La mi-temps dans les toilettes
Une histoire érotique par Robertomaloch
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Résumé : Pendant la mi-temps d'un match, deux supporters
profitent tour à tour de ma femme ivre dans les toilettes... sous
mon regard.

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Le Week-end dernier, mon épouse et moi sommes allés au stade de
Perpignan, voir jouer l'équipe de rugby que je supporte. C'était
la demi-finale, et le stade était rempli. Il faisait chaud ; le
public en sueur, tanné par le soleil de l'après-midi, buvait des
litres de bière en encourageant les joueurs. Tranquillement
assis, nous vidions des cannettes de Kro depuis que nous étions
arrivés. Ma femme n’était pas si dévergondée d'ordinaire, mais
cela faisait quelques mois que nous essayions d'avoir un premier
enfant et elle savait que le jour où elle serait enceinte elle
devrait arrêter de boire. Elle en profitait encore tant qu'elle
pouvait. Ce jour-là, elle était déjà enivrée et, de temps en
temps, elle s'assoupissait sur mon épaule.

Après avoir ingurgité tant d’alcool, mon épouse eu une envie
pressante, mais comme elle n'était pas en état de se déplacer
seule, je l’aidai à trouver les WC. Les toilettes dames étaient
de l'autre côté du stade mais mon épouse n'était pas en mesure
d'attendre. Sans trop y réfléchir, je pris la décision de
l'introduire discrètement dans celle des hommes. Par chance il
n'y avait personne. J'espérais que nous allions finir rapidement
et sortir.

Malheureusement pour nous, l'arbitre sifflât la mi-temps. Je
savais qu’en moins de deux, les toilettes allaient se bourrer de
supporters éméchés, et que leurs vessies se videraient en
torrents de pisse dans les urinoirs. Pour éviter ce spectacle à
ma femme, je la poussais vers le fond. Nous eûmes juste le temps
de nous blottir dans les derniers cabinets avant que n’entre le
premier quidam. Malheureusement, la serrure fonctionnait mal à
cause de la corrosion. Je m’efforçais de tenir solidement la
porte pour empêcher quiconque d'y pénétrer. Tout à coup, ma
femme, ivre morte, tomba du siège. En m’avançant pour la relever,
je libérai la porte. Un homme se précipita à l'intérieur.

Il avait 35-40 ans. Mal rasé et moustachu, la peau moite de la
chaleur humide qui régnait dans les WC, il empestait la sueur.
Bien plus grand que moi, il commençait à avoir une bedaine de
buveur de bière. En rentrant pressé, il avait déjà sorti sa bite
de son pantalon. Il restait un moment surpris avec sa bouche bée
quand il réalisa qu'une femme occupait déjà ses cabinets. Sa
queue flasque tremblait dans l'attente de soulager la vessie. Je
pouvais voir qu'il mourait d'envie de pisser et pour l'empêcher
de rameuter tout le monde, je lui fis signe de se taire et lui
fis comprendre que nous allions le laisser uriner. Ma femme était
à califourchon sur l'arrière de la lunette, appuyé contre le
réservoir de la chasse d’eau. Elle était toujours assoupie, sa
jupe relevée, les poils de sa chatte visibles. Il ferma les yeux
de et fit « Merci » du bout des lèvres.

Le bonhomme en transpiration, se pencha un peu pour viser le trou
entre les cuisses cellulitiques de mon épouse. J'étais surpris de
voir qu'une vessie pouvait contenir autant de liquide, son jet
doré et nauséabond était sans fin. Il perlait la sueur, il lui
fallait beaucoup de concentration pour que son flux glorieux
aille directement à l'égout sans toucher les jambes de ma femme.
Il ne s'arrêtait pas. Tout d'un coup sa queue frissonna et
quelques gouttelettes de pisse éclaboussèrent le sexe charnu de
ma femme qui, par chance, avait perdu connaissance depuis
longtemps. Furtivement elle glissait sur la lunette. L'homme se
pencha encore plus pour secouer la dernière goute de son gland.
Alors qu'il le serrait entre sa main et son pousse, celui-ci
ressemblai à une grosse balle de caoutchouc percée. Je regardais
son nœud vigoureux,  humecté de pisse, qui effleurait les poils
du pubis de mon épouse. J'étais abasourdi et ne pouvait rien
faire tant que je tenais ma femme par les épaules pour l'empêcher
de glisser encore plus. Dehors le brouhaha des pisseurs
continuait. Soudainement, je m’aperçus que sa bite avait durci et
qu'il l'avait introduite entre les lèvres de la chatte de mon
épouse. Avec audace, il commença à faire des vas et viens,
enfonçant son sexe de plus en plus profond. Je restais silencieux
devant le spectacle, surpris de voir qu'un inconnu pouvait
pilonner ma femme de la sorte. Rapidement, l'inconnu tressaillit.
Ça y est, il jouissait à l'intérieur d’elle, dans un râle
étouffé... Il ne devait pas avoir de relations fréquentes car il
avait tenu à peine trois minutes et son sperme semblait abondant.
Posément, son liquide ocre et épais coulait de la chatte de ma
femme. Sans délicatesse, il ressortit son sexe à moitié flétri,
l'essuya sur les habits de mon épouse somnolente et sorti sans un
regard.

Je restais choqué et avant que je ne puisse tendre le bras pour
tenir la porte, un autre homme entra.

C'était un arabe d'une soixantaine d'années, habillé tout en
beige-gris d'une chemise et d'un pantalon en toile. Obèse, le
visage huileux, ses mains potelées fermaient la porte derrière
lui. Il nota la présence de ma femme. D'un coup d'œil stoïque il
regarde ses cuisses écartées, mouillées par la semence écumeuse
qui suintait encore de sa chatte béante, puis dit sèchement
quelques mots en arabe. Je le suppliai en silence de se taire et
de fermer les yeux sur la situation, « Seulement si je peux
ajouter un peu de foutre à cette pute ... » dit-il avec un
rictus. Intimidé par la violence des mots, je ne répondis pas. Il
s'en énerva et me poussa. Je lâchai mon épouse ; il la rattrapa
avant qu'elle ne tombe. Il la tenait par les épaules, les yeux de
celle-ci au niveau de son l'entrejambe. Il me regarda et dit avec
autorité « Vite, ouvre ma braguette et sort ma bite... Si tu veux
pas que j'appelle la de sécurité ... ils seront content de savoir
qu'il y a une pute ici ... »

L'esprit embrumé par la situation embarrassante, je ne voyais
aucune autre option. En me maudissant de ne pas être allé aux
toilettes des femmes, je descendais avec précaution la fermeture
éclair de l'arabe adipeux. Le vieil homme s'impatientait. Ma main
s'insinua à l'intérieur de son pantalon ample et tâtonna. Avec
effroi, je rentrais en contact avec un morceau de chair flasque,
chaud et moite. Hâtivement je sortais complètement sa bite
indolente et ses couilles imberbes du large pantalon. J'étais
surpris de trouver un si gros outil sur un personnage si
bedonnant ... On m'avait toujours dis que les gros avaient un
petit sexe ... La queue de celui-ci, lisse, décalottée, un peu
aplatie, était déjà plus large que mon poignet. Ses couilles,
fripées et d'un jolie gris, s'agitaient majestueusement à
l'intérieur des bourses. Je notais avec chagrin que chacune
d'elle était plus grosse que mon propre scrotum. Je restais
immobile à regarder cette colonne charnue, mais incontestablement
molle... comme son ventre ... « Je peux pas tout faire, branle
moi! » grogna t'il. Je lui obéis comme un écolier, en reniflant
un peu. Ma main faisait des vas et viens sur sa tige imposante
mais rien ne durcissait. Il me menaça « Arrête de jouer, je suis
pas intéressé par les tapettes ... si tu fais rien, je vais
appeler la police ». « Qu'est-ce que vous voulez que je fasse »
dis-je en sanglotant. Il répondit froidement « Suce connard »
Puis, de sa grosse main rugueuse il me poussa à genou vers le
sol.

Sa force était telle que je dû appuyer les mains sur le sol
collant des WC. Pour me redresser, je m'agrippais à sa cuisse
tout en fixant sa bite frétillante. J'étais face à face avec le
monstre. Une odeur de homard périmé emplie mes narines. D'un coup
de hanche il me donna une biffle. Son gland fiévreux s'écrasa sur
ma joue. Je saisi sa hampe. « Tiens-moi boules avec ton autre
main » me commanda t'il. Elles remplissaient complétement ma
main. Pendant que je manipulais ses couilles avec mes doigts, la
sensation de cette peau ridée et imberbe était insolite. « T'es
pas là pour profiter, pédé, je veux pas manquer la seconde
mi-temps » dit-il en poussant sa bite à moitié dure contre mes
lèvres serrée. Je sentais sur ma bouche une goutte du liquide
transparent qui perlait sur son gland. L'odeur musquée me donnait
la nausée. Automatiquement, j'ouvris la mâchoire pour recevoir ma
première bite. Son nœud pourpre entrait difficilement. Je ne
pouvais plus parler et devais respirer par le nez. Le gros
bonhomme, peu préoccupé par mon bien être, m'agrippa derrière la
nuque et poussa encore plus. Il essayait de mettre sa queue
entière dans ma bouche. Le fluide séminal dégoulinait au fond de
ma gorge. Jamais auparavant je n'avais gouté ce liquide et ce
jour-là, pendant cinq minutes, j'ai eu l'occasion d'en boire un
bon demi litre. J´'étais agréablement surpris par cette nouvelle
saveur. Je commençais à prendre plaisir à me faire baiser la
bouche par la bite malodorante du vieil arabe. Je fus presque
déçu quand il me repoussa et se positionna devant ma femme.

Il ne perdit pas de temps : ma femme, déjà bien ouverte, était
facile à enfiler. Moi, la bouche gluante, avachis sur le sol sale
et humide des WC, je regardais impressionné, le vieil obèse faire
d'amples mouvements. Malgré son âge il avait une forme
athlétique. Jamais je n'avais honoré mon épouse de la sorte. Son
regard croisa le mien. Pour la première fois il me sourit et
comme s’il lisait dans mes pensées, il demanda « Ça te plait
d'être cocu hein? T'a femme avait jamais reçu une bite d’arabe,
grosse comme la mienne. Dommage qu'elle en profite pas! Héhéhé »
Au bout de dix bonnes minutes il commença à augmenter son rythme.
«Regarde bien, et prend des notes» cria t'il. Promptement, il se
cambra et se mit à remplir mon épouse de son sperme puissant. Sa
bite se convulsait à chaque éjaculation. 5, 10, 20 ... j'ai perdu
les comptes. Sa chatte dégoulinait d'un jus visqueux à l'odeur
forte. Finalement le grand-père sortit sa lourde queue d'une
main. Encore poisseuse, il l'essuya avec soin sur mon visage et
la remis dans le pantalon. Avec cynisme, il dit « Si vous avez
encore besoin de moi, n'hésites pas! » puis il rajouta en sortant
« J’espère vous revoir au prochain mach ».

Les toilettes étaient maintenant calmes ; tout le monde était de
retour dans les tribunes. Je gisais encore sur le sol humide
pendant quelques minutes ne sachant plus que penser. Je sentais
mon caleçon trempé par l’émotion. Sur mon  visage, les restes de
foutre collaient les poils de ma barbe naissante. Encore ivre, ma
femme bougea. J'entendis un gémissement faible sortir de sa
bouche... elle pensait probablement que je l'avais baisé. «Je ne
peux pas croire que tu m'aies fait l’amour dans les toilettes. Ça
fait une semaine que je me réservais. Ma phase d'ovulation
commence aujourd'hui... »

Depuis, nous avons de beaux jumeaux bien montés. Ma femme dit
souvent en rigolant, qu’ils n’ont rien en commun avec leur père
... Elle se trompe, mais elle ne le sait pas ...

Date :04/09/2012 22:31
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