Titre : Ariane - Chapitre 3 - Fin
Auteur : Arthur
Email : Zeike_52[_at_]hotmail.fr
Personnages : 1 homme, 2 adolescentes, 2 petites filles
La plus jeune fille a 8 ans
Romantique
Première fois
Oral
Masturbation
Pénétration vaginale
Pénétration anale
Lesbianisme
Urine
Scatophilie
Non-consensuel
Viol
Zoophilie

Texte envoyé le 31/12/2012
Texte publié le 31/12/2012

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Histoire envoyée à notre site des 'Histoires Taboues'.
/~Histoires_Fr/

Ariane

par Arthur

Chapitre 3 - Fin

J'étais la première à l'avoir vue, c'est parce que je marche plus
vite que les autres. Déjà les arbres se sont espacés, puis la
civilisation est apparue, sous forme d'une route, un bout mène au
delà de ce que je voyais, à l'horizon; l'autre, allant vers nous,
s'arrête à une petite ferme au bas de la colline. J'ai commencé à
crier à Tarra et Aline qui étaient encore derrière moi, elle se
sont précipitées au dessus de la pente qui leur cachait ce que je
voyais. Après plusieurs cris de joie nous avons couru vers le b
timent.
...
- Bien joué Ariane, me complimente Aline pendant que nous
marchons essoufflées, en direction de la ferme.
- Vous pensez qu'il y a quelqu'un à l'intérieur ? demande Tarra.
- Bien sure que oui, je rétorque. Il y a une voiture devant
l'entrée et des animaux dans la cour.
Je prend le temps d'observer la ferme plus précisément : Il y a
une petite maison de campagne, reliée à la route; et quelques
dizaines de mètre derrière, une grande étable qui doit servir à
loger les animaux. Car entre les 2 b timents il y a une coure
entourée par une grande clôture, et reliée à un grand pré
derrière où deux taureaux mangent l'herbe. Il y a également un
cheval qui galope et plusieurs cochons dans la cour. Je n'ai pas
vu d'animaux depuis bien longtemps en dehors des chiens que les
invités du maitre amenaient quelques fois, et je suis très
curieuse de voir comment la vie à la ferme se déroule ! Après
tout cette endroit a l'air loin de tout, je pourrais même
demander au propriétaire s'il peut m'adopter, et je laisserai
Aline et Tarra aller à l'orphelinat.
- Allez je sonne, indique Aline lorsque nous arrivons devant la
porte.
...
L'homme qui nous ouvre fait une tête bizarre, il y a plusieurs
raisons à cela : il ne doit pas avoir l'habitude de recevoir des
visiteurs sans entendre de voiture avant; et il doit encore moins
avoir l'habitude que ça soit 3 enfants presque nues qui
l'attendent derrière la porte. Je me suis cachée derrière Tarra
et celle-ci s'est cachée derrière Aline qui a la chance d'être
plus couverte que nous. Il soupire et nous fais signe d'entrer,
comme s'il venait de comprendre... qu'il ne pourrait pas
comprendre. Il m'inspire confiance, je le suis sans réfléchir et
mes copines en font de même. Il est plutôt grand, la trentaine,
habillé en jean et veste. Il ressemble pas au fermier qui était
au dos des boites de céréales au chateau, mais il a l'air amical.
L'intérieur est plutôt joli, plus moderne que ce que je pensais.
Il nous installe dans la cuisine sur des chaises très
confortables.
- J'vais vous préparer à boire, dit-il enfin. Vous vous décidez à
me raconter ?
Sa voix est rassurante, il sait parler aux enfants, j'imagine
qu'il fait pareil aux bêtes pour les calmer.
- On pourra visiter votre ferme ? je demande.
Même s'il remplit les verres dos à nous je sais qu'il sourit à ma
question.
- Je t'emmènerai à l'étable tout à l'heure, il me dit en riant.
Je le remercie, et il finit par nous servir un verre de jus
d'orange chacune. Assoiffées comme nous sommes, nous n'hésitons
pas et buvons à grandes gorgées.
- Tu aimes bien les animaux toi ? il me demande pendant que je
finis mon verre.
- Oh oui, je répond confiante, mes préférés c'est les chevals,
mais j'en ai jamais vu en vrai... sauf dans votre pré tout... à
l'heure...
Ma vision commence à se troubler et je ne sais plus très bien ce
que je dis... J'ai juste le temps d'apercevoir Aline et Tarra qui
ont l'air dans le même état que moi avant de tomber par terre. Le
noir total.
...
...
Je me réveille avec une étrange sensation sous mon dos, je dois
être sur les feuilles de la forêt, ça n'était qu'un rêve ?
!...... Mes espoirs sont vites déçus lorsque je me redresse : je
suis sur de la paille, je vois encore assez difficilement et j'ai
du mal à revenir à la réalité... Je vois Aline un peu plus loin,
dans un coin, elle est en train de faire pipi à en juger par sa
position. Elle n'a plus ses vêtements, il a dû nous les prendre
pendant que nous étions évanouies. J'aperçois aussi Tarra par
terre, à coté de moi, ses pleurs me viennent à l'oreille, tout
comme d'autres bruits, j'entends des grognements qui viennent de
derrière moi, je me retourne... Des cochons ! Je cherche à
m'éloigner le plus loin possible des animaux mais suis vite
stoppée par une chaîne qui tire sur mon pied. Je tombe encore, à
coté d'Aline.
- Calme-toi, elle me dit en s'essuyant sa fente du revers de sa
main. On est dans un enclos, il y a rien à craindre pour
l'instant.
Petit à petit je reprends mes esprits. Un enclos : 2 mètres sur 2
environ, un mangeoire à coté d'une petite porte en métal, un trou
pas très profond pour faire ses besoins, le tout entouré de
barrière de métal sur les 4 cotés. On peut voir les enclos
voisins et je me rends compte du ridicule de ma crainte. Les
cochons sont de l'autre coté, l'espace entre les barres est à
peine suffisant pour laisser passer leur gros nez à travers, et
puis les cochons mangent pas les enfants, hein ? Au fur et à
mesure de mon réveil, l'odorat me revient aussi : l'urine, le
caca, et les animaux, tout ça donne envie de se boucher le nez,
mais je résiste à la tentation, c'est supportable pour moi. Notre
enclos est dans un coin, on en a qu'un seul à coté de nous, les 2
autres cotés sont des murs de bois. En face il y a un cheval,
chouette ! Je vois enfin un cheval de près : celui-là est très
grand, il est tout noir avec un museau marron, trop mignon ! J'ai
envie de le caresser mais la chaîne accrochée à mon pied me
permet à peine d'aller devant notre porte qui de toute façon doit
être fermée... J'entends une grande porte qui s'ouvre, ça doit
être celle de l'entrée de l'étable, de là où je suis je ne peux
pas apercevoir la porte parce qu'elle est à l'autre bout de la
salle et que les piliers en bois me bloquent la vue. Mais
j'entends les bruits de pas, ça peut être que le fermier. Il
arrive devant notre enclos et fouille dans sa poche pour y
prendre des clés.
- Bien dormi ? Il nous demande en ouvrant le portail. Il aurait
fallut le dire tout de suite que vous veniez de chez Albert,
j'aurais pas eu besoin de vous droguer, il parait qu'il fait des
petites filles soumises comme tout. J'imagine aussi que vous avez
déjà bien été travaillées par ses invités, mais je vais quand
même vérifier.
Il s'agenouille à coté d'Aline et ordonne à celle-ci de se lever.
Elle s'exécute et tend ses fesses vers lui en écartant les jambes
pour que l'homme puisse bien voir ses deux orifices.
- En voilà une grande fille docile, commente l'homme en glissant
ses doigts précédemment mouillés de salive dans les 2 petits
trous d'Aline. Et t'as l'air d'avoir l'habitude en plus, mais je
vais trouver quelque chose pour t'occuper, t'inquiète pas.
Il retire ses doigts et tourne son attention sur Tarra qui
cherche à fuir à 4 pattes le plus loin possible. Pas facile avec
la chaîne autour du pied; Il lui appuie sur la tête pour la
mettre à genoux, la pauvre pleure mais ne cherche plus à se
débattre.
- On a un beau morceau ici, il se moque en tapotant mes fesses de
mon amie espagnole avec son pied. Je savais que les cochons
espagnoles était bien nourrie mais pas à ce point !
Sans ré-humidifier ses doigts il les enfonce dans le vagin et
l'anus de Tarra qui pousse un cri plus fort que les précédents.
- C'est encore bien serré tout ça, il commente en enfonçant son
pouce plus profondément dans son cul. Et je crois bien qu'on a
une petite vierge dans le troupeau. Il met une petite claque sur
la fesses droite de Tarra qui pleure encore et se retire. "C'est
à mon tour !" je pense en me mettant debout sans attendre ses
ordres, j'écarte les cuisses et écarte même mes 2 fesses avec mes
mains pour bien lui montrer mon anus; je préfère être docile, de
peur qu'il me fasse mal.
- En voilà une petite fille adorable, il me dit en caressant mon
derrière. Tu as l'air si fragile... Tu as déjà été pénétrée par
là ? Il demande posant son index sur mon anus qui se contracte de
crainte.
- Non monsieur, je répond d'une voix tremblante.
- Et par là ? il demande en baissant son doigt sur mon deuxième
orifice.
- Non plus.
Avec soulagement je le sens quitter mon entrejambe en me donnant
une caresse affective sur mes fesses.
- Je reviendrai demain, nous informe-t-il en fermant la grille
métallique après être sorti.
Aussitôt sorti, Tarra éclate en sanglot, moi et Aline nous
rapprochons d'elle pour la rassurer, mais que dire dans ces cas
là ? On était persuadées d'être libres et de plus jamais être
forcées à faire quoi que ce soit, et voilà que d'un seul coup
tout change. On est à nouveau emprisonnées, et rien ne nous dit
que ce que nous allons vivre ne serra pas pire que ce que nous
avons déjà vécu. Le reste de la soirée passe lentement, Tarra a
arrêté de pleurer mais les bruits de son ventre indiquent qu'elle
a faim. Il faut dire qu'on a rien mangé depuis ce matin; le
mangeoire qui est dans l'enclos est vide, je sais pas s'il
prévoit de la remplir mais j'imagine qu'il nous ferra pas mourir
de faim... Pas la peine de se lamenter plus longtemps; la journée
a été longue et celle de demain serra bien pire à mon avis. Tarra
s'endort rapidement dans les bras rassurant d'Aline. Moi je
m'écarte un peu, j'ai plus envie de sentir le gros corps poisseux
de sueur de Tarra contre moi, ni entendre ses ronflements à 2
centimètres de mon oreille. Je me met dos collé au grillage qui
nous sépare des cochons. Eux ils dorment déjà... Ils en ont de la
chance : ils ont un enclos plus grand que le notre, pourtant ils
sont 3 eux aussi; ils ont un mangeoire remplie de bouillie marron
avec des grains blancs, nous c'est vide; ils ont de la boue sur
le sol de leur enclos, nous on a de la paille qui gratte les
fesses; ils sont habitués à l'odeur des excréments, nous on doit
presque se boucher le nez; et puis eux ils peuvent être sales
autant qu'ils veulent, on leur dira rien...
C'est avec ce sentiment d'injustice que je m'endors.
...
Je me réveille avec la fente humide. Au départ je crois que c'est
Aline qui profite de mon sommeil pour explorer mon intimité. Sauf
qu'Aline dort en face de moi aux cotés de Tarra qui ronfle la
bouche ouverte. Et puis, je suis dos à la grille... Ah ! C'est un
cochon ! J'écarte rapidement mon bassin de la grille et essuie le
mouillé de mon entrejambe. Un cochon était en train de me lécher
ma petite chatte ! C'est le plus grand des trois, il a l'air
d'être plus gros que Tarra et Aline réunies ! Il a la peau toute
grise avec un long museau un peu plus sombre... et il a un peu de
cyprine sur le bout du nez; ça voudrait dire que ce qu'il m'a
fait m'a excité ? ! Pourtant je suis une petite fille, et c'est
un cochon, je devrais pas être excitée... Je rapproche mon bassin
du grillage; après tout, mes 2 amis dorment, personne le saura.
L'animal recolle son groin entre les barres de la grille, pile
sur ma fente. Ça fait un bien fou ! C'est chaud, un peu collant,
parfait ! Tout à coup je me sens excitée comme une puce, il faut
que j'me touche ! D'un geste violent je colle ma main droite sur
ma vulve, par accident je gifle le museau du cochon qui recule
vivement en poussant un petit grognement.
- Oh désolé petit cochon, je dis précipitamment en lui caressant
le groin là où je l'ai frappé.
C'est bizarre, j'ai un peu de compassion pour cet animal, j'ai
envie de lui faire plaisir tout à coup... Je me retourne et colle
mes fesses entre les barreaux de l'enclos, aussitôt il s'immisce
dans ma raie et caresse mon petit trou avec sa langue, c'est très
chaud, comme lorsque je fais caca... sauf que rien n'est sali.
Cette fois il n'y a pas d'obstacle pour m'empêcher de me toucher
et les étoiles arrivent à peine mon clitoris effleuré. Je retiens
mes cris mais je laisse quand même échapper des petits "ha..." de
contentement. Le cochon a pas l'air de vouloir s'arrêter mais moi
j'en peux plus; je m'allonge dos à la grille, comme ça il peut
continuer de me lécher et moi je peux me rendormir...
...
Je suis réveillée par Tarra et Aline qui discutent :
- Tu devrais pas manger ça, c'est dégoûtant ! dit Aline.
- Je m'en fiche ! j'ai trop faim !
Je me lève et m'approche de mes amis, elles sont toutes les deux
autour du mangeoire, Tarra à la tête dedans, en train de...
manger !
- Il y a quelque chose à manger ! ? Je demande au bord de
l'euphorie.
Je n'attends pas leur réponse et regarde par moi même : c'est la
même patte bizarre qu'il y a dans l'enclos des cochons, une patte
avec des petits grains; ça a vaguement une odeur de pomme de
terre, rien d'irrespirable en tout cas; et puis Tarra a pas l'air
de trouver ça mauvais, je devrais même me dépêcher sinon elle va
tout manger !
...
Ça à l'air d'être de la pomme de terre broyée, les grains ont pas
de goût, c'est pas spécialement mauvais en fait... Je me retrouve
rapidement comme Tarra, le visage plongé dans la nourriture
- On dirait 2 petites cochonnes qui ont pas mangé depuis 3 jours
! se moque Aline.
- Et toi tu manges pas ? je demande, la bouche encore pleine.
- J'ai pas très faim, elle répond en tapotant son ventre. Et puis
il faut que je garde la ligne.
Pas très convaincant comme argument, elle doit être malade ou
quelque chose comme ça. C'est pas ça qui m'empêchera de manger.
Je meurs de faim !
...
Il ouvre la porte de l'étable, puis celles des enclos pour faire
sortir les animaux dehors, comme on est au fond c'est notre porte
qu'il ouvre en dernier.
- Aujourd'hui je veux voir si ça vaut le coup de vous garder, il
nous explique. On commence par la plus ouverte.
Il enlève la chaîne attachée au pied d'Aline et la fait sortir,
celle-ci se montre très docile et ne tente pas de s'échapper ou
de se débattre. Moi je suis un peu inquiète, l'homme est pas
l'air très gros mais je sens qu'il va quand même faire mal à ma
copine... Il ouvre l'enclos d'en face, celui où il y a un cheval,
il fait entrer Aline à l'intérieur et va aussi chercher une
espèce de banc à l'entrée de l'étable pour le mettre dans
l'enclos : c'est une assez grande bûche élevée par 4 pieds en
métal. J'ai du mal à comprendre ce qu'il veut faire avec tout ça,
mais je vais bientôt le découvrir. Il accroche Aline au banc et
sors de sa poche un flacon avec du liquide transparent à
l'intérieur.
- Je suppose que t'as jamais été baisée par un cheval ? il
demande en étalant le liquide entre les lèvres de son sexe. Ça va
changer aujourd'hui !
Non ! C'est impossible qu'un cheval comme celui-ci puisse mettre
son zizi dans Aline ! Pourtant elle proteste pas, elle est
totalement résignée et soumise ! Le cheval a l'air de s'agiter un
peu, il doit savoir ce qui l'attend parce que son sexe commence à
grossir en dessous de lui. J'ai déjà vu des sexes de chien mais
jamais des sexes aussi gros que celui d'un cheval ! L'homme a
commencé à faire entrer ses doigts dans le sexe d'Aline, de là où
je suis je crois qu'il en a mit 4, mais son dos cache une grande
partie de ce qu'il fait. Je le vois enlever sa main et conduire
le cheval derrière Aline, son sexe est pile à la hauteur de son
bassin, et qu'est-ce qu'il est grand. Il doit faire au moins 30
centimètres et la largeur de mon poing !
- T'inquiète pas, il dit en se tournant vers moi pour me
rassurer, t'auras pas à subir ça, je suis sûr qu'on te trouvera
un animal plus à ta convenance...
Je frissonne à l'idée de faire l'amour à un animal, ça m'inspire
du dégoût et de la crainte. Tarra aussi à l'air effrayée, mais
elle ne cherche pas à regarder la scène qui se déroule dans
l'enclos d'en face, elle cache son visage comme si elle avait
peur.
- Allez on y va, dit l'homme en tapotant les fesses d'Aline.
Il fait avancer le cheval jusqu'à ce que son sexe touche le
derrière de l'adolescente. Et il frotte le zizi du cheval sur sa
chatte toute mouillée. Le cheval commence à hennir, comme s'il
était impatient de baiser Aline. Il commence à avancer de lui
même et il bute sur la vulve sans trouver le trou. Ses avancés se
font violentes et maladroites et c'est l'homme qui doit guider le
sexe pour l'ultime poussée qui fait entrer le sexe à l'intérieur
d'Aline. Elle pousse un terrible cri de douleur C'est la première
fois de ma vie que je l'entends crier comme ça, d'habitude elle
ne dit rien ou elle fait semblant d'aimer ça. J'ai presque mal
pour elle, mais ça n'empêche pas le cheval de continuer à
s'enfoncer de plus en plus profondément. Aline pousse des petits
cris à chaque fois que l'animal s'avance. J'en peux plus ! Je me
cache le visage comme Tarra en attendant que ça se termine. J'ai
peur que ça lui fasse trop mal et qu'elle soit très blessée... ou
pire. Est-ce que le fermier a l'intention de nous tuer ?
- Lève-toi, c'est à ton tour.
Je sens une main me toucher le pied pour me détacher ma chaîne
mais j'ose pas ouvrir les yeux. Ça l'énerve et il me met une
claque sur la fesse gauche qui me fait sursauter.
- Bouge toi ! il m'ordonne sèchement, t'as de la chance tu
souffriras pas aujourd'hui.
C'est vrai ? ! Ou alors c'est un mensonge pour que je bouge... La
douleur sur mon petit derrière me rappelle que j'ai pas le choix
et je me lève, soumise. Tarra est encore recroquevillée dans un
coin, les mains cachant son visage, et Aline n'en a pas finit
avec le cheval qui continue frénétiquement sa pénétration.
L'homme me fait signe de le suivre, nous quittons l'enclos, puis
l'étable.
Dehors, le soleil est déjà très haut, on doit être en début
d'après-midi. Presque tout les animaux sont dehors, les vaches
sont dans le pré avec les chevals, et les cochons sont dans la
cour. Il y en a un qui s'approche de moi : c'est le plus gros,
celui qui m'a léché hier. Il essaye de renifler entre mes jambes
et je dois l'écarter avec mes mains. L'homme me fait un sourire
bizarre :
- Tu peux te laisser faire, il me dit. Il te mangera pas, du
moins pas au sens "propre" du terme.
Il rit à sa blague, je devrais rire aussi mais ce double sens me
trouble... On entre dans la maison et il m'emmène jusque dans un
grand bureau. Il me fait asseoir sur une chaise de l'autre coté
du bureau, en face de lui, et allume l'écran de son ordinateur.
- J'ai quelques quelques questions à te poser, il me dit en
fouillant dans un tiroir. Et tu vas y répondre gentiment.
Il sort du tiroir une culotte, une culotte que je reconnaîtrais
entre mille rien qu'à l'odeur qui en émane. Ça me donne une
bouffée de chaleur désagréable, avec mes joues qui rougissent,
j'identifie facilement ce sentiment à celui de la honte.
- C'est bien ta culotte ? il demande en la prenant entre 2 doigts
et en me la mettant à 2 centimètres de mon nez.
- Oui monsieur, je réponds en fronçant le nez à cause de l'odeur.
- Bien... Parle moi de ce qu'on te faisait au chateau, et je
saurais si tu mens, il dit d'un ton menaçant.
- Ben... Il y a des gens qui m'ont fait sucer leur sexe... ou ils
m'enfonçaient leurs doigts dans mon sexe ou dans mon... dans mes
fesses, je balbutie, honteuse.
- Et pourquoi ta culotte est dans cet état, il me demande en
montrant les traînées brunes qui n'avaient pas toutes disparues
dans l'eau.
- Heu... Au chateau ils me laissaient pas la laver souvent...
donc je la porte depuis 1 mois...
Je deviens de plus en plus rouge et je commence à trembler.
- Et toi ils te laissaient te laver ?
- N...Nan, je dis d'une toute petite voix.
- On t'as déjà demandé de faire des trucs avec tes 2 copines ?
- Heu... Une fois j'ai léché Aline entre les jambes pour que...
pour qu'elle ai un orgamse.
- Et toi t'as déjà eu un... orgamse ? il me demande en souriant.
- Non, je réponds, un peu trop vivement.
Cette fois-ci il rigole pour de vrai, ça me met encore plus mal à
l'aise.
- En plus d'être une petite cochonne, t'es une petite menteuse !
Tu sais, il me dit en reprenant son sérieux, au départ je pensais
toutes vous renvoyer chez votre maitre, les filles de chez Albert
ne m'intéresse pas en général. Mais il se trouve que tu es une
petite fille assez...spéciale.
- Ah bon ? je dis un peu flattée. Spéciale comment ?
Il cherche quelque chose sur son ordinateur et tourne l'écran
vers moi.
- ...
- J'aurais dû te prévenir que les enclos étaient filmés la nuit;
je m'attendais pas à ce que tu sois... comme ça.
- ...
- Je comprends que tu sois choquée, je l'ai été aussi ce matin
quand j'ai vu ça. On croit que la plus jeune est la plus
innocente et on a des surprises !
- ...
- Hè, tu pleures ? Mais il faut pas avoir honte ma puce, tu as
aimé ce que tu as fait, c'est ce qui compte, non ?... Allez,
essuie tes larmes. Je vais te donner un chocolat chaud et tu vas
aller jouer dans la cour.
...
...
Je me sens un peu mieux maintenant, j'ai bu mon chocolat dans le
grand bureau, en fixant ma culotte sale. Je l'ai pas remise, je
m'en fiche. Maintenant je marche vers la cour, je crois que j'ai
entendu Tarra entrer dans la maison tout à l'heure, mais je l'ai
pas vu, l'homme l'a pas emmenée dans le bureau... Je me sens
beaucoup mieux maintenant ! Je sais pas ce qu'il y avait dans ce
chocolat mais j'ai envie de me défouler ! En sortant de la maison
je me tripote l'entre-jambe, de toutes façons personne me voit,
et puis du moment que ça me fait du bien. Dans la cour rien n'a
changé, le cochon est toujours là et vient vers moi dès qu'il
m'aperçoit. Lui il est gentil, il veut me faire du bien même si
c'est un animal. Je me rapproche aussi de lui pour lui caresser
la tête, il parait que les cochons sont agressifs, mais je le
trouve très calme, il fait rien pour se soustraire à ma caresse.
Je prends plus de confiance et ma main passe sur son dos... son
flanc... son ventre... Il doit aimer ce que j'lui fait parce
qu'il s'agite beaucoup, je vois même son sexe s'agrandir en
dessous de lui. Je le caresse lui aussi, avec des vas et viens,
c'est comme au chateau, sauf que cette fois ça fait du bien. Son
sexe est très gros, moins gros que celui du cheval de l'étable,
mais plus gros que ceux que j'ai déjà vu au chateau... Ça ferra
mal... mais je me sens prête. Je m'accroupis pour me rapprocher
de ce qui est devenue un objet de désir pour moi. L'odeur est
forte, pourtant elle me dégoûte pas, au contraire, on dirait la
mienne. Je donne quelques coups de langue sur le bout : c'est
chaud, ça me rappelle l'odeur de mon entrejambe quand je
transpire le soir. Il donne un petit coup de rein qui enfonce son
sexe dans ma bouche, mais je veux pas le sucer. Je veux lui faire
plaisir et lui offrir ce que toutes les filles doivent offrir à
leur amoureux.
Je me retourne, je sens que ma chatte est toute mouillée et il le
sent aussi parce qu'il plonge immédiatement le museau dedans, et
cette fois-ci les barrières sont pas là pour nous séparer. Les
petits guillis reviennent... Nan ! Je dois pas faire ça ! Je veux
pas jouir comme ça. Je me recule pour avoir son ventre totalement
sur moi, parce que je veux jouir avec son sexe à l'intérieur du
mien, je veux jouir comme une truie jouirait. Je cambre mon dos
pour que ses pieds touchent le sol et que ça limite le poids de
son corps sur moi. Je l'aide à positionner son sexe entre mes
lèvres; Aline m'a dit que le dépucelage est un moment mémorable
de la vie. Et ça m'arrive à moi, maintenant ! Je sens sa bite
glisser dans mon petit orifice, il est assez calme je trouve,
c'est parce qu'il sait ce que la première fois représente pour
une fille, il pousse des petits grognements de joie. Je me recule
un peu, la sensation est divine ! Ça n'a rien à voir avec mes
doigts. Je m'arrête. Pour lui laisser la satisfaction et
l'honneur de donner les dernier coup de reins qui m'enlèvera mon
hymen. Ah ! ça y est, je le sens glisser, oh ! c'est bon ! Je
sens les petites étincelles à l'intérieur de mon ventre ! C'est
trop bon ! C'est trop bon ! Oh oui ! Cet orgamse c'est le
meilleur de ma vie ! Et c'est pas la douleur entre mes jambes qui
m'empêchera de monter au septième ciel !...
...
...
- Écarte-toi, tu vois bien qu'elle est plus en état de baiser.
Je reprends mes esprits, je sens le sexe glisser hors de moi, et
rien que ça ça me donne du plaisir. Je respire très fort, ma
chatte me fait encore du bien. Un mince filet de liquide coule de
mon orifice, c'est que du sang. Le pauvre... il a pas jouit.
L'homme me retourne pour me mettre sur le dos, il me sourit :
- Ariane, petite Ariane...T'es vraiment une fille étonnante, même
quand je te laisse tranquille tu trouves le moyen de te faire
violer.
Je ne dis rien, je le fixe, haletante.
- Ecoute bien, j'ai prévenue Albert que vous étiez là, il vient
vous chercher dès demain. Mais tu mérites pas d'être avec cet
homme. Alors voilà ce qu'on va faire : au début je prévoyais de
te garder dans un enclos quelconque, mais il vaudrait mieux pour
toi que tu fuies, Albert se posera pas de question. Tu vas
récupérer un peu et je te déposerai ce soir dans la ville la plus
proche.
- N... nan.
C'est la première fois que je vois un homme surpris, ça fait
bizarre, d'habitude ils sont si sûrs d'eux.
- Je... je veux rester avec... les cochons.
Ma voix est faible mais son expression m'affirme qu'il a comprit.
- Décidément... il dit en souriant. C'est d'accords. Tu vas
rester avec tes copines ce soir et après je t'installerai dans
l'enclos des cochons.
C'est tout ce que je voulais entendre, je suis super contente
maintenant. Mais je suis fatiguée aussi. Je me rendors juste
après avoir fermé les yeux.
...
...
Je me réveille le soir, dans l'étable, dans l'enclos des filles.
La première chose que je fais et de regarder dans l'enclos voisin
: il est là lui aussi, il me regarde avec des yeux tristes, lui
aussi il aimerait qu'on soit ensembles en ce moment. Patience...
Je me t te le trou de mon sexe qui n'est plus si petit
maintenant, ça ne me fait pas trop mal, c'est juste un tout petit
peu irrité; par contre c'est très ouvert. Je jette un coup d'oeil
aux alentours : l'homme est en train de rentrer les animaux; et
Aline est là aussi, elle est assise les jambes écartées en train
de se masser sa vulve toute rougie, surement à cause de la
pénétration du cheval. Tarra est beaucoup plus mal en point !
Elle est allongée sur la paille, surement évanouie, et des lignes
rouges zèbrent tout son dos. Elle a visiblement été fouettée
assez violemment, je me rapproche d'elle : elle pue la sueur. Les
marques de fouet sont moins visibles sur ses fesses, parce que
celles-ci sont intégralement rouges, j'écarte ses fesses et suis
stupéfaite de voir l'étendue des dég ts ! Les traces de fouet ont
laissées des traînées presque violettes dans la raie de son cul,
et son anus est largement ouvert sur 3 centimètres ! Je quitte
son intimité quand je vois l'homme arriver. Il rentre juste le
cheval dans l'enclos d'en face.
- Mangez les filles, il nous dit d'un ton paternelle. Demain sera
une longue journée... pour chacune d'entre vous.
Pas la peine de le dire deux fois, j'abandonne Tarra et plonge
directement ma tête dans le mangeoire, je meurt tellement de faim
que même la nourriture informe me paraît être un repas 5 étoiles.
...
- Tu manges pas ? je demande à Aline.
- Nan merci, l'avoine concassée avec des pommes de terre ça donne
la diarrhée, et j'ai horreur de ça.
- T'aurais pas pu le dire plus tôt ! ? je m'écris en pensant à
tous ce que j'ai mangé.
Elle ignore ma question et rigole.
- Tu crois qu'elle dort ? elle me demande en désignant Tarra.
- Je penses, pourquoi ?
- Il faut que je t'avoue quelque chose.
Je suis un peu surprise, les secrets sont rares entre nous...
- Ben, en fait j'ai jamais été enlevée.
- Quoi ? !
Surprenant ! Elle m'a toujours dit qu'elle était arrivée chez le
maitre comme moi.
- Alors comment tu t'es retrouvée là-bas ? je demande curieuse.
- Quand j'avais 8 ans j'ai fugué de chez moi, et comme j'avais
pas d'argent j'ai dû en gagner en couchant avec des adultes. Et
un jour j'ai rencontré James. Il m'a proposé d'aller vivre chez
le maitre et j'ai accepté.
- Tu veux dire que tu faisais l'amour avec des inconnus avant
d'avoir été chez le maitre ?
- Oui, et j'ai adoré ça, elle m'avoue en souriant, j'adore encore
le faire : chaque fois que quelqu'un me force à faire un truc
sexuel ça m'excites, je te l'ai pas dit avant parce que j'avais
peur que ça te dégoûtes.
- Je peux comprendre, je lui dis pour la rassurer, mais pourquoi
tu me le dis maintenant ?
- Parce que d'après le fermier, t'es aussi cochonne que moi,
voire pire.
Je rougis dès qu'elle prononce ces mots, mais le pire c'est quand
elle montre l'enclos d'à coté.
- Comment ça se fait qu'il t'ai dit ça ? ! je demande en fronçant
les sourcils.
- Parce que je le connais, il est déjà venu au chateau,
d'ailleurs c'est moi qui lui ai demandé s'il me laisserais me
faire baiser par un de ses chevaux.
- T'es vraiment incroyable ! je dis en riant, j'arrive pas à
croire que t'aies voulu te faire baiser par un cheval.
- Franchement j'ai trouvé ça super, elle me dit en se couchant
sur la paille à coté de Tarra, il paraît que tu rentres pas avec
nous demain, profite bien de ta dernière nuit avec nous, ma
petite cochonne.
Je sais qu'elle m'appelle comme ça pour me taquiner, ça m'fait
rire. C'est Solène qui m'appelait comme ça, sauf qu'à l'époque
j'aimais pas qu'elle le fasse. J'aimerais bien la revoir...
...
Ça y est, elle s'est endormie. Je peux aller à la grille
maintenant, mon cochon est là, dans l'enclos où je serai dès
demain. Il vient en face de moi, je sens encore des guillis dans
ma chatte, ça doit être pour ça que j'arrive pas à dormir. Il
pose son museau sur mon nez et renifle fort; ça fait bouger mes
cheveux et ça m'fait sursauté, c'est drôle ! C'est dommage que
les animaux comprennent pas ce qu'on dit; parce que j'aimerais
lui dire que je l'aime. Mais je peux que caresser son museau, il
y a mieux comme preuve d'amour ! Que font les amoureux lorsqu'ils
peuvent pas faire l'amour ? Étrangement c'est à ce moment là que
l'image d'un tableau au chateau me revient : c'est le tableau
qu'il y a dans la salle de bain, comme je me lave pas j'avais
tout le temps de le regarder; il représentait un adolescent et
une petite fille en train de s'embrasser. S'embrasser...
J'approche ma bouche de son museau, sa bouche est un peu en
arrière et je sais pas trop comment m'y prendre. Alors
j'improvise : je lèche le haut de son nez... la surface de son
groin... un peu l'intérieur... ça a le goût de la boue un peu...
finalement je tourne légèrement mon visage pour coller ma bouche
à la sienne. Je sors ma langue mais il ne sort pas la sienne...
Ça veut dire qu'il ne m'aime pas ? ! Je m'apprêtes à fondre en
larme quand une pensée me vient à l'esprit : peut-être que les
animaux s'embrassent pas ?... Après tout, j'ai jamais vu
d'animaux s'embrasser... Et puis s'il m'aimait pas, il m'aurait
pas fait l'amour dans la cour. S'il faut faire l'amour pour
prouver à quelqu'un qu'on l'aime, ça devra attendre demain...
Mais je suis toujours aussi excitée, il y a plein de liquide qui
coule de mon petit trou. J'en prends un peu sur mon doigts pour
goûter : ça a un goût de pipi et de sueur mélangés à du sucre, ça
fait que m'exciter encore plus ! Il faut que je fasse quelque
chose !... Mon regard s'arrête sur Tarra, les fesses toutes
rouges pointant vers moi. Les paroles d'Aline me reviennent en
tête : "profite bien de ta dernière nuit avec nous, ma petite
cochonne", t'en fais pas pour ça, je vais en profiter... Je
m'approche de Tarra, elle est si vulnérable; mes mains se posent
sur ces globes fessiers, c'est très chaud ! Et elle fait aucun
mouvement, seul son souffle régulier m'indique qu'elle est encore
en vie. Son gros cul paraît si attirant maintenant, je comprends
pourquoi certaines personnes la préfère à Aline, la forme de son
derrière la rend tellement excitante que j'en serais presque
jalouse ! Je suis peut-être une grosse truie à l'intérieur, mais
elle, elle l'est à l'extérieur. Je me demande si un jour elle
deviendra aussi sale que moi; ça la rendrait parfaite. À cet
instant je m'imagine un animal, mi-fille mi-truie, et cet animal
ça serait moi, rien que cette pensée m'excite encore plus
qu'avant ! J'enfonce mes deux mains dans sa raie des fesses, elle
est vulnérable et j'ai bien l'intention d'en profiter ! La vallée
entre ses deux fesses provoque une incroyable chaleur et je
résiste pas à l'envie d'y plonger le visage. Du bout de mon nez
je commence le trajet qui part du haut de sa raie, il y a une
enivrante odeur de sueur, elle sue comme un porc, ça me rend
jalouse ça aussi, moi je sue comme une fille normale ! J'ai un
frisson lorsque mon nez entre en contact avec ses premiers poils
: c'est un signe que son trou du cul n'est pas loin, et puis
l'odeur se fait encore plus forte : la sueur se mélange à l'arôme
de son petit trou ! J'incline un peu plus mon visage et c'est ma
bouche qui rencontre sa petite pastille entre-ouverte. Je sors ma
langue pour caresser la surface du sphincter et les poils qui
l'entourent, le goût est encore pire que l'odeur ! Et ça m'excite
! J'adore être écoeurante ! Et c'est loin d'être fini, ma langue
s'aventure maintenant à l'intérieur de son rectum... Ouah ! À ce
moment je comprends pourquoi Aline fait ça : ce petit canal tout
chaud est un trésor de goût et d'odeur. Je crache le plus de
salive possible pour qu'elle s'imprègne du goût de ce cratère
brûlant et ensuite je ravale le liquide brun tre, que c'est bon !
Ma jouissance ne m'intéresse même plus, ce que je veux c'est du
vrai bonheur, bien moins court qu'un orgamse ! Je retire ma
langue et commence à sucer ce petit trou comme un nourrisson
affamé, je me demande quelle tête ferra le fermier quand il
regardera la vidéo de la caméra demain matin. Il verra à quel
point je peux faire la cochonne et même lui il serra dégoûté ! Oh
! Je sens quelque chose de chaud arriver sur ma langue, au début
je crois que c'est ma salive, mais la texture est différente, la
matière appuie sur mes lèvres et l'odeur nouvelle me permet
d'identifier avec excitation mon nouveau partenaire de jeu : elle
a la diarrhée ! Mais ça ne me dégoûte pas pour autant ! Au
contraire, j'ouvre mes lèvres pour laisser la merde grasse et
puante pénétrer ma bouche. Je me dépêche d'avaler car je sens
qu'elle ne s'arrêtera pas ! Je tourne ma langue dans ma bouche
pour m'imprégner totalement de cette saveur pendant que l'anus
continue de déverser cette substance si repoussante comme une
fontaine d'eau ! Cette grosse truie est en train de me chier dans
la bouche, et moi j'avale tout ! Et j'aime ça ! Je pourrais
manger ça toute la nuit... malheureusement la diarrhée cesse peu
à peu et j'ai vite fait de terminer le repas, avec une once de
dégoût, mais énormément de plaisir ! Le goût et l'odeur me
montent au cerveau et s'imprime à l'intérieur. Il faut que je
jouisse maintenant ! Mes mains l chent ses fesses qui se
referment sur mon visage, appliquant leur sueur puante sur mes
joues, pour aller entre mes jambes. Je me sens prête à ressentir
l'orgamse tant convoité ! Ma main droite explore mon clitoris et
ma fente pendant que ma main gauche caresse mon trou à caca. Ma
langue retourne explorer le rectum de Tarra qui a fini de cracher
sa lave brun tre. Mon index et mon majeur gauches essayent de
percer mon trou du cul, avec ma sueur pour unique lubrification.
À l'avant c'est plus facile avec toute ma mouille, j'ai déjà 2
doigts qui s'activent dans ma chatte. Il faut que ça se
finissent, je sens que si je peux pas libérer tout ce plaisir
bloqué en moi je vais exploser ! Je pousse très fort avec mes
doigts gauches et ils sont avalés par mon anus ! C'est le geste
de trop : les étoiles reviennent ! Je rajoute 2 doigts dans ma
chatte pendant que mes deux doigts qui pénètrent mon cul
s'enfoncent de plus en plus profondément, ça me fait mal mais je
m'en fous ! Mes mains s'enfoncent dans mes orifices et ma langue
aussi, tout mon visage pousse contre les fesses de Tarra ! Ma
langue explore tellement profondément dans son cul que je
retrouve des traces de sa merde et le goût qui va avec ! Ça
arrive ! Ça y est ! Oh oui ! C'est booooooooooooooooon !
...
...
Ça fait depuis combien de temps que suis endormie ? Je suis
encore entre les fesses de Tarra, avec mes doigts enfoncés dans
mes orifices ! Je retire rapidement ceux dans mon vagin mais ceux
dans mon cul me font mal. La peau de mon rectum a dû être irritée
à cause de la violence de ma pénétration. Je pousse comme si je
voulais faire caca, et ça marche : mes deux doigts sortent comme
deux étrons, et la sensation est super agréable ! Ça y est. Ils
sont tout deux recouverts d'une couche marron, je sais pas
combien de litres d'excrément j'ai mangé aujourd'hui mais je sais
que face à ça mes doigts sont des sucreries. Je les lèche avec
attention tout les deux. Je trouve que mon caca à meilleur goût
que celui de Tarra, j'aimerais bien goûter celui d'Aline pour
comparer, mais je suis trop fatiguée, cette orgamse m'a épuisée
!... Oh ! Mon cochon me regarde encore, je me demande s'il a
compris ce que je venais de faire. Est-ce qu'il pense que je l'ai
trompé ? Je me rapproche de lui jusqu'à sentir sa respiration sur
mon visage.
- T'inquiètes pas, je lui chuchote, t'es mon seul amoureux et ça
changera jamais.
Je lui dépose un baiser sur le groin, puis je sors ma langue et
je commence à lui laver la totalité du museau. L'odeur est
insignifiante face à ce que j'ai mangé tout à l'heure. Il finit
par se reculer et se couche pour dormir.
- T'en fais pas, je lui dis pour le rassurer. Demain soir je
serai avec toi et ton corps me réchauffera...
Et je m'endors à mon tour, comblée.
...
J'avais oublié à quel point c'est bon de se lever quand on a
envie de se lever et de pas être forcée. La première chose que je
remarque c'est l'absence des filles, elles ont dû partir plus tôt
dans la matinée, je me demande si elle vont me manquer ? Le
souvenir de l'odeur de Tarra restera dans ma mémoire en tout
cas... J'ai un peu mal au ventre, surement à cause de l'avoine,
il faut que je fasses caca mais j'ai envi d'attendre d'être dans
mon nouvel enclos pour le faire, pour marquer mon territoire...
Justement l'homme arrive !
- Enfin tu te réveilles, me dit-il en ouvrant ma grille. Je vais
te demander un dernier truc avant te laisser entrer dans
l'enclos.
- Quoi ? je demande intriguée.
- Quelque chose que tu devrais aimer, j'ai vu le petit spectacle
que tu m'as fait cette nuit avec ta copine espagnole,
magnifique... Je me suis dit qu'il faudrait que je sois présent
pour ton dernier dépucelage.
- Hein ? je fais autant choquée par le fait qu'il m'ait vue que
par ce qu'il prévoit de faire.
Il s'approche de moi et me détache :
- Aujourd'hui tu donnes ton petit cul à ton m le, il m'explique
en souriant. Sois courageuse, ça devrait pas faire trop mal.
Je hoche la tête, je ne dis rien mais au fond de moi je
bouillonne. Pas de peur non, mais d'impatience ! Je le suis à 4
pattes jusque devant l'enclos d'à coté. Avant d'ouvrir la grille
il se met à ma hauteur et me retire l'anneau qu'il utilisait pour
m'attacher.
- T'as plus besoin de ça, il me dit en caressant la tête. Les
petites cochonnes savent rester sages et obéissantes.
J'acquiesce de nouveau; je trouve ça assez humiliant la façon
dont il me traite, mais ça me dérange pas, ça m'fait plaisir
même... Enfin il ouvre la porte et je me précipite à l'intérieur
pour serrer mon cochon dans mes bras ! Le sol est tout boueux et
ce contact frais additionné à la chaleur que me procure mon petit
amoureux me rend super heureuse ! Je commence à lui lécher le
museau comme hier, et il fait pareil en me donnant de grand coup
de langue sur tout mon visage, ça me fait rire !
- Finit de rigoler, dit l'homme en me tapotant les fesses, tu
veux que je te lubrifie ?
Je fais non de la tête, j'ai envie de sentir son sexe entrer dans
mon petit cul, sans aide, naturellement. Et puis je suis trop
impatiente pour perdre du temps avec ces trucs ! L'homme l'a
compris et me met en position, la tête baissée et les fesses en
l'air, tout en faisant avancer mon cochon au dessus de moi. C'est
à ce moment là que mes mouvements d'estomac se font de nouveau
ressentir, comme si mes intestins savaient ce que je veux faire.
Je me retiens, pour le moment, j'aime bien me sentir pleine comme
ça, et je sais que ça serra encore mieux dans quelques
secondes... Je sens le sexe de mon animal frotter entre mes
jambes, il a envie de retourner dans ma petite chatte, ça me fait
plaisir : c'est une preuve que même s'il a pas jouit la première
fois, il veut y retourner pour m'offrir une seconde chance.
- Ne rentre pas dans ce trou là, je lui dis, je veux te faire
jouir avec mon petit trou à caca...
Ça fait rire l'homme que je parle à mon amoureux comme ça :
- Il ne peux pas te comprendre ma puce, me dit-il en riant. Si tu
veux communiquer avec lui il va falloir utiliser le langage des
signes.
L'idée n'est pas bête, un cochon doit être assez intelligent pour
comprendre mes gestes... De ma main je prends son sexe et le
dirige sur mon petit trou, je pousse sur mon muscle et j'appuie
pour lui faire comprendre que c'est par là que je le veux... Ça y
est ! Il commence à appuyer, je me relaxe et c'est à ce moment
qu'une petite giclée de mon caca sort de mon petit trou. Je suis
prête à m'excuser mais c'est là que son sexe pénètre dans mon
petit trou lubrifié par mon caca. Je veux crier mais aucun son ne
vient, je sens sa bite entrer au plus profond de moi, sa bite
brûlante qui frotte sur mon sphincter... Et j'adore ça ! La
douleur est là mais elle est noyée par le plaisir que je reçois !
J'suis en train de me faire enculer par mon amoureux !
J'ai envi d'exprimer ma joie, lui dire de s'enfoncer plus vite en
moi, lui dire que j'adore ce qu'il me fait ! Mais j'y arrive pas,
et c'est lui qui va m'aider à trouver les mots : il pousse des
grognements de satisfaction, comme lorsqu'il me baisait dans la
cour; alors moi aussi je grogne, comme une grosse truie en train
de se faire enculer par son m le ! Je pousse des petits cris
porcins parce que je suis sûre qu'il peut comprendre ça ! Et je
pousserais ces petits cris d'animal excitée chaque fois que je
devrais lui dire que j'aime ce qu'il me fait !... Ah ! Ça y est
je sens ses hanches contre mes fesses ! Son sexe pousse dans la
merde qui est encore en moi, et ça m'exciiiiiiite ! C'est trop
bon ! Ah ! Il commence ses coups de reins ! Je sens l'orgamse
arriver, et nos grognements gagnent en intensité ! L'extase
arrive lorsque je recommence à pousser et que son sexe s'enfonce
encore plus profondément en moi ! Tout ce que je sens c'est ce
pieux d'acier planté dans ma partie la plus intime, et je couine
une dernière fois avant de m'écrouler, ravagée par l'orgamse ! Et
enfin il me donne le coup de gr ce ! Lorsque son sexe crache tout
son sperme dans mon cul, son sperme qui se mélange avec ma
merde...
Je m'écroule par terre, dans la boue, lui il continue ses coups
de reins, parce qu'il sait que ça me fait du bien, et qu'il aime
me faire du bien. Et je suis presque sûre que c'est ce qu'il me
dit en grognant, "Je t'aime Ariane" en langage cochon. Et je
grogne comme lui, pour lui répondre... Ça y est, il se retire, et
ça m'fait encore du bien lorsque son sexe s'en va, comme si je
faisais un très gros caca. D'ailleurs c'est ce qui sort juste
après, mon caca. Le flot gras et odorant s'échappe de mon anus
pour couler sur mes lèvres, ma merde sur ma vulve me fait comme
une caresse. Il y a bientôt une flaque qui se forme entre mes
jambes, c'est poisseux, ça m'rend heureuse...
- Je regrette pas de t'avoir gardée, me dit le fermier qui a
regardé pendant tout ce temps. T'as gagné ta place dans la
porcherie.
Il me tapote à nouveau les fesses, c'est bizarre comme ça fait du
bien d'être traitée comme un animal ! Je me sens intégrée à la
bande maintenant que je me suis offerte à mon cochon ! Je me
demande si toutes les journées vont être comme celle-ci...
- Je vais nourrir les animaux, si tu veux tu peux sortir dans la
cour.
Sortir ! Je suis très bien où je suis ! Et puis vu comme je viens
de faire l'amour, j'ai bien droit à un peu de repos dans ma
nouvelle maison. Je vais faire une petite sieste, j'ai aussi un
peu envie de faire pipi, mais comme mon caca est déjà entre mes
jambes c'est pas grave si en plus je fais pipi, et puis ça
rajoutera des odeurs... Mon amoureux me touche le nez avec son
groin, il a peut-être peur que je parte bientôt... j'ai envie de
lui dire que cette fois je reste, qu'on se séparera plus jamais
et je l'aimerai toujours. Mais je suis trop fatiguée pour ça,
alors je me contente de lui lécher le bout du museau et de
m'endormir, sans penser à rien...
***

Épilogue :
Qu'est-ce qui m'a réveillée ? Il est tôt pourtant, les autres
dorment encore, mon cochon est blotti contre moi, son sexe entre
mes jambes. Il s'est endormie sur moi après qu'on ait fait
l'amour; j'ai adoré, comme toujours, comme presque tout les jours
depuis environ 2 ans... Je vois pas le temps passer, pourtant
j'ai changé depuis, quand je revois la frêle petite fille qui
prenais son premier bain de boue... À l'époque j'étais légère
comme Aline, et presque aussi innocente que Tarra. Maintenant j'y
suis en permanence dans la boue, ça me gène plus, ça m'a jamais
gênée mais avant je ressentais de la honte. Maintenant je suis
aussi perverse qu'Aline... peut-être que j'suis aussi grosse que
Tarra quand elle avait mon  ge ?... Je mange énormément en ce
moment, le fermier dit que c'est parce que je grandis; et puis
c'est pas cool d'être la plus petite de l'enclos, je me sens si
fragile... et puis je bouge plus trop, des fois je sors pour
aller faire pipi ou caca, mais en général je le fais pendant que
mon amoureux me fait l'amour, ça fait encore plus de bien. Je
suis peut-être pas si grosse que ça en fait, la boue recouvre en
permanence tout mon ventre du coup je me sens peut-être épaisse à
cause de ça... Je vois le fermier passer devant l'enclos, c'est
lui qui m'a réveillé en ouvrant la porte ! Je gémis plaintivement
pour exprimer mon mécontentement.
- Excuse-moi si je t'ai réveillée, il me dit, mais j'ai une
surprise pour toi.
En disant ça il ouvre l'enclos d'à côté, celui qui est vide, et
il repart dans l'entrée pour ramener... 2 fillettes ! Il les pose
dans l'enclos vide. Je pousse un petit grognement de satisfaction
en m'approchant de la grille qui sépare nos enclos : elles
doivent avoir 10 ans toutes les deux; l'une est brune, déjà bien
formée au niveaux de la poitrine et des fesses, pas très grosse,
quand je compare son ventre au mien je me rends compte que c'est
peut-être vrai que j'suis grosse... La deuxième est une petite
rousse, plutôt mince, pas encore formée. Je sens déjà ma petite
chatte couler !
L'homme a entendue mon petit grognement et il devine ce que je
veux, il ouvre l'enclos et je me remets sur mes pattes pour aller
dans celui d'à coté. Mon corps est lourd et même en me déplaçant
à 4 pattes, une habitude prise avec le temps, je me sens
fatiguée.
- Tu commences à prendre du gras, il me dit en me tapotant les
fesses dès que je passe devant lui. Une vrai petite cochonne.
Bon c'est bon, je suis grosse j'ai compris ! Toujours obligé de
me le rappeler... ça me vexe pas mais c'est pas une raison pour
le dire tout l'temps !
- Elles dormiront encore une bonne petite heure, il me précise
quand j'entre dans l'enclos. Je te laisse t'amuser avec elle.
Il ferme l'enclos derrière lui et s'en va. Le contact de la
paille est désagréable ! Heureusement la boue qui recouvre mes
jambes limite le contact. En 2 ans c'est la première fois que des
nouvelles filles arrivent, je me demande s'il va en garder une ?
Est-ce qu'elle vivra dans mon enclos ? Est-ce qu'on deviendra
amie ?... Je me pose trop de questions ! Je m'approche de la
petite rousse, le corps nue d'une petite fille est quelque chose
que j'ai pas connu depuis 2 ans... Je me mets à coté d'elle,
j'examine d'abords son visage : elle sent bon ici, ses cheveux
lui arrive en haut des épaules et ils sont pas trop sales. Je
descends à ses pieds, eux ils sont tous noircies de crasse, je
lèche une peu entre ses orteils : ça fait longtemps que j'ai pas
goûté de pieds et l'odeur revient en moi comme un lointain
souvenir, c'est agréable... Finit les amuse-gueules, maintenant
on passe aux choses sérieuses : je la mets sur le ventre et me
place entre ses jambes; ses fesses sont magnifiques ! Elles ont
la même odeur que celles de Tarra, sauf qu'elles sont beaucoup
moins grosses, plus rondes par contre. Je les écartes pour voir
son petit trou à caca : il est très sombre, tout fermé et surtout
il est taché par des traces de caca ! Je perds pas une seconde et
plonge mon visage entre ses 2 fesses. Aussitôt j'ai l'impression
de revenir 2 ans en arrière lorsque j'étais avec Tarra. Pourtant
cette fille a pas de poils, mais l'odeur est aussi forte et le
goût aussi enivrant ! Maintenant je suis sûre : cette fille est
un cadeau du Père Noël ! Ma récompense pour avoir été gentille
pendant 2 ans. Je me retire et contemple ce petit trou tout
mouillé mais tout propre maintenant : je me rend compte qu'avec
mes mains j'ai mis de la boue sur ses fesses, pas beaucoup mais
elle va vite comprendre que je l'ai touchée... J'ai pas envie
qu'elle sache que j'suis une petite cochonne, pas tout de suite
en tout cas, alors je barbouille la totalité de son dos avec la
boue attachée à mon corps, elle croira qu'elle est tombée dans la
cour. Et puis au pire je peux me faire passer pour une muette,
comme ça elle me posera pas de questions ! J'ai perdu l'habitude
de parler de toute façon; grogner, couiner, gémir, ça je sais
faire, mais ça fais depuis longtemps que j'ai pas dit de mots
humains. Le fermier il dit que les truies ça parle pas le langage
des humains, et il a raison, je préfère parler comme une petite
cochonne de toute façon... J'arrive presque à me faire comprendre
de mon amoureux maintenant, d'ailleurs il faudrait que j'lui dise
que je reviendrai bientôt dans l'enclos quand il se réveillera,
sinon il va s'inquiéter; d'un autre coté ça me rappellera le
temps où moi aussi j'étais prisonnière et que je pouvais le voir
que quand Aline et Tarra dormaient...
Quoiqu'il en soit il faut que je dorme maintenant, peut-être que
le fermier ferra des trucs avec moi, des trucs difficiles pour
faire peur aux deux autres filles. Je pose un dernier baiser sur
la petite rondelle de ma nouvelle amie et part me mettre dans un
coin pour dormir, la paille est plus dérangeante vu que j'ai
étalé ma boue sur le dos de l'autre fille, mais c'est pas grave :
encore une fois je suis la petite fille prisonnière, mais bientôt
je redeviendrai Ariane la cochonne. La grosse truie dégoûtante...