler ! »
 Je ne savais pas quoi dire.
« Ne t’inquiète pas, Yann. C’est pas ta faute. Tu es juste une
tarlouse. Tu attires une fille comme Aurélie parce tu es
sensible. »
« Mais tu pourras jamais la satisfaire et c’est là que
j’interviens ! »
 « Je comprends pas. » Je réussi à marmonner.
 « C'est simple. Tu continueras de regarder et moi je continuerai
de la baiser. »
 J’essayai de regarder révolté.
« Ne te plaint pas, tu as vu ce qu’il s’est passé ce soir. Si je
vous aide pas, tu pourras jamais la conserver »
« On en reparlera demain soir. Ne la touche pas, sa chatte a
besoin de se reposer !» dit-il avec autorité.
 Je le regardais médusé.
« C'est clair ? » demanda-t-il avec force
« Oui » Marmonnai-je

Il partit se coucher. Je remontais dans la chambre. Aurélie était
affalée sur le lit. Ses cuisses étaient couvertes de liquide et
les draps étaient imbibés. Les lèvres de sa chatte étirées
étaient rouges crus. Dans désordre humide de son ouverture béante
se mélangeaient le sperme et les poils pubiens de mon oncle. Ma
bite était une fois de plus dans ma main, et avant je ne puisse
résister, une fine éjaculation alla se mêler au fluide épais de
mon oncle.

Je me couchai à côté d’Aurélie et m'endormis.

Date : 20/06/2012 2021:19