Extrait brut et non corrigé de : " Histoires de bonbons roses acidulés "               

Auteur : Alain Terdit 

Titre : Le bateau  (Ce récit est imaginaire et doit le rester).

 

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Le récit complet, corrigé est déposé à l'INPI par enveloppe SOLO,  il reste la propriété de son auteur. 
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A condition de ne rien modifier du texte original et de laisser les coordonnées et explications de début et de fin.

 

                                  

 

                                               Le bateau

 

 

Mon Dieu que Marine était belle…

Son papa lui avait présenté bien involontairement, en allant acheter un appareil photo. Le père était sympa. Le vendeur aussi…

Ce dernier s'était senti obligé d'être plus courtois qu'avec les autres clients, cela avait bien fonctionné d'ailleurs…

La discussion avait durée une bonne demie heure.

Pendant tout l'entretien le commerçant avait fait des efforts incroyables pour ne pas trop reluquer la gamine, à peine onze ans…

Belle et pure comme le jour Marine, petite pour son age. Des toutes petites fesses très bien sculptés,

qu'un jean de couleur bleue délavée mettait incroyablement en valeur. Une chute de reins bien galbée soutenue par deux magnifiques jambes fines, le paradis sur Terre…

Toute suite Robert l'avait désiré…

Le papa enjôlé par le charmant vendeur avait commencé à expliquer peu à peu qui il était, ce qu'il faisait, ou il vivait.

Très intéressant…

L'homme vivait avec sa femme et ses deux enfants sur un bateau…

Une sorte de péniche de vingt quatre mètres de long, depuis deux ans, il la retapait peu à peu.

Le couple avait aussi une autre grande fille de treize ans.

La "gentillette" était à quai à une vingtaine de kilomètre, faisant trempette dans un canal. Tout le confort à bord, téléphone, électricité, douche. Le Papa était fière de son  troisième enfant en métal, c'était lui qui l'avait accouché, de ses mains…

Mine de rien Robert eut tous les renseignement qu'au fond de lui même il ne souhaitait pas... La facture de l'appareil photo le renseignait sur le nom et l'adresse, ainsi que le numéro de téléphone. C'est on jamais, si l'envie lui prenait de la revoir…Juste la contempler, l'épier en cachette…

Pendant tout l'entretien sa pulsion pédophile ne l'avait pas quitté, des frémissements lui avaient parcourus toute la moelle épinière, et ceci à chaque fois qu'il reluquait la fillette. Quelle était belle…

 

A regret il les regarda s'éloigner, son regard ne pouvait pas se détourner de la petite croupe. Son minuscule postérieur se balançait très légèrement, creusant à chaque pas le sillon du jean, moulant admirablement ses deux belles petites fesses.

 

Mon dieu, qu'il aurait voulut être dans elle, serré, bien au chaud… 

 

 

La nuit fut horrible… Dans l'impossibilité de dormir il joua avec son sexe, se masturba de nombreuses fois, imaginant la petite Marine à ses côtés, lui prodiguant les caresses les plus osées, lui rentrant sa queue par devant, dans son vagin.

Puis pour finir il la retournait et l'enculait.

 

Sa semence se répandit plusieurs fois sur les draps, rien n'y fit, il pensait toujours à elle, toujours dans l'impossibilité de s'endormir…

 

Le matin arriva enfin. Sa décision était prise, pas de travail tant qu'il serait dans cet état la. Il se leva, puis téléphona à son employé.

Robert venait de prendre de lui même une semaine de congé…

 

Cinq tasse de café lui rendirent toute sa vitalité et vivacité d'esprit. Il se recoucha, baissa son slip, rejoua avec sa queue et ses couilles. Imagina les doigts de la petite fille de onze ans se promener sur sa bitte, jouer avec ses testicules.

Puis enfin la bouche de la fillette engouffrant sa bitte délicatement…

 

La folie le gagnait peu à peu, l'obsession grandissait, sa logique régressait… l'envie de passer à l'acte s'installait dans son esprit.

Et puis pourquoi pas, cette vie le faisait chier. Toute la journée il ne voyait que des cons autour de lui, des gens suffisants, sans logique, inintéressants, abrutis, ravagés par la drogue ou l'alcool.

Lui il ne voulait que baiser une fillette, la violer, lui faire l'amour…

Surtout pas lui faire de mal, pas la tuer…? Il y avait déjà tellement de meurtres sur la planète, tellement d'enfant qui crevaient de faim ou assassinés. Sans que cela émeuvent les grands cons ou les petits cons…

Les salauds étaient partout dans la société, du plus haut échelon au plus bas…

Une fillette de onze ans, avec des parents certainement aussi con que les autres…Alors pourquoi pas…

Une de plus ou de moins…La tuer peut être …?

 

Ne pouvant se retenir plus longtemps, dans une extase incomparable, il éjacula à nouveau…

Son visage se convulsa d'un plaisir malsain, tellement inhumain…

Il jouit incomparablement, comme il n'avait jamais joui…

Son cerveau venait de créer de nouvelles liaisons synaptiques.

Pour la vie entière, rien ne serait plus comme avant. Il était devenu fou…

Il s'endormit rapidement.  

 

Ses paupières s'ouvrirent à seize heures… Emergeant rapidement, souvenirs intacts. Sa première pensée fut pour Marine.

Cette fillette de onze ans à peine qui avait mis le feu à sa mémoire…

L'envie irrésistible de la violer, de lui faire l'amour s'imposait toujours à lui.

Sa logique humaine était court-circuitée à jamais.

Pour retrouver la paix intérieur, il fallait le faire…

Il allait le faire…

Se levant aussitôt il mit très peu de temps à remplir toutes les taches que normalement il effectuait tous les matins à son réveil.

Il se contempla dans le miroir de la salle de bain. Lavé et rasé de près, son apparence d'honnête homme gentil le rassura un peu.

Il était prêt. Dans sa tête tout se mettait en ordre, il savait déjà à peu près comment il allait pratiquer…

Il tiendrait en joue ses otages avec son fusil à pompe, puis demanderait à la femme d'attacher son mari, puis viendrait le tour de l'autre jeune fille…

Il ne lui restera plus qu'à attacher la femme, puis à bâillonner tout ce petit monde.

Seule Marine la petite vierge serait laissée en liberté pour l'instant…

La gosse transie de peur ne devrait pas bouger beaucoup.

Après il aurait tout le temps pour s'occuper de la fillette, il l'emmènerait dans sa chambre. Il voulait prendre son temps avec la petite, que cela dure des heures. La faire jouir par tous les trous, la faire hurler de plaisir et de douleur, profiter d'elle au maximum…

 

Méthodiquement, il commença à chercher tout ce qui pouvait lui être utile.

Toutes les pièces du pavillon furent fouiller, la récolte fut bonne…

Cordelettes, cordes, rubans adhésifs de plusieurs dimensions permettrait d'immobiliser les victimes…

Dans son atelier il sélectionna un choix de pinces divers, scie, marteau, perceuse sans fil. Il n'oublia pas non plus la seule bouteille d'acide qu'il possédait…

 

Son fusil à pompe fut extirpé d'une armoire, puis chargé avec six cartouches de gros calibres, si ce n'était pas suffisant une boite de dix non ouverte ferait l'affaire… Il prit aussi une grosse bombe de gaz paralysant, celle la il l'avait fait venir d'Amérique, le résultat était garanti. Normalement interdit à la vente.

Il n'oublia pas non plus sa matraque en plomb, recouverte de caoutchouc…

 

Comme vêtement, il choisit un slip noir et une tenue de jogging bleu foncé, de toute façon il n'allait pas garder ce dernier trop longtemps, baisage oblige.

Mais si il fallait s'habiller en urgence c'était pratique…

Des chaussures des tennis noir feraient l'affaire.

 

 

 

L'armoire à pharmacie fut inspectée à fond… Il sélectionna une bouteille pleine d'éther, pour peut être endormir une de ses proie. Des somnifères de différentes nature, des seringues, une boite d'aiguilles de toutes dimensions, du coton.

Sans oublier les crèmes intimes, les huiles divers, de l'alcool à 90, etc…

Il ouvrit une boite rectangulaire, dont il ne s'était encore jamais servi.

Un ensemble complet pour pratiquer une petite intervention chirurgicale, des pinces et ciseaux de différentes sortes, trois bistouris de taille différentes.

Cette petite boite allait peut être servir…

 

Il se dit que ce n'était pas la peine d'emmener plus de truc, sur un bateau habité, il devait y avoir pas mal de chose qui pourrait lui servir…

 

 Tout à coup, il se figea net, sa conscience ressurgit. Une idée venait de lui traverser l'esprit, un reste de logique humaine… Et si il faisait ça à visage couvert, une cagoule ferait l'affaire. Cela lui permettrait de ne pas être reconnu...

 

Pour la gamine il la baiserait dans sa chambre. Laisserait-il sa cagoule pendant toute la séance du viol, il aurait peut être chaud. Et si il la retirait, il faudrait qu'il couvre les yeux de la gosse pour ne pas être reconnu. Et ça il ne voulait absolument pas, il voulait contempler l'expression de la fillette pendant toutes les "saloperies" qu'il allait lui faire, la regarder gémir de plaisir…

Ne lui restait plus qu'à régler l'histoire de la cagoule… Il y avait bien celle utilisé lorsqu'il faisait de la moto, il y a quelques années. Mais ou était-elle ?.

Il fouilla partout…

Quinze minutes après, triomphant l'homme se contemplait dans un miroir, la cagoule noire sur le visage, des grandes lunettes noirs dessus.

Le test lui plut, il était vraiment méconnaissable.

Il rangea tous les instruments derrière le siège avant de sa voiture, tout tenait dans un grand sac en toile de couleur bleue. Seule le canon du fusil enrobé avec un morceau de tissu dépassait légèrement.

La voiture démarra à dix huit heures pile…

Les vingt kilomètres furent effectuer rapidement. Le canal était là, l'écluse aussi.  A quai seules deux péniches correspondait au signalement donné par le type.

L'une d'elle contenait des matériaux de construction. L'autre était habitée.

( A bitter…Hum... ) Intérieurement il rigola du jeu de mot.

Aucun autre bateau n'était accosté au quai…

Pourtant l'endroit n'était pas si désert que ça, à environ trois cent mètres, un petit café était installé, quelques rares clients rentraient et sortaient…

Il conduit la voiture sur le chemin de hallage, passa doucement devant le bateau, une voiture en retrait stationnant juste devant.

Des ombres et reflets de lumière fusaient de plusieurs hublots.

La voiture marqua un temps d'arrêt, il eut juste le temps d'apercevoir la silhouette d'un homme debout à l'intérieur. Il Avança sa voiture encore d'une vingtaine de mètre, puis se gara le plus près possible d'une haie verdoyante.

Des compartiments de verdure avaient été aménagés perpendiculairement et en repli pour garer des voitures.

Deux autres voitures était garées comme lui, c'elle du papa de Marine.

Plus une autre beaucoup plus loin à environ cent mètres, un pécheur peut être ?. Il descendit les vitres avant, puis coupa le moteur. Un silence presque parfait régnait…

Le moindre bruit pouvait être entendu. Cela lui donna une idée, il prit son téléphone portable et composa le numéro que l'homme lui avait donné la veille pour remplir la facture d'achat. Il attendit quelques secondes…

La douce mélodie d'un appel téléphonique se fit entendre dans le silence environnant. Il était bien à la bonne adresse… 

Robert coupa la communication juste avant que l'homme dans la péniche ne décroche…

Pendant plus d'une demie heure il fit le guet, Remarquant de temps à autre des silhouettes vaquant sur le pont du bateau à des occupations divers.

C'est ainsi qu'il put reconnaître le Père De Marine, c'était bien le bon bateau. Puis vint le tour de ce qui devait être la maman, puis une très jolie jeune fille, qui ne devait être que la sœur de Marine… Déjà plus une fillette, mais pas encore une femme, aussi belle que Marine, mais plus formé…

Aucune trace de Marine…

Il attendit patiemment encore plus de quinze minutes, son attente fut enfin récompensée… Tout au bout du chemin de hallage une enfant sur un vélo arrivait à toute vitesse. Clémence, car c'était bien elle, passa à toute vitesse juste à côté de sa voiture, elle ne fit même pas attention au véhicule garé près de la haie, encore moins au conducteur… Elle descendit de vélo juste devant la péniche, puis en portant l'engin, emprunta la planche qui reliait le quai au bateau… Robert eut immédiatement des frissons dans le dos et une montée d'adrénaline. Le beau petit cul moulé dans le jean était plus que parfait, et n'attendait plus que lui…

 

 

Toute la famille était enfin au complet pour le dîner.

La nuit tombait doucement… Pour un mois de Novembre il ne faisait pas froid, l'arrière saison avait été très belle. Selon la météo c'était loin d'être fini.

Il attendit encore un bon quart d'heure, regarda sa montre…

Vingt heure dix. Tout ce petit monde devait se remplir l'estomac…

Lui aussi il voulait remplir Marine, mais d'une toute autre manière…

Plus personne aux alentours. Le café venait de fermer, ce ne devait pas être la clientèle de l'écluse qui les faisait vivre…

La nuit tombait, le ciel s'obscurcissait rapidement, il fallait y aller…

D'un geste précis il extirpa le sac de derrière son siège, le posa sur celui du passager et commença à passer la cagoule, puis les lunettes.

Il se contempla dans le rétroviseur, méconnaissable…

 

Quelques minutes après Robert, le fusil d'une main, son sac à accessoires de l'autre marchait délicatement sur la passerelle menant à la péniche, puis enjambait le bastingage…

 

Le bruit de la vie lui parvenait…

La télévision, la famille entière regardait les actualités.

Des sons de conversation fusaient, des voix d'adultes et d'enfants riants…

 

Robert juste derrière la porte donnant sur la coursive respira à fond…

Très doucement il tourna le loquet, l'accès n'était pas verrouillé, il poussa…

La porte en s'ouvrant fit un léger grincement…

Toutes les conversations s'arrêtèrent…

 

Une seconde après une voix d'homme à l'intérieur de la péniche questionna promptement : " Qui c'est ? ".

 

Robert s'engouffra en courant et sans aucun ménagement dans l'escalier étroit menant à entrepont…

 

La surprise fut totale…

 

La voix maquillée et sourde sortant de derrière la cagoule invectiva immédiatement : " Vos gueules, vous levez tous les bras et vous ne bougez pas, le premier qui l'ouvre reçoit une décharge, vous allez faire tout ce que je dis et tout ira très bien…

En une seconde Robert avait reversé le sac et mis tous le contenu par terre.

Le Papa de Marine eut un mauvais réflexe, il "ouvrit la bouche", se leva, prit la parole, demanda immédiatement ce qu'il voulait…

Pour toute réponse, Robert sortit la bombe de gaz paralysant de sa poche et aspergea longuement le visage du mec…

L'homme porta ses deux mains à son visage, se mit à genoux, puis s'écroula en silence… Presque inerte, juste quelques spasmes secouaient ses pieds.

La femme se précipita sur son mari, l'appelant par son prénom, hurlant de peur.

 

Robert compris en un instant qu'il ne pourrait pas maîtriser la situation sans employer la bombe une deuxième fois…

 

Il aspergea le visage de la femme de produit paralysant.

L'effet fut presque identique.

Elle se cambra en arrière, roula par terre, se mit à baver, puis plus rien…

Les deux corps étaient par terre inertes…

Les deux fillettes toujours assis à table, transis de peur n'avaient pas beaucoup bougées, seule la plus petite s'était précipitée sous la table et restait prostrée en boule, silencieuse…

Robert intima à la plus grande de s'occuper de sa sœur et de la faire asseoir à nouveau à ses côtés.

La belle gamine, se précipita sous la table pour aider sa sœur. Quelques secondes après les deux filles étaient à nouveau assises sur leur chaises.

 

Robert prit la parole : " Bon ne craignez rien, je suis un cambrioleur, je vais voler des tas de chose, puis partir aussitôt après, mais avant je veux être sur de na pas être embêtée.

Il va falloir qu'on attache vos parents, puis après ça sera votre tour ".

 

Robert gardant sa bombe dans sa poche, posa son fusil en hauteur sur une armoire, puis commença à lier les poignets du papa, les bras en arrière, les pieds suivirent rapidement. Des triples nœuds très serrés entravèrent l'homme.

Pour finir il cambra son corps en arrière, replia ses pieds, puis fixa une corde qui reliait l'attache des bras à celle des pieds. L'arc de cercle était parfait.

Deux morceaux de rubans adhésifs furent placés, l'un sur sa bouche, l'autre sur ses yeux…

 

Tirant le type dans un réduit fermé servant de débarra, entièrement clos…

Il trouva encore plus sur de l'attacher à deux canalisations qui passait à côté, une corde reliée au cou, l'autre au pied. L'homme ne pourrait même pas rouler sur lui même sans s'étrangler.

Il fallait faire vite, la femme commençait à sortir des vaps…

Il mit plus de temps pour faire le travail analogue sur la femelle, elle bougeait trop… Au bout d'un quart d'heure elle était saucissonner à l'identique de son bonhomme et placé elle aussi dans le réduit…

Tout allait bien, les deux "saucissons" respiraient normalement.

Les gamines l'avaient regardé faire sans rien dire, complètement apeurées…

 

Robert prit la parole à nouveau : " Bon à vous les filles, vous allez me montrer votre chambre, je vais vous attacher sur votre lit, après je pourrais piquer ce que je veux".

 

D'un geste autoritaire, il ordonna aux pucelles de lui montrer leur chambres…

Les gamines toujours transis de trouille s'exécutèrent, marchèrent rapidement dans la coursive, jusqu'à une porte, puis l'ouvrirent rapidement…

Les deux lits étaient de part et d'autre de la porte.

 

Robert repris : " Bon vous vous allongez, je vais m'occuper de vous ".

 

Les deux gamines s'étendirent immédiatement sans oser bouger

Il s'occupa de la grande d'abord. Il la ligota d'une façon "pratique", une corde vint enserrer d'un tour complet son cou, appuyant assez fortement sur sa carotide.

Les deux extrémités étaient reliée et attachée solidement au montant métallique gauche et droite du lit. La gamine ne pouvait plus bouger sa tête du tout.

Il peaufina en attachant chaque poignet au montant métallique du lit…

Tout le reste pouvait bouger et fonctionner…

Comme pour les parents, il recouvrit sa bouche fermée d'un morceau de toile adhésive.

Rapidement il fit pareil avec la petite Marine, la gosse se laissa faire sans problème, sans se douter le moins du monde pourquoi sa sœur et elle, était attachées comme ça…

 

Il essaya de lever les jambes de la gamine, les écarta, c'était parfait…

 

Le plus calmement possible, il se redirigea vers la salle à manger, vérifia que les rideaux soient bien tirés, ferma le verrou de la porte de la coursive, décrocha le téléphone, puis il éteignit la télévision.

Il ne put résister à se servir un grand verre de jus d'orange, c'était trop tentant la bouteille était sur la table… Il éteignit la lumière de la salle à manger, prit sa sacoche et se dirigea vers la chambre des filles.

Le travail d'artiste pouvait commencer…

 

 

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P.S. Note sur l'inceste et la pédophilie :

 

Ce récit est imaginaire et doit le rester…

Une petite fille ou un petit garçon est un être humain, et ne mérite en aucune façon d'être perturbé dans son développement physique, intellectuel, et sexuel. Le respect de l'alchimie des trois donne l'amour. Beaucoup de gens n'ont pas eu cet amour et ne l'auront peut être jamais, c'est le malheur d'une vie, d'un être.

Le véritable courage dans la vie, consiste à donner le bonheur qu'on a pas eu,

et surtout de ne pas rendre le mal qu'on nous a fait…

 

Lorsque Dieu Demanda un volontaire parmi les meilleurs pour tenter Adam et Eve… Lucifer se porta volontaire, lui qui était pourtant l'un des sept grands archanges de notre système solaire, ou sa mission était de garder la planète Vénus. Il devait descendre sur Terre pour aider l'humanité à faire grandir sa spiritualité en la soumettant à toutes les tentations.

Ce qu'il fit… La tâche que lui confia dieu fut certainement une des plus importantes de la création. Elle n'est pas finie, elle doit permettre à l'être humain de s'élever, de révéler sa véritable lumière intérieur, d'affirmer sa spiritualité en résistant au mal, qui lui même fait parti intégrante du bien.

Comprenne qui pourra ….

 

Extrait brut et non corrigé de : " Histoires de bonbons roses acidulés "               

Auteur : Alain Terdit 

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