Titre : Ariane - Chapitre 2
Auteur : Arthur
Email : Zeike_52[_at_]hotmail.fr
Personnages : 2 adolescentes, 1 petite fille
La plus jeune fille a 8 ans
Oral
Masturbation
Lesbianisme
Urine
Scatophilie
Non-consensuel

Texte envoyé le 31/12/2012
Texte publié le 31/12/2012

Creative Commons 2012 - Arthur. Certains droits réservés.

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Histoire envoyée à notre site des 'Histoires Taboues'.
/~Histoires_Fr/

Ariane

par Arthur

Chapitre 2

J'ouvre les yeux. J'ai de la boue sur tout mon corps et une
douleur dans ma tête... Je tente de me lever... Une fois debout
les évènements de la veille me reviennent à l'esprit... ainsi que
le danger que je cours en me mettant debout !
En plongeant h tivement au sol j'éclabousse mes deux amis, encore
endormies, avec de la boue. Elles commencent à s'agiter et
reprennent leurs esprits pendant que j'observe les alentours : le
soleil vient seulement de se lever et laisse le parc dans une
fine obscurité. Pas de signe des gardes; ni de Lucy...
- Bon on se dépêche les filles, nous dit Aline en se levant. Le
jardinier n'est pas encore passé j'imagine, ça nous laisse tout
de même peu de temps pour quitter le parc.
- Pourquoi ils sont pas partis à notre recherche ? je demande.
- À mon avis ils ont dû penser qu'on était passées par devant, vu
qu'ils ne nous ont pas vue avec Lucy.
Nous sommes toutes touchées par la disparition de Lucy, mais nous
devons prendre la route... J'enlève rapidement la plus grande
partie de la boue qui me recouvre, il m'en reste tout de même un
peu dans les cheveux et dans ma culotte; c'est pas trop grave,
j'ai l'habitude d'être sale et le frottement de la boue entre mes
jambes me fait d'étranges sensations dans mon bas-ventre... mais
je ne me vois pas demander à Aline pourquoi ! Je garde ça pour
moi... Tarra est plus minutieuse que moi et je crois qu'elle
aurait passé la journée à se décrotter si on l'avait pas forcée à
se dépêcher... On arrive très rapidement au trou de la grille, il
est caché par des feuilles et assez petit. Tarra passe la
première, moi je suis assez petite pour passer avec Aline.
...
Et ça y est ! Enfin je suis libre ! Ce sentiment que je n'ai pas
connue depuis 4 ans imprègne de nouveau mon corps tout à coup. Je
revois les immenses usines qui étaient près de ma maison, je
ressens les frites que maman me préparait, je réentends les
dessins animés que j'écoutais allongée sur le canapé.
- Ariane...Ariane !
- Hein quoi ! ?
J'ai l'impression d'avoir rêver...mais ce rêve n'en serra bientôt
plus un...
- On a pas le temps de rêvasser, nous dit Aline. Il faut
rejoindre la forêt au plus vite.
Elle a raison, derrière le parc, une grande plaine s'étend de
tous les côtés. Seule la forêt à l'horizon nous empêcherait
d'être vues depuis le parc, je doute que le maitre aille nous
cherche jusque dans la forêt.
- On va pas marcher jusqu'à là-bas, s'écrit Tarra horrifiée.
- On a pas le choix, murmure Aline en commençant la marche.
Tarra pousse un long soupire; je sens que ce voyage serra
éprouvant pour certaines...
...
...
Cette première journée en tant que fugitive s'est relativement
bien passée, en tout cas les hommes du maitre ne nous ont pas
retrouvées.
La m tiné a été assez éprouvante, on a dû marcher assez
rapidement, et ça plaisait pas à Tarra. À midi nous étions dans
la forêt. On a mangé dans une petite clairière, le sac d'Aline me
paraissait lourds, et en regardant dedans j'ai eu l'impression
qu'elle avait volé la moitié du garde-manger ! On a de quoi
survivre pour 2 semaines au moins ! On a mangé un sandwich
jambon-saucisson-cornichon-mayonnaise chacune (deux pour Tarra).
L'après-midi nous avons ralenti l'allure -on allait quand même
trop vite pour certaines... Moi ça ne m'a pas dérangé : le
frottement entre mes jambes quand je marchais était une
expérience très agréable !
Et maintenant on rassemble quelques feuilles pour avoir un
semblant de lit pour la nuit, le soleil n'est pas encore couché
mais Aline a voulu qu'on récupère de notre journée; cette
décision ne déplaisait à personne.
- On est vraiment obligées de dormir ici ? je demande en retirant
des branches qui traînent vers mon lit de feuille.
- Bah... je peux aller faire un tour pour voir si je trouve
mieux... propose Aline. En attendant restez là, et mangez quelque
chose.
Pas besoin de nous le répéter 2 fois, avant qu'elle disparaisse
derrière les arbres nous avons déjà ouvert deux paquets de chips
et nous nous attelons à les vider.
Nous n'échangeons pas un mot pendant le repas, le bruit des chips
qui craquent est la seule ambiance sonore. C'est finalement Tarra
qui commence le dialogue.
- Tu crois qu'on va devoir survivre longtemps comme ça ? Elle me
demande la bouche pleine de chips dont la moitié partent
s'écraser sur le sol.
- Si tu manges comme ça à chaque repas on survivra pas longtemps,
je lui réponds d'un ton neutre.
Elle ne dit rien et reprend une grande poignée de chips.
Je n'ai jamais été méchante avec Tarra jusqu'à ce jour, j'imagine
que c'est à cause de la longue marche qui m'a fatiguée. Et puis
c'est surtout de sa faute, à se plaindre tout le temps ! Au moins
une fois dans sa vie elle pourrait prendre sur elle et bouger son
gros c... nan. C'est la jalousie qui me fait parler !... Je me
souviens qu'Aline m'a dit un jour que si Tarra est comme ça c'est
à cause du maitre. C'est vrai qu'au chateau elle était bien plus
chouchoutée que nous : elle avait le droit d'aller dans le
jacuzzi, de manger quand elle voulait en dehors des repas, on ne
la forçait pas à se lever tôt le matin et on ne la forçait pas à
sortir de temps en temps. En fait, elle souffrait rarement en
dehors des fêtes qu'organisait le maitre. Je ne pouvais pas lui
en vouloir...
- Qu'est-ce qui t'arrives ? Je lui demande en la voyant se
tortiller un peu.
- Envie d'aller aux toilettes, elle répond d'une voix presque
inaudible.
- Bah va derrière un arbre.
- T'es folle, elle me dit comme si je venais de débiter une 
nerie. Je m'essuierais avec quoi ?
- Ecoute, je commence en choisissant bien mes mots, je sais que
t'a pas l'habitude d'être brusquée comme ça... mais on est en
fuite, la vie de chateau c'est finie et il faut mettre de côté
les normes hygiéniques pour le moment, tu comprends ?
Elle ne me répond pas, réfléchie un moment sans me regarder, se
lève et part derrière les buissons, elle a compris.
- Je pars faire un tour, je lui dit. Tu préviendras Aline si elle
revient avant moi.
Pour toute réponse j'ai des sons que je ne cherche pas à
identifier, elle a compris.
Enfin seule ! Mon premier réflexe et de frotter ma main contre ma
culotte terreuse. La sensation, bien qu'assez faible, est
agréable. Tellement agréable... 5 minutes plus tard c'est une
surprise encore plus agréable qui m'attend. Aline ! En fait
c''est pas vraiment Aline qui me rend heureuse mais surtout le
fait qu'elle soit allongée sur un rocher, avec les cheveux
mouillés ! Je cours vers elle et vois... une source ! Entouré de
rocher, le petit creux forme une marre d'eau claire. Sans
réfléchir je plonge, éclaboussant Aline au passage. Le niveau
d'eau n'est pas très élevé, donc je dois me baisser pour immerger
mes fesses. Je frissonne au contact froid sur ma culotte; je suis
pas habituée à avoir ma culotte mouillée (sauf après avoir fait
pipi) et j'ai un peu de regret quand je vois la boue disparaître
dans l'eau. Que pouvais-je faire d'autre ? Aline me regarde,
comment expliquer que je préfère avoir une culotte sale parce que
ça me fait du bien entre mes jambes ?
- Je vais chercher Tarra, elle me dit en se relevant, on revient
d'ici 10 minutes, fait pas de bêtises.
À peine a-t-elle disparu derrière les feuilles que je sors de
l'eau. Le contact du liquide m'est désagréable. C'est sale de
dire ça mais je m'en fous ! Je suis énervée, j'ai beau frotter ma
chatte (merci Aline, ce mot m'est utile) du plus fort que je peux
rien n'y fait : il n'y a plus de plaisir, il n'y a plus de boue.
Je sens mon bas-ventre gargouiller, il y a du mouvement à
l'intérieur; normal, ça fait 2 jours que je suis pas allée aux
toilettes... Et si... Après tout, le caca c'est comme la boue,
personne me verra, je plonge dans l'eau après et ni vu ni
connue... Je m'accroupie sur le sol... j'écarte mes cuisses et
j'essors un peu ma culotte trempée. Je pousse un peu et beaucoup
d'air s'échappe subitement de mon anus; surprise, je me
contracte... La chaleur caresse mes fesses et l'odeur me monte
aux narines. Pourtant cette odeur m'est étrangère, comme si je
redécouvrais les arômes de mon corps. Qu'est-ce que je raconte ?
! Je deviens folle, c'est dégueu ! Pourtant...je me sens si
remplie tout à coup... je pousse encore; cette fois la matière
est juste derrière mon sphincter, je la sens... et ça bloque. Je
suis rouge, autant de l'effort que je fais pour me contracter que
par celui que je fais pour contrôler mes pensées. Je repense à
l'agréable sensation dans ma culotte lorsqu'elle était boueuse...
Aaaah... je la sens qui revient, ces guillis qui auparavant
étaient dans ma culotte sont maintenant dans ma poitrine ! Je
m'agite un peu pour les faire descendre, mes petits tétons sont
tout durs d'un coup, des frissons parcourent mon corps, c'est
agréable... Nan ! Je dois pas faire ça, c'est... c'est cochon,
qu'est-ce que penseront Aline et Tarra ?... d'un autre coté il
suffit de plonger dans l'eau après... Nan je deviens folle ! Il
faut que j'arrête ! ... Mais cette chaleur... je la sens
descendre lentement; d'une main je glisse dans ma culotte et
frotte timidement ma vulve, entre mes petites lèvres, de l'autre
je caresse mon ventre en suivant la progression de la petite
boule de chaleur qui descend... À l'instant où elle atteint mon
nombril j'ai l'impression de perde le contrôle de mon corps; sans
pouvoir m'arrêter je sens que je me fais pipi dessus. Une seule
larme de honte coule sur mes joues mais à l'intérieur c'est un
véritable chagrin, une humiliation. Je dois m'arrêter là, pendant
qu'il en est encore temps ! Je ferais croire à Aline et Tarra que
la flaque d'urine qui s'étend sur le sol terreux est d'un animal
quelconque, ni vu... Ah ! La chaleur a atteint mon entrejambe ça
y est ! Je ne contrôle plus rien, cette sensation de bien être
qui irradie mon sexe... Sans vraiment le vouloir, je pousse, je
pousse fort car le simple fait de pousser me donne du plaisir,
mes pets font parvenir à mon nez une odeur enivrante, il m'en
faut plus !... Enfin c'est l'explosion : mon anus s'ouvre et
laisse s'échapper une diarrhée lourde et odorante; au même moment
où la masse chaude et poisseuse vient caresser mes fesses, la
sensation de chaleur remonte, mais cette fois-ci elle va dans ma
poitrine et explose pour se propager dans tout mon corps comme un
feu d'artifice ! Je ne veux plus m'arrêter ! Je pousse du plus
fort que je peux pour me remplir de ce plaisir. La masse p teuse
de ma merde a maintenant submergée ma culotte, elle déborde de
l'élastique pour s'écraser par terre ou rentre dans ma petite
fente ! À force de pousser je m'essouffle et je transpire,
l'odeur de ma sueur vient se joindre à celle de mes autres
productions corporelles, elle envahit mes narines et ça ne me
fait qu'apprécier encore plus l'instant présent !
Mais petit à petit, je le sens maintenant, la sensation se
dissipe; je suis tremblante, en sueur, les larmes aux yeux, et
mon plaisir s'enfuit... Je ne veux pas non ! Il faut que ça
continue ! Je sors de ma transe et fourre mes mains dans ma
culotte. Elles arrivent directement en contact avec mon caca et
la sensation est loin d'être désagréable... mon index va
inspecter ma fente pendant que ma main gauche part explorer mon
petit derrière. Je pousse timidement mon doigt dans le petit trou
de mon vagin, mon caca ne s'est pas trop enfoncé ici, ça me
rassure, puis il remonte sur mon petit bouton et je sens la
chaleur revenir dans mon intérieur... De l'autre coté mes doigts
ont trouvé le petit trou de mes fesses. Ça m'a fait tellement du
bien de pousser parce que ma pastille est encore sensible, et
puis le contact de ses petits plis qui contrastent avec ma peau
si douce !... Je ne peux pas m'empêcher de resserer mes fesses
dès que mon doigt appuie trop sur mon petit trou. J'aimerais
qu'il puisse entrer mais j'ai peur d'avoir mal si je n'arrive pas
à me relaxer, alors je ne fais que caresser ce petit trou tout
contracté de plaisir. Que je me sens bien ! Je trempe dans la
pisse et la merde mais je me sens bien !
...
- C'est encore loin ? !
- Nan, juste derrière ces buissons, tu va enfin pouvoir te laver
!... Tiens, Ariane t'es encore dans l'eau, t'as l'air
essoufflée...
- Je... j'ai beaucoup bougé.
J'ai tout juste eu le temps de sauter dans l'eau lorsque je les
ai entendues arriver... Qu'est-ce que je viens de faire ? !
- Faites attention il y a un animal qui a fait ses besoins par
là, beurk !
- Alors on va poser nos affaires de l'autre coté.
Qu'est-ce que je viens de faire ? Je me retourne pour que les
autres ne voient pas mes larmes. Même après que les traces dans
ma culotte aient disparu dans l'eau, je me sens encore sale. Je
me sens comme lorsque j'étais petite et que je faisait caca dans
ma culotte, je me sens sale, j'ai fais la cochonne. J'suis qu'une
grosse truie dégoûtante ! Je fais de mon mieux pour étouffer mes
sanglots, mais c'est dur ! Je me dit que c'est terminé, que j'ai
eu un accident et que ça se reproduira plus; mais ce qui
m'horrifie le plus c'est que j'ai aimé ça, sentir mon caca, jouer
avec, j'ai adoré ! Je me sens nauséeuse, mais je refuse de vomir;
pour ne pas avoir à être confrontée aux odeurs de mon corps une
fois de plus, parce que j'ai peur d'aimer. Je suis toute rouge,
j'ai honte de moi et de mon corps, honte de ce que j'ai fait...
et honte d'avoir aimé ça !
...
- Allez les filles, il va falloir se coucher, commande Aline. Le
soleil est presque couché et passer la soirée dans le noir n'a
rien de rassurant pour les petites filles que nous sommes. Nous
nous allongeons sur un coin d'herbe humide et fermons les yeux...
...
C'est moi dans la cour ? Oui c'est moi, quand j'avais 4 ans,
quand j'étais encore chez ma maman. Toute la classe est autour de
moi, ils rigolent...pourquoi ? ! Je me regarde de plus près, j'ai
ma jupe baissée jusqu'aux genoux, et ma culotte est toute
mouillée. Je me suis fait pipi dessus ! Tout le monde se moque,
mes camarades de classe, mais aussi ma maman et Solène et James
et Tarra et Aline ! Qu'est-ce qui se passe ? ! Tout est flou, les
visages s'effacent, ils ne restent plus que moi et les rires, une
bosse brune apparaît à l'arrière de ma culotte en coton et les
rires redoublent d'intensité. J'essaie de me boucher les oreilles
mais ça n'a aucun effet, toujours ces mêmes moqueries... !
Je me réveille en sursaut !... Ça n'était qu'un cauchemar,
pourtant ce sentiment de honte est toujours là... et j'ai un
petit peu fait pipi dans ma culotte, quelques goutes seulement.
Je me suis réveillée à temps pour me retenir.
Il fait encore un peu nuit, mais le soleil se lève presque. Tarra
ronfle bruyamment, collée à moi, mais je ne vois pas Aline; elle
a dû partir faire un tour... Il faut que j'me lève sinon j'vais
encore me faire pipi dessus. Rien que d'y penser les souvenirs
d'hier me reviennent à l'esprit... et les larmes me remontent aux
yeux. J'ai été dégoûtante !... Mais il faut que j'arrête de me
lamenter, j'ai fait une bêtise et je recommencerais plus.
Je m'éloigne un peu pour faire mes besoins, je vais derrière des
buissons... mais apparemment la place est déjà prise ! Aline est
assise, accroupie sur le sol terreux avec sa chemise et sa jupe
en boule à coté d'elle. Je comprend rapidement ce qu'elle fait en
voyant ses doigts caresser son sexe épilé. Je me suis toujours
demandée pourquoi le maitre voulait qu'elle s'épile; s'il a
besoin d'une fille sans poils j'étais là, et il pouvait
facilement se procurer une autre fillette sans poil je pense...
Etrangement seule Tarra n'avait pas le droit de s'épiler, l'une
des seules choses qu'elle n'avait pas le droit de faire, c'est
pour ça qu'elle transpire beaucoup, elle a beaucoup de poils sous
les bras et entre ses jambes...
- Pas la peine de te cacher je t'ai vue.
Merde ! Aline s'est retournée sans que je m'en rende compte. Je
ne peux que quitter les buissons qui me dissimule.
- Tu sais ce que j'fais ? elle me demande. On en a déjà parlé.
- Ah oui, euuuuh, la mazturbation c'est ça, je dit en faisant
mine de chercher.
- Voilà c'est ça.
- Et tu fais comment exactement ?
Elle sourit et se tourne dans mon sens pour m'exposer son sexe
dans sa totalité. Elle me montre son petit bouton qui a l'air
tout dur, je savais pas que c'était si gros à 14 ans, ça m'fait
penser à un zizi en érection...
- Tu vois, ça c'est le clitoris, m'explique-t-elle en continuant
de se caresser. Si une fille se le tripote avec insistance, elle
a un orgasme; mais ça on en a déjà parlé.
- Et... il y a un autre moyen d'avoir des orgamses ? je demande
"naïvement".
Elle me répond en rigolant presque : "Ça tu le sais déjà."
- Hein...
Elle prend son temps pour me répondre, et je crains le pire, déjà
ma sueur coule dans mon dos :
- Je t'ai vue hier, elle m'avoue enfin. T'as dû prendre ton pied
parce que tu couinais comme un petit cochon.
Noooooon ! Mes joues s'embrasent et mes yeux s'humidifient, elle
m'a vue ! ! ! La scène me revient à l'esprit : moi en train de me
tripoter le sexe avec ma culotte remplies de merde et de pipi !
Le sentiment bien trop connue de la honte revient, qu'est-ce
qu'elle pense de moi maintenant ? Elle doit me prendre pour une
fille répugnante qui vaut pas mieux que Solène ! ! !
- Calme-toi ma puce, elle me dit en essuyant mes larmes.
Sans que je m'en rendes compte elle s'est levée et me sert dans
ses bras, comme pour me consoler.
- Mais j'ai fait...
- Il faut pas avoir honte, elle me rassure, on a tous des
fantasmes, l'important c'est que tu y aies pris du plaisir.
- Tu crois, je dis en reniflant, un peu calmée.
Elle descendit ses mains sur mes hanches et posa ses lèvre sur
mon oreille droite.
- Bien sur, moi aussi j'en ai, des fantasmes.
- C'est vrai ?
- Oh que oui, chuchote-t-elle en rigolant doucement. Dis-moi,
c'est quoi qui t'as le plus excité dans ce que tu as fait hier ?
La question m'a l'air indiscrète et je reste silencieuse un
moment... pourtant au fond de moi j'ai envie de me confier :
- Quand mon caca est allé dans la raie de mes fesses et dans ma
chatte.
Ce sont les mots qui sont sortis de ma bouche mais j'ai
l'impression de ne pas avoir contrôler ma parole, je les regrette
immédiatement.
- Et tu as aimé hier quand la boue était dans ta culotte ?
Elle veut en savoir le plus possible, c'est presque dérangeant;
pourtant ma bouche répond :
- Oui j'ai adoré.
- À mon avis, ce que t'aimes c'est de te salir, elle me répond
après un moment de réflexion. Te salir et être sale
globalement...
Qu'est-ce que je dois répondre à ça ? C'était un reproche ? Une
accusation ? Un compliment ?
- Tu sais, elle me chuchote, j'ai réfléchi et je pense que j'peux
te montrer mon petit secret. Pour te prouver que t'es pas toute
seule à faire des choses sales...
- Toi aussi tu joues avec ton caca ? ! je demande étonnée.
- Non, elle ricane, mais suis moi je vais te montrer.
J'obéis et nous retournons sur nos pas, au ruisseau. Qu'est-ce
que c'est son fantasme ? C'est la question qui tourne dans ma
tête, parce que je suis curieuse et que ça détourne ma pensée de
ma propre saleté.
Aline s'allonge à coté de Tarra qui ronfle encore.
- Surtout ça reste entre nous, me dit-elle.
Avant que j'ai le temps de dire quoi que ce soit, elle tire
doucement la ficelle noir du string de Tarra et caresse ses
fesses de sa main libre !
- Elle se réveille jamais avant que j'ai finie, commente-t-elle
doucement.
- T'es une lesbienne ! je fais, surprise.
- T'es pas la mieux placée pour me faire des remarques.
Maintenant chut, tu va la réveiller.
Aucun risque là-dessus, Tarra dort comme un bébé, ses ronflements
le confirment. Mais comment Aline peut faire ça ? ! Je n'ai pas
de préjugés sur les homosexuels, c'est la sexualité entière qui
me dégoûte, qui me dégoûtait... Après tout, j'ai fait des choses
plus dégoûtantes que Solène, peut-être même plus dégoûtantes
qu'Aline alors qu'elle a vécue des tas de choses horribles. Non !
Aline a été forcée à faire ses choses, et Solène s'amuse à
humilier les autres. Moi je l'ai pas fait exprès, et puis j'ai
fait de mal à personne...
- On va pouvoir passer à la vitesse supérieur, ricane Aline.
Elle écarte les 2 fesses de Tarra et plonge son visage à
l'intérieur ! Ouah ! Je comprends pourquoi elle veut pas que j'le
dise à Tarra : elle est très pudique et elle aurait jamais
accepté que l'une de nous lui touche les fesses, et encore moi
ses petits trous. Aline a l'air d'aimer ça : d'une main elle se
tripote son clitoris, et de l'autre elle écarte les deux fesses
potelées de Tarra pour lui lécher son trou du cul; elle fait ça
très doucement, ça doit être pour ça que Tarra se réveille pas...
Je sens ma petite culotte s'humidifier... je suis excitée ? Il
faut croire; je tire sur l'avant de ma culotte pour jeter un oeil
à mon sexe : il y a de la cyprine. Ça se voit même dans ma
culotte mouillée par l'eau. D'ailleurs, c'est la première fois
que ma culotte a un fond "propre", d'habitude il y a fond
jaune/marron foncé et l'odeur qui s'y accompagne et là les traces
sont moins visibles, ça fait bizarre, j'ai l'impression qu'elle
ne m'appartient plus... Je crois qu'Aline a raison, j'aimais bien
quand ma culotte était sale, c'était comme un doudou, on était
toutes les 2 unies dans notre saleté. Je ne le supporte pas, il
faut que je la retire !
- Qu'est-ce que tu fais ? me demande Aline qui avait sortie sa
langue des fesses d'Aline.
- Il faut que je sèche ma culotte, je lui réponds en accrochant
ma culotte à une branche. J'aime pas quand elle est mouillée.
- Vu que t'es toute nue, je crois que j'ai trouvé quelque chose
qui va te plaire.
- Quoi ?
- Marche pendant à peu près 100 mètres par là-bas, elle me dit en
pointant un petit sentier entre les buissons. Quand tu auras
finis tu pourras revenir, je partirais me balader avec Tarra
comme ça tu pourras te laver.
...Je ne cherche pas à comprendre et je suis la direction qu'elle
m'a indiquée, apparemment c'est salissant et ça suffit à attiser
ma curiosité. Je jette un dernier regard à Aline : elle est
rapide : elle a abandonnée la langue et maintenant elle appuie
son index sur la petite pastille brune de Tarra. C'est
incroyable, celle-ci dort encore ! Elle ne fait qu'un grognement
incompréhensible lorsque le doigt pénètre dans son gros cul.
Aline tremble beaucoup, sa main s'agite frénétiquement entre ses
jambes et je sens qu'elle est proche de l'orgamse.
Moi j'ai autre chose à faire, je ne m'attarde pas plus sur le
scène...
Me voilà en train de marcher entre les arbres totalement nue. Je
me demande ce qui se passerait si quelqu'un me voyait,
apparemment la forêt n'est pas très fréquentée mais... Qu'est-ce
que les gens feraient en voyant une petite fille toute nue dans
la forêt ? Mieux vaut pas y penser; j'aperçois ce qui semble être
une petite marre; pourquoi Aline m'a envoyée ici, mon sexe me
gratte et j'ai envie d'avoir encore un orgamse !
Je me rapproche un peu plus et comprend enfin : ce que j'avais
pris pour une marre d'eau était en faits de la boue ! Et pas une
petite flaque, une grosse dont la taille me fait penser au
jacuzzi du chateau. Mais pourquoi Aline a voulue que je... ? Non
! Elle pense quand même pas que j'vais faire ça ? !... Quoique,
le caca salit plus que la boue, et la boue sent moins mauvais...
J'enfonce un b ton pour tester la profondeur : ça fait un peu
plus d'un mètre, j'aurai pied.
Je prends une grande inspiration, pour me donner du courage, je
sais que je peux le faire. Je pose un pied à la surface de la
matière qui semble pas très solide, comme mon caca hier. Je
m'agenouille sur le bord, pose mes deux pieds dans la marre et me
cramponne au bord avec mes mains. Mes jambes s'enfonce lentement
dans la fange, je frissonne un peu au premier contact, la boue
est chaude, et elle m'appuie dessus comme pour me caresser. C'est
très bizarre, c'est une chaleur réconfortante. Aaaah ! La boue a
atteint la moitié de mes cuisses ! Je rel che petit à petit
l'appui sur mes mains et m'enfonce encore plus. Ouh, ça y est !
La boue touche mes petites lèvres ! Je tiens plus rien. Elle
s'incruste en moi, par ma petite fente. Elle me pénètre et ça
m'fait du bien. Je continue ma descente dans la tourbe jusqu'au
dessus de mon nombril. Je sens une surface dure sous mes pieds et
je sais que je pourrai pas descendre plus bas. Je voulais que la
boue recouvre ma petite poitrine... Pas grave, je rapproche la
boue autour de moi avec mes bras pour l'étaler sur mes deux
tétons. Oh que c'est bon ! Le contact a envoyé des petites
décharges dans mon bas-ventre. Ça fait du bien et ça me rappelle
que je dois faire pipi ! Je réfléchis pas plus de 5 secondes
avant de me soulager ici. Ouaaaah... La sensation est diviiiiine
! Je sens l'urine caresser mon entrejambe, s'étaler sous mes
fesses, mouiller mon anus... Ça me rappelle quand j'étais petite,
quand je faisais pipi dans ma couche et que ça ne s'en allait pas
de mon entre-jambe, que ça restait avec l'odeur... Il faut que
j'me touche, maintenant ! J'enfonce mes deux mains dans la fange,
c'est visqueux, c'est sale, et j'adore ça !
Comme la dernière fois, une de mes mains va tripoter mon petit
clitoris pendant que l'autre caresse mon petit trou. La boue
entre mes jambes est bien plus liquide, ça fait moins mal quand
je frotte mon anus... cette fois je veux que mon doigt entre ! Je
pousse mon index contre mon petit trou tout chaud, par réflexe
mon sphincter se serre. Je sais qu'il faut que j'me détende pour
faire entrer mon doigt, de l'autre coté de mon bassin je sens que
j'vais bientôt orgamser. Il faut que je fasse entrer ce doigt !
Dans un même effort j'accélère mes frottements sur mon petit
bouton et je pousse pour faire entrer mon index. Et ça y est !
Les étoiles reviennent danser autour de moi en même temps que mon
doigt pénètre mon trou du cul jusqu'à la deuxième phalange. Je
m'sens chaude à l'intérieur, ça fait un bien fou ! Je suis là
dans la boue, comme une truie, et j'adore ça. J'aimerais rester
là toute ma vie...
...
Ça a été difficile mais j'ai réussi à sortir de la tourbe, je me
sens lourde maintenant, j'ai de la boue partout, il suffit juste
que j'appuie un peu sur le haut de ma vulve pour qu'une giclée de
saleté sorte de mon petit vagin, ça fait bizarre... Heureusement
personne n'est là lorsque j'arrive au ruisseau. Je peux plonger
et me retirer toute cette saleté. Je m'sens encore déçue lorsque
je me lave. Au chateau j'avais pas le droit de me laver, je
trouvais ça dommage, alors que maintenant j'ai le droit mais
j'aime pas ça. Là si je le fais pas les filles vont dire que je
suis sale. J'ai pas le choix.
- Ah t'es là ! lance Aline qui émerge des buissons accompagnée de
Tarra.
- Alors, on s'en va ? demande Tarra.
- Depuis quand t'es pressée de marcher ? Je demande en riant.
- Déjà on mange quelque chose, dit Aline en ouvrant le sac de
provision. Aujourd'hui il faut absolument qu'on trouve de l'aide.
De l'aide... Je ne suis pas pressée. Une famille qui te force à
te laver tout les jours, faire tes devoirs, ranger ta chambre...
Mais je n'ai pas le choix, je peux juste espérer qu'on mettra du
temps avant de trouver quelqu'un. Et puis qui sait ce qui peut
arriver...