Extrait brut et non corrigé de : " Rose sans bonbon " 216 Pages                         

Auteur : Alain Terdit 

Titre : La livraison (Ce récit est imaginaire et doit le rester).

 

 

 

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          La Livraison

 

 

Le docteur téléphona le jour même à sa banque en Suisse, la totalité de la somme avait été versée… Il pouvait livrer la marchandise…

 

Jean Yves conduisait. Le docteur à côté de lui se retournait de temps en temps, histoire de surveiller un peu les deux fillettes.

Amélie et Sandra dormaient sur la banquette arrière du véhicule, somnifère oblige…

Déjà quatre cent kilomètre de parcourus…

Vint enfin le moment ou le panneau indiqua le nom de l'aire de repos de l'autoroute, il était huit heures du soir, la nuit commençait à tomber.

Il roula doucement, avança le véhicule jusqu'aux toilettes, bon nombres de voitures étaient garées devant.

Seulement une camionnette répondait au signalement…

Le docteur descendit de la voiture, se dirigea vers un urinoir, sortit son engin et  soulagea sa vessie.

Puis il commença à siffler un air bien connu de tous, puis trente secondes après un autre air moins connu celui là…

Puis vint la mélodie des deux morceaux enchaînées…

C'était le code de reconnaissance…

Aussitôt dehors il fut abordé par un homme d'une cinquantaine d'année, type méditerranéen.

Ils parlèrent environ deux minutes, puis remontèrent dans leur véhicule et démarrèrent aussitôt.

Le docteur suivit la camionnette en laissant une distance raisonnable.

Ils quittèrent l'autoroute, roulèrent une dizaine de kilomètres avant de bifurquer vers un chemin de terre conduisant à l'orée d'un petit bois.

Les deux véhicules s'arrêtèrent…

Deux hommes et une femme descendirent et se dirigèrent vers leur voiture.

Le docteur et Jean Yves firent de même. Les présentations furent  sommaires. Rapidement les portières arrières furent ouvertes, les deux gamines qui dormaient toujours profondément furent extirpées de la voiture et rapidement placées à l'arrière de la camionnette.

La femme étant chargée d'évaluer la "marchandise", ne trouva rien à redire…

On remit au docteur une grande enveloppe contenant un acompte sur la livraison futur. Tout ce beau monde se serra la main.

Rapidement les deux véhicules repartirent chacun de leur côté…

 

La première chose que fit l'inspecteur de police Véronique trouvé, fut de s'assurer que les deux fillettes étaient vraiment en bonne santé…

L'inspecteur Gauthier conduisait la camionnette.

Le commissaire principal Vaudou à côté de lui avait voulu couvrir l'affaire lui même.

Un truc comme il disait " d'une telle importance " ne laissait pas de place à une bavure, si minime soit elle.

Vaudou prit son portable et composa le numéro privé du procureur de la république. Celui-ci attendait impatiemment l'appel…

Le commissaire lui signifia que les deux petites filles avaient été récupérées saines et sauves…

Il précisa que l'argent pour la prochaine livraison avait été remis au docteur.

Ils étaient prêts pour la suite…

Depuis des semaines une équipe de huit inspecteurs travaillaient sur l'affaire, rien n'avait été laissé au hasard…

Du moins l'espéraient-ils…

Le plus difficile avait été de réunir les fonds pour racheter les fillettes.

L'affaire était montée jusqu'au ministre de la justice, qui lui même avait fait débloquer la somme…

On n'utilisait pas facilement l'argent du contribuable, même en étant presque sur de récupérer la mise de fond.

Le gouvernement Suisse avait négocié son fameux : " secret bancaire ".

Enfin tout c'était bien passé, les banques avait joué le jeux…

Les fillettes furent déposées rapidement dans un hôpital de la région, des examens devaient êtres pratiqués.

Les familles des deux gamines furent prévenues dans l'heure qui suivit.

Les parents pleuraient de joie au téléphone…

Le commissaire Vaudou n'aimait pas cette affaire, cette façon de procéder le dégoûtait…

Ses supérieurs avaient exigé que le réseau complet soit éradiquer, clients compris.

Cela se traduisait par la filature du gang pendant de nombreuses semaines.

Lui, aurait préférer intervenir tout de suite, réaliser un coup de filet au pavillon, tout aurait été plus rapide.

Ses supérieurs avaient contrecarré ses plans, de peur qu'il arrive quelque chose aux enfants pendant l'intervention…

Les ordres étaient les ordres…

La récupération des deux petites filles était déjà un point positif…

Encore combien d'enfants à récupérer ?. Il fallait interroger les deux fillettes, dans quelques heures ils en sauraient un peu plus…

 

Le lendemain fut jour de repos pour tout le monde, Nadine, Audrey et Kévin jouaient ensemble. Sandy s'occupait de Laura, la fillette allait se remettre, mais cela risquait d'être assez long. Les sévices pratiqués sur elle l'avaient marqués physiquement et psychologiquement.

Le docteur regarda ses deux nouvelles proies… L'une l'intéressait plus que l' autre, elle devait avoir sept ou huit ans au maximum…

Son intimité devait être encore plus serré…

Les deux gamines furent amenées au pavillon, le docteur demanda à Jean Yves de le laisser seul… 

Il allait s'occuper des fillettes lui même…

L'une après l'autre, Il les descendit à la cave. Plaçant les deux petites filles sur le plus grand lit, il commença par les déshabiller.

Il ne leur laissa que leur petite culotte. Il put comparer…

Leur corps était parfait. La différence d'âge était de deux ans à peu près… Il était beaucoup plus intéressé par la plus jeune.

La fillette avait huit ans au maximum… Il ne l'avait jamais fait…

Il voulait savoir si c'était faisable…

Il se rendit compte un court instant qu'il devenait fou…

Trop court moment de lucidité… Plus aucune morale ne lui effleurait l'esprit.

Il décida de passer outre, au point ou il en était…

Comme docteur il avait vu des fillettes de Quatre ans ayant été pénétrée par devant et par derrière.

Il avait été obligé de soigner ces enfants, la première fois il en avait dégueuler.

Cela l'avait tellement perturbé pendant des années. Il s'était posé la question de plus en plus souvent, à quel âge cela pouvait-il rentrer ? Cette question avait peu à peu dérangé son esprit, au point de devenir presque fou...

 

A partir de ce moment il avait commencé à désirer des fillettes, le phénomène c'était accéléré depuis ces dernières années.

Irréversiblement, le processus de fixation s'était implanté dans son cerveau.

Il avait presque été obligé de passer à l'acte, essayant quand même de résister pendant des mois… Il avait échoué…

Les gamines dormaient profondément, cela durerait longtemps. Il mit la plus jeune sur le ventre, écarta ses cuisses au maximum.

Le tissu élastique de sa petite culotte moulait très bien chaque petite fesse.

Avec un doigt il fit rentrer le coton dans la raie médiane.

Les deux petits dômes bien séparés saillirent encore plus. Le petit cul de rêve laissait apparaître une chute de reins exceptionnelle, creusée et tendue à souhait. Cette petite fille était un vrai bijou…

Il avait besoin de la souiller… Trop de beauté et d'innocence l'exaspérait, le déroutait, le retournait intérieurement.

Il n'avait jamais réussi à comprendre le mécanisme de son cerveau…

Il adorait ce qui était beau, mais ce qui en était le summum pour lui était malheureusement interdit par la loi.

On ne pouvait pas toucher… Même regarder des photos était devenu interdit… Cela n'avait pas été toujours comme ça.

Ces pratiques, jadis des continents, des rois et même des démocraties les avaient appréciés et tolérés...

Les temps avaient changé, la soit disant morale était passée par là…

La société permettait même aux enfants de devenir homosexuels. Le bourrage de crâne commençait très tôt.

La télévision, les films, les chansons, et mêmes les lois… Tout était fait pour que les gosses soient obligés d'accepter l'idée que devenir homosexuel était une chose naturelle… Lui était aussi de cet avis…

Mais pour ceux qui aimaient les enfants le langage était différent…

Pourtant les spécialistes étaient tous d'accord sur un point, si il y avait une déviation,

celle-ci était incluse dans le code génétique, au même titre que l'hétérosexualité, la bisexualité ou l'homosexualité…

Le prétexte des "anti" était simpliste… Les enfants n'avaient pas leur libre arbitre…

Bien sur qu'ils ne l'avaient pas, la majorité des adultes ne l'avaient jamais eu, alors des enfants…

Le libre arbitre, c'est justement de pouvoir faire une expérience, et de savoir s'il elle vous plait.

Si elle ne vous plait pas, vous passez à autre chose… L'âge n'a rien à voir la dedans…

L'apprentissage du cerveau humain fonctionnait ainsi, depuis des milliers d'années.

L'acquisition de la sexualité avait un cheminement identique…

Au lieu de ça on conditionnait les adultes et les enfants à respecter des schémas types qui ne correspondaient

pas à leur personnalité et à leurs besoins spécifiques…

Tous admettaient qu'on étaient différents, bien peu le pratiquaient pour eux mêmes ou pour leurs enfants.

Le libre arbitre, il était où…?

Comme toujours la formule favorite des cons restait et resterait encore longtemps :  " Fais ce que je dis et pas ce que je fais…".

Ils avaient déjà tous oubliés leurs jeux de touche pipi… Lorsqu'ils avaient entre six et dix ans…

Pourtant, la sexualité qu'ils avaient développée et construit à cet âge était toujours la leur…

Et oui sur terre il y avait autant de sexualité que d'êtres humains…

Combien de personnes le comprenaient…

La sexualité changeait doucement… Les deux hémisphères du cerveau étaient encore en conflit…

Le cerveau reptilien de "l'animal humain" en place depuis des centaine de milliers d'années régressait,

tandis que l'autre celui de la logique, de l'intelligence et de l'amour gagnait du terrain…

Le code génétique se modifiait peu à peu…

Il fallait remettre les pendules à l'heure…

Tous avaient eu des descendant pédophiles, homosexuels, ou bi-sexuels, ou hétérosexuels…

Son père, son arrière grand père, ou l'arrière arrière, arrière, etc…

Personne ne pouvait jeter la pierre à quelqu'un d'autre…

Personne n'était à l'abri d'avoir un enfant "hors normes".

Surtout avec ce qu'on nous faisait bouffer et respirer, actuellement…

Le code génétique allait muter dans le bon ou le mauvais sens… ?

Les expertises étaient plutôt inquiétantes… Selon un rapport émanant des services secrets…

Depuis dix ans, l'intelligence de l'être humain diminuait de un pour cent par an…

 

Alors, l'espèce humaine allait t'elle s'en sortir ? L'espèce certainement, oui…

Humanité… Peut être pas… A force d'être con, et surtout de vouloir le rester…

 

Pour qu'elle s'en sorte l'humanité, Il faudrait déjà apprendre un jour à nos enfants que la sexualité sert avant toute chose à donner et à prendre du plaisir, et non uniquement à procréer. Les rapports demandés par certains gouvernements et effectués par des spécialistes étaient visibles par tous sur internet… La violence récurrente et intrinsèque de la jeunesse actuelle venait en priorité du manque de tendresse, de câlins, de caresse dans la tendre enfance.

Et bien sur du manque de compréhension des choses concernant la sexualité des enfants.

 

Et si les "grands penseurs" qui faisaient les lois continuaient, à être aussi ignorant des besoins créés par la nature, la situation ne s'arrangerait jamais… Près de cent pour cent des pédophiles se contentaient de fantasmer devant des photos d'enfants…

Cela leurs suffisaient. Qu'allait il arriver si ils ne pouvaient plus se défouler de cette façon, ne risquaient ils pas de sombrer dans une obsession différente et bien plus dangereuse ? Celle peut être de passer à l'acte.

 

Avant, celui qui ne pouvait pas faire autrement que passer à l'acte partait en vacances dans un pays qui tolérait plus que moins le tourisme sexuel depuis des décennies…Pendant des années ces pays avaient fermé les yeux sur ces pratiques.

Cela rapportait trop de devises… Rien n'avait changé réellement d'ailleurs…

Dans ces pays les mêmes hôtels pour prostitués mineurs n'avaient pas été fermés pour ça…

Les gouvernement bien pensant avaient trouvé la solution idéale pour ne pas gâcher les belles et honorables relations diplomatiques entre pays… Si plainte il y avait…

Le contrevenant était jugé dans son pays à son retour… Rarement dans le pays ou l'acte s'était déroulé…

 

Mais il fallait se rassurer, dans ces mêmes pays, on pouvait toujours acheter un petit garçon ou une petite fille à ses parents.

Assez cher il est vrai… Mais lorsque que vous êtes pédophile, pour être tranquille il vaut mieux être assez aisé…

Il aurait fallut inventer le mot "Pédofric" pour résumer la situation en un seul mot…

Non, si vous n'avez pas beaucoup d'argent, contentez vous de vous masturber en regardant des photos nus de petits garçons ou de petites filles…( Attention maintenant c'est interdit par la loi… On peut seulement aller se faire foutre…).

 

Ces mêmes pays ferment encore les yeux sur les soient disant  dons de sang ou d'organes, effectués sur des enfants…

En réalité les gosses sont kidnappés et mutilés pour la vie dans le meilleur des cas…

Quelquefois des corps sans vie sont retrouvés… Et puis ceux que l'on ne retrouve pas…

 

Mais les bonnes consciences pouvaient se rassurer…Le problème n'est certainement pas le même…

Entièrement différent disaient-ils… ?

 

En somme se payer une petite fille ou un petit garçon "consentant" pendant quelques heures, était plus dégueulasse que de se payer un organe prélevé sur un d'enfant non consentant…

Ou encore que d'acheter un enfant pour usage personnel et intensif…En gros c'était ça …?

 

Il se rappelait à Paris… Il y avait déjà vingt ans, place de la " Con corde ? "…

Des petites filles âgées d'environ douze ans maximum "stationnaient" l'après midi à un endroit stratégique de la place…

Une limousine avec vitres teintées et chauffeur s'arrêtaient à la hauteur de la fillette…

Le chauffeur en casquette et habits de maître descendait, ouvrait la portière et très courtoisement invitait la petite fille à "monter"

La voiture redémarrait, et allait certainement retrouver un Monsieur qui travaillait en usine, ou dans un bureau…

Ou peut être un bas fonctionnaire ( et oui…Si il y a les hauts fonctionnaires, les "bas" doivent exister aussi…).

A l'époque le tarif était de cinq mille francs pour l'après midi…

Un de ses amis ministre l'avait rencardé…

Non… Ce n'était certainement pas un ouvrier ou un fonctionnaire de police qui pouvait se payer une voiture pareille…

 Eux, ils n'avaient pas encore conscience d'être pris pour des cons… Cela allait peut être venir…

 

Le manège était identique quatre jours par semaine…

Seules les voitures et les petites filles étaient différentes. Chut…

Lorsqu'on a côtoyé et conseillé des ministres et des Rois, on en sait des choses.

Mais on les gardes pour soi, tant qu'on garde sa tranquillité… Chut… 

 

Toutes ses pensées lui passaient dans la tête à une vitesse vertigineuse…

 

Lui n'avaient même plus conscience d'être passé du côté de la folie.

Si on lui avait permis d'aimer la seule petite fille qui avait réellement compté pour lui dans sa vie, tout aurait été peut être différent… Eve… Sa petite Eve…

La fille d'une de ses patiente… Pas patiente du tout la Maman, elle ne l'avait même pas écouté une seconde…

Balancé aux flics…Fini le docteur…Bonjour le conseil du désordre… Le blocage l'avait anéanti…

Plus que le fait de ne plus pouvoir exercer son métier… Cassé le docteur…

 

Trop de souffrance autour de lui… La sienne, celle des autres…

Pas assez de beauté, pas assez de caresses, pas assez d'Amour…

Cassé le docteur…Pas récupérable…Trop tard…Trop de cons…

 

Il mit un coussin sous le ventre de la gamine, son cul en hauteur se trouva encore plus mis en valeur…

Il se dévêtit entièrement, tout nu…

En érection complète, il s'assit sur le lit, jambes écartées.

Il s'arrangea pour lever la tête de la petite fille et mettre sa bouche à la hauteur de sa bitte…

Il n'eut aucune difficulté à ouvrir sa cavité buccale et à lui rentrer sa verge dans l'orifice béant.

Elle était dans une position extrêmement inconfortable, son cul et sa tête surélevée, nuque tendue au maximum…

Il apprécia la chaleur moite de son orifice buccal, joua à rentrer son engin au fond de sa gorge pendant un long moment,

puis il se retira… Il alla chercher une paire de ciseaux et s'approcha de ses fesses…

Il voulait qu'elle garde sa belle petite culotte rose à dentelle, elle enserrait trop bien ses deux petites fesses…

Mais il voulait aussi avoir l'accès à son intimité…

Il découpa habilement un trou circulaire d'un diamètre d'une pièce de cinq francs juste au niveau de son anus,

fendit aussi le devant de la petite culotte, juste au niveau de la petite fente…

Contemplant intensément le spectacle, il mit un doigt dans le trou pratiqué,

ressentit immédiatement la petite corolle de son anus juste derrière.

Il fit pareille devant, ouvrit la petite découpe pratiquée sur le tissu juste au niveau de son sexe…

Son minou était bien là, fermé, clos hermétiquement…

Il ne put résister longtemps, sa bouche s'approcha de la petite culotte.

Sa langue  fouilla d'abord le petit trou pratiqué par derrière. Il titilla, lécha, mouilla, elle sentait le cul, comme il aimait…

 

Puis sans aucune notion d'hygiène, il fit de même avec la fente de son sexe…

Celui-ci était beaucoup plus fermé que son anus. Il s'attarda à l'endroit du clitoris.

Il ne palpa rien avec sa langue, mais il se doutait que le petit bourgeon était bien là,

caché,  prêt à remplir son office de jouissance…

Il réussit quand même à décoller les lèvres de son sexe et à l'ouvrir un peu.

Il la fouilla méticuleusement, rentrant ce qu'il pouvait de sa langue dans son vagin…

La gamine dormait, mais commençait à bouger légèrement… Inconsciemment la petite fille commençait à aimer…

Le manège dura plus d'un quart d'heure. Plus il la fouillait,

plus elle s'ouvrait, un liquide au goût épicé et suave se répandit sur ses papilles…

Involontairement la fillette commençait à mouiller…

Il se releva. Alla chercher une seringue neuve sans aiguille,

il la remplit d'une huile prise dans un petit flacon, puis retourna au cul de la gosse…

Il allait lui remplir l'anus, lorsqu'au même moment le téléphone de son portable sonna…

Cette ligne était réservée pour les urgences, seul Jean Yves, Sandy et Mr Dupuis avaient ce numéro…

Il abandonna la petite fille, se précipita sur ses affaires, fouilla dans sa poche intérieure de veste et fut rapidement connecté…

C'était Jean Yves… Affolé… Il hurlait de peur, les forces de police donnaient l'assaut au pavillon principal…

Il s'était réfugié dans les toilettes avec son téléphone portable… Il ne savait pas quoi faire, les flics tambourinaient à la porte…

Le docteur pouvait entendre les coups frappés à la porte des W.C., ainsi que les gueulement des policiers dans son téléphone…

En une seconde le docteur avait compris. Il coupa la communication téléphonique…

Le sort de Jean Yves et Sandy était scellé, il n'y pouvait plus rien…

Il fallait faire vite, très vite, il se rhabilla à une vitesse incroyable, remonta par l'étroit escalier du pavillon.

Avait-il encore le temps de se sauver, de sortir de ce piège… Il regarda dehors… Tout était silencieux et normal…

Il prit dans un secrétaire sa trousse médicale. Une somme d'argent, plus de deux cent mille francs dans une grosse enveloppe.

Il n'oublia pas un revolver et une boite de munitions…

 

Il se précipita dehors, claqua la porte derrière lui, se mit à courir à travers champs. Il connaissait bien la région, la route nationale était à trente minutes de marche. Pour l'atteindre sans problème il devrait couper en ligne droite à travers la campagne.

A son avis les flics ne devraient pas tarder, pas question de marcher sur la route départementale…

Tout essoufflé, il arriva plus de trente minutes après sur la nationale. Il était vingt et une heure.

Les voitures passaient et repassaient sans arrêt. Il s'arrêta au bord de la chaussée, leva son pouce…

Avec son costume sombre et sa sacoche médicale à la main, il faisait vraiment docteur…

 

Il n'eut pas longtemps à attendre. Une voiture familiale conduite par une femme s'arrêta.

Très courtoisement il lui expliqua  qu'il était docteur, que sa voiture était tombée en panne au retour d'une visite chez un patient.

La femme heureuse et satisfaite de pouvoir rendre service à un praticien dans le besoin,

ouvrit aussitôt la portière côté passager…

Un peu plus loin ils croisèrent trois voitures de police, gyrophares allumés et sirènes hurlantes…

Un rictus de sourire tendit légèrement le bas de son visage.

 

Les deux fillettes à l'arrière du véhicule étaient contente que leur maman ait prit en stop un vrai docteur…

 

L'auto-stoppeur ne put résister longtemps. Il dit à la dame : " Elles sont gentilles vos petites filles…".

Puis ne pouvant plus résister il demanda… :

" Elles ont quel âge ? …".

 

 

                                                                     FIN

 

 

 

P.S. Note sur l'inceste et la pédophilie :

 

Ce récit est imaginaire et doit le rester…

Une petite fille ou un petit garçon est un être humain, et ne mérite en aucune façon d'être perturbé dans son développement physique, intellectuel, et sexuel. Le respect de l'alchimie des trois donne l'amour. Beaucoup de gens n'ont pas eu cet amour et ne l'auront peut être jamais, c'est le malheur d'une vie, d'un être.

Le véritable courage dans la vie, consiste à donner le bonheur qu'on a pas eu,

et surtout de ne pas rendre le mal qu'on nous a fait…

 

Lorsque Dieu Demanda un volontaire parmi les meilleurs pour tenter Adam et Eve… Lucifer se porta volontaire, lui qui était pourtant l'un des sept grands archanges de notre système solaire, ou sa mission était de garder la planète Vénus. Il devait descendre sur Terre pour aider l'humanité à faire grandir sa spiritualité en la soumettant à toutes les tentations.

Ce qu'il fit… La tâche que lui confia dieu fut certainement une des plus importantes de la création. Elle n'est pas finie, elle doit permettre à l'être humain de s'élever, de révéler sa véritable lumière intérieur, d'affirmer sa spiritualité en résistant au mal, qui lui même fait parti intégrante du bien.

Comprenne qui pourra ….

 

Extrait brut et non corrigé de : " Rose sans bonbon " 216 Pages                         

Auteur : Alain Terdit 

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A condition de ne rien modifier du texte original et de laisser les coordonnées, notes et explications de début et de fin.