Note: This story was dynamically reformatted for online reading convenience. Chère correspondante et amie, pour ton seul plaisir je tenais à te raconter ce qui m'est arrivé samedi dernier. J'étais allé avec Sophie faire un tour au centre-ville pour essayer un nouveau resto. Après le repas nous sommes allés au bistrot qui se trouve sur le toit de l'édifice où je travaille. La vue de la terrasse est suberbe: imagine, c'est au 40e étage! On a pris un verre, on a fait le tour en profitant de la vue. Sophie portait une très sexy petite robe noire sans manches et avait une queue de cheval. Je serais resté là toute la soirée à la regarder. Mais on avait d'autres plans et on commencait à avoir h te de rentrer tous les deux. On a donc pris l'ascenceur avec un groupe d'une dizaine de personnes. Comme on était les premiers entrés, on s'est retrouvé au fond, dans le coin de la cabine. J'avais le dos au mur et Sophie était devant moi. Quand les portes se sont refermées, je l'ai prise par la taille et je l'attirée près de moi. J'avais envie la sentir collées sur mon corps, de l'embrasser dans le cou, de lui chatouiller les bras du bouts des doigts. Après quelques étages à sentir la pression de ses fesses, à explorer plus ou moins discrètement son corps et imaginer tout ce qu'on pourrait faire du reste de notre soirée, j'ai commencé avoir une érection. Et elle l'a très bien sentie aussi. Elle a mis ces mains derrière son dos et m'a prise la queue à travers mon pantalon. Plus elle serrait, plus j'étais dûr. Encore quelques étages et je n'avais plus qu'une envie: caresser ce petit cul ferme qui se frottait sur moi. J'ai donc glissé mes mains le plus bas possible et j'ai commencé à remonter le tissu de sa robe. Sophie n'était pas d'accord. Elle a essayé de la rebaisser mais comme elle s'agitait un peu trop, elle a attiré l'attention d'un monsieur un peu gé. J'ai arrêté de remonter et j'ai attendu. Sophie a aussi cessé de bouger et l'homme s'est retourné vers l'avant après nous avoir regardé de haut en bas discrètement. Aussitot après, j'ai recommencé à tirer. Sophie ne se défendait plus, probablement convaincue que c'était mieux qu'elle reste discrète. J'ai remonté le tissu assez pour voir la dentelle blanche de sa petite culotte et pouvoir glisser la main sur sa fesse. L'ascenseur s'est arreté au rez-de-chaussée, la porte s'est ouverte et tout le monde est descendu sans se retourner vers nous sauf le vieux qui en a profité pour se rincer l'oeil de longues secondes en admirant les courbes de Sophie, nous sourire et nous faire un petit signe de la tête en sortant. Nous étions les deux seuls à se rendre jusqu'au stationnement du 2e sous-sol. Une fois la porte fermée, Sophie s'est retournée faussement f chée en me traitant d'obsédé pendant qu'elle replacait sa robe. C'est là, après que la lumière indiquant le 1er sous-sol se soit éteinte que s'est produit le "miracle". L'ascenseur s'est brusquement arrêté et la lumière s'est éteinte moins d'une seconde. Ensuite, une petite lumière d'urgence s'est allumée et on s'est retrouvés là, entre 2 étages. -C'est pas vrai. On est coincés ici! me dit Sophie un peu paniquée. -Ca pourrait être pire, que je lui dit avec un sourire, on doit être à 4-5 pieds de la terre ferme. Il n'y a vraiment pas de danger même si l'ascenseur tombait. En plus, on est tout seuls. On aurait pu se retrouver coincés avec tout ce monde. -Ou seuls avec le vieux qui fantasme maintenant sur mon cul parce que tu lui a fait un show contre ma volonté! -Mon oeil! Je sais très bien que tu n'as pas détesté ca. -Admettons...mais tu aurais pu t'arranger pour que ce soit un plus jeune! -La prochaine fois. -Oublie ca. Tu ne me referas pas ca de sitôt. -Bon qu'est-ce qu'on fait en attendant que quelqu'un vienne nous sortir d'ici. Je trouve qu'on avait bien commencé la soirée. Dans une situation comme ca, il faut se detendre et se changer les idées pour ne pas paniquer. -Et qu'est-ce que Monsieur l'expert en situation de crise recommande pour se changer les idées, qu'elle me dit avec son petit sourire coquin. -Il faut rester calme et suivre les intructions qui sont données par ceux qui savent quoi faire! -Et ca, c'est toi, bien sur. -T'as tout compris. Sophie a fait une pause de 2 secondes puis m'a dit: -Je veux bien suivre les instructions mais elles devront rester très sages parce que nous surveillés par une caméra! -Mais non, la lumière est éteinte. C'est une panne de courant. Il ne reste que les lumières d'urgences ici. Nous sommes vraiment seuls. Sophie n'était pas entièrement convaincue mais demanda quand meme finalement qu'est-ce que l'expert recommandait. -Premièrement, dans une situation comme ca, il faut commencer par s'assurer que personne n'est une menace pour les autres. Je vais donc devoir vérifier que vous ne portez pas d'armes. -Vieux cochon! C'est évident que je ne cache rien. As-tu vu ma robe? Ou voudrais-tu que je cache quelque chose? Sophie se tenait maintenant debout au milieu de l'ascenseur. J'ai fait le tour lentement en l'examinant avec sérieux et en espérant un peu que cette panne dure toute la soirée! Tu aurais dû la voir! Superbe, sa robe noire était amble dans le bas et moulait ses formes à partir de la taille. J'ai fait glisser mes mains sur son ventre et continuant de tourner autour d'elle j'ai vérifié chaque centimètre carré de son corps des fesses à la tête, j'ai détaché ses cheveux. Je les prefère détachés, elle a de si beaux cheveux blonds et frisés. Je me suis attardé à ses seins. J'aime les prendre à deux mains par derrière et sentir leur poids et leur forme ou glisser les doigts sous son décolleté, toucher la dentelle, lui exciter le bout des seins. J'aime que le bout dur de ses seins soit visible à travers le tissu si je sais que j'en suis la cause. Finalement, pour complèter ma fouille, j'ai dû m'accroupir à côté d'elle, lui caresser les jambes et les cuisses. Je pouvais la sentir frisonner un peu quand je remontais la main entre ses cuisses. J'ai ensuite glissé mes 2 mains sous sa robe jusqu'à la taille, j'ai saisi sa petite culotte et je l'ai baissé jusqu'aux chevilles. Je me suis relevé et je lui demandé de mon meilleur ton autoritaire mais sans pouvoir cesser de sourire: -Madame, veuillez me donner cette petite culotte svp. Sophie, qui ne détestait visiblement pas notre petit jeu, a fini de la retirer et me l'a tendu. Je l'ai gardée à la main puis je lui dit: -Maintenant, allez vers la mur devant vous et relevez votre robe pour me laisser admirer votre magnifique petit cul. Sophie fait deux pas jusqu'au mur devant elle et relève sa robe en me regardant, assez fière de l'effet que ce spectacle a sur moi. Mon pantalon fait une tente sur le devant et ma verge rigide pousse pour essayer de se libérer. Je me caresse doucement à travers le tissu. Sophie en rajoute, elle maintient le tissu relevé jusqu'à la taille d'une main et de l'autre elle se caresse les fesses et tente de se toucher le sexe par derrière. -Viens. Je suis toute mouillée. Viens mettre ta main ici. Elle se penche un peu vers l'avant pour bien me montrer où elle veut être touchée. -Non, pas ce soir. Je veux que tu me fasses un spectacle privé. Tu es bien partie. et reprenant mon ton officiel: -Retournez-vous SVP. Sophie se redresse et se retourne en laissant retomber sa robe. -Bon, maintenant laissez vous descendre en glissant le dos le long du mur et en pliant les genoux. Sophie obtempère en prenant bien soin d'écarter les cuisses pour mon plaisir de voyeur. Son sexe est exposé devant moi, tout ouvert, rose et mouillé. Son clitoris tout gonflé et excité, parfaitement visible comme une invitation à lui sauter dessus et à la manger. Encore une fois, cette petite exhibitioniste adorée prend plaisir à se montrer. -Tu veux que je me caresse pour toi? C'est bien ca, n'est-ce pas? -Exactement. Et quand tu auras fini je deciderai si je veux que tu me suces ou si je vais plutot mettre ma queue dans ce joli petit trou rose. -Est-ce que tu essaies de me choquer? Ce n'est pas un vocabulaire à employer devant une dame! -Je regrette de devoir vous apprendre que les dames distinguées ne se masturbent pas ainsi dans les ascenseurs devant un public. Pendant ce temps, Sophie continuait de se caresser de plus en plus intensément. D'abord en insistant sur son clitoris puis se pénétrant avec un doigt puis deux. Le spectacle était extraordinaire. Même toi, aussi hétéro que tu puisses etre, tu ne serais pas restée insensible. Cette sorte d'excitation sexuelle intense est contagieuse. J'ai détaché mon pantalon et commencer à me frotter. Elle serrait les cuisses sur sa main puis les écartait pour me permettre de bien voir. Puis j'ai su que le grand frisson approchait. Elle a ouvert la bouche un peu comme si elle criait en silence, elle a fermé les yeux, ces doigts ont accéléré leur mouvement, elle a gémi 2 ou 3 fois puis sa respiration a bloqué et j'ai senti la tension et le plaisir la submerger. Elle s'est assise et a rouvert les yeux. -Tu es satisfait espèce de voyeur, obsédé sexuel! Me masturber dans un ascenseur, regarde ce que tu me fais faire? Si tu penses que tu vas abuser de mon corps maintenant. De toute facon, j'étais sur le point de jouir et je suis venu quelques secondes plus tard dans la petite culotte blanche de Sophie que j'avais toujours à la main. Il était temps parce que quelques minutes plus tard la lumière est revenue puis l'ascenseur est descendue de quelques pieds et s'est arrêté. Quand la porte s'est ouverte, un gardien de sécurité attendait devant la porte. -Je suis désolé de ce qui est arrivé. J'espère que vous allez bien. Nous avons eu des problèmes électriques et ça a été plus long que prévu de repartir les deux ascenceurs. Un peu inquiète soudain, Sophie lui demande: -Il y a eu une panne de courant dans tout l'édifice? -Oh non, qu'il lui répond, c'était limité aux ascenseurs mais nous avons commencé par débloquer ceux qui étaient dans l'autre. Je ne sais pas encore trop pourquoi mais mon superviseur à la salle de surveillance insistait qu'il fallait s'occuper de l'autre d'abord. Pierre de "Pierre et Sophie"