Titre : Ariane - Chapitre 1
Auteur : Arthur
Personnages : 2 hommes, 3 adolescentes, 3 petites filles
La plus jeune fille a 3 ans
Première fois
Masturbation
Pénétration vaginale
Pénétration anale
Lesbianisme
Scatophilie
Non-consensuel
Viol

Texte envoyé le 31/12/2012
Texte publié le 31/12/2012

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Ariane

par Arthur

Chapitre 1

- Réveillez-vous les filles.
James sait toujours comment nous réveiller en douceur : des fois
il nous secoue un peu l'épaule et attend d'être sûr qu'on soit
réveillées pour nous demander de nous lever; ou des fois, comme
aujourd'hui, il nous chuchote à l'oreille d'une voix douce.
- Aline qu'est-ce que tu as fais de ta culotte ? il demande à
l'adolescente qui venait de quitter les draps totalement nue.
Je fais un sourire complice à Tarra qui est encore vautrée dans
les draps, elle n'a pas envie de se lever. Personne n'a envie de
se lever, surtout les jours où le maitre fait ses soirées.
Tout d'abords parce qu'il nous est interdit d'aller aux toilettes
pendant la journée, c'est parce que certains invités aiment qu'on
fasse pipi devant eux...ou même sur eux ! Aline nous as raconté
qu'un jour, on lui a fait un lavement; du peu que j'ai compris
c'est un tube qu'on lui a enfoncé dans les fesses pour les
remplir d'eau et après elles a dû faire caca devant tout le
monde. Elle m'a expliquée que certaines personnes aiment humilier
les petites filles, que ça les excitent. Moi je trouve ça
dégoûtant, comme tout le reste !
Le deuxième inconvénient c'est qu'on doit passer la journée à
tout préparer : nettoyer la grande salle à manger, y placer les
tables, les couverts et aider les cuisiniers qui sont souvent de
mauvaise humeur. En fin d'après-midi nous sommes fatiguées et
avons mal au bas-ventre à cause de notre envie de faire pipi. Et
pourtant la soirée ne fait que commencer ! James nous habille
séparément, sous les ordres du maitre, puis nous nous occupons de
plaire aux invités...
...
Ce début de soirée, je suis dans la cour devant l'entrée, j'ai un
plateau de biscuits dans la main et j'accueille les invités.
Aujourd'hui il y a un peu plus de gens que d'habitude : environ
une bonne trentaine, une majorité d'homme, quelques femmes et 5
ou 6 enfants. Pour la plupart ils prennent un biscuit, font
glisser leur main sur mes fesses et disparaissent à l'intérieur.
Je ne l'ai pas dit, mais nos tenues sont très légères en général.
Moi, je porte seulement ma culotte. Et je dis bien MA culotte,
comme je l'avais dit avant je n'ai pas le droit de prendre de
douches, et on m'a également interdit de m'essuyer après être
allée aux toilettes, et comme si ça ne suffisait pas, je porte la
même culotte depuis une dizaine de jour, parce que le maitre ne
veut pas que je change d'habits. Ce vêtement me met dans un état
de honte permanent : des fois je peux sentir l'odeur s'échapper
de mon entrejambe jamais lavée. Et les invités peuvent facilement
voir les traînées marrons qui salissent le tissue blanc à
l'arrière. C'est de loin la plus grande humiliation que je subis
pendant les soirées.
Il commence à pleuvoir et les invités se décident à rentrer.
James apparaît à l'entrée et demande à tout le monde de venir
dans la salle à manger; il ferme la porte derrière nous et me
demande d'aller servir les verres. Aussitôt, je file dans la
cuisine en passant par la salle à manger. La salle à manger est
un peu comme la grande salle de Poudlard, dans Harry Potter
-c'est l'un des seuls films que j'ai vu. Les tables sont
disposées sur le coté pour les invités et au fond il y a celle du
maitre; il y a un grand espace vide au centre où les invités sont
en train de discuter. Je passe par le coté droit pour rejoindre
la cuisine, je croise Tarra avec un plateau de toasts. Niveau
habillage elle n'a pas été épargnée non plus : elle ne porte
qu'un string noir qui cache à peine les lèvres son sexe; elle est
presque aussi humiliée que moi : elle ne supporte pas qu'on la
voit nue en public, et en plus elle a horreur qu'on se moque
d'elle à cause de son poids. Evidemment avec juste un string ses
kilos en trop sont biens visibles et les invités ne se privent
pas de lui faire des remarques humiliantes. Je me doute que même
si la soirée ne fait que commencer ils se sont déjà fait plaisir
: elle est toute tremblante et retient ses sanglots.
- Tu t'en sors, je lui demande.
- J'en peux plus, elle me répond d'une voix faible. J'ai
l'impression qu'ils me regardent tous avec du dégoût.
- T'en fais pas, dans quelques heures tout sera fini, je lui dit
en la serrant dans mes bras.
J'aperçois un cuisinier qui me fait un signe pour me rappeler
pourquoi je suis là. Je prends le plateau rempli de verres en
faisant attention de ne rien faire tomber -ce genre de faute est
lourdement sanctionnée. Heureusement j'ai l'habitude et je ne
fais aucun faux pas.
Ce début de soirée ne se déroule pas si mal hormis quelques mains
baladeuses qui s'attardent un peu trop longtemps dans ma culotte;
mais les invités doivent se soumettre à la règle : aucune
pénétration sans l'accord du maitre. Cette interdiction les
aigrissaient et ils n'hésitaient pas à nous humilier verbalement
pour se venger. Moi je fais de mon mieux pour les ignorer mais je
sais que Tarra est terriblement blessée à chaque insulte, surtout
celles sur son poids.
J'aperçois Aline qui me fait signe que le repas va commencer.
Aline, c'est la seule qui a droit à de vrais habits : une jupe
qui lui arrive au bas des fesses et une chemise d'écolière, par
contre elle a pas de sous vêtements. C'est quand même la plus
belle et en plus James lui a mis du parfum; ça m'rend un peu
jalouse quand même : elle est super belle et bien habillée alors
que moi j'ai qu'une culotte sale et je sens mauvais...
Le repas est le pire moment pour nous, le maitre nous interdit de
manger le midi afin qu'on soit obligées de se nourrir le soir. Et
le soir, ce sont les invités qui nous font manger, ils ont
toujours des idées écoeurantes et humiliantes; mais on a pas le
choix.
Trouver quelqu'un pour se nourrir est tout une technique : mon
choix s'arrête sur un homme plutôt charmant, un air de gentleman
du siècle dernier, discret...et avec une assiette de purée bien
remplie. Vu sa taille c'est évident qu'il a pas prévu de manger
ça tout seul. Je vais à coté de lui et le regarde d'un air
suppliant (ils adorent ça).
- C'est ça que tu veux ? il me demande en prenant son assiette.
Montre moi comment les petits chiennes dans ton genre demande
leur nourriture.
Obéissante, je me mets à 4 pattes, la langue pendante et un
regard d'animal affamé. C'est dans ces moments là que je m'sens
la plus honteuse, je fais de mon mieux pour ne pas le montrer et
avoir l'air d'un animal bien élevé. Une fois qu'il en a assez de
cette humiliation il pose son assiette de purée sur le plancher
froid et je n'ai plus qu'à manger, toujours à la manière d'un
animal et toujours aussi humiliée... Je me force à penser à la
nourriture -qui d'ailleurs est délicieuse- plutôt qu'à ma
position. L'homme qui visiblement n'est pas encore satisfait,
passe sa main dans mes cheveux et me caresse comme il caresserait
son chien. Je frissonne lorsque ses doigts descendent sur mon dos
et se glissent sous le coton de ma culotte; ils passent dans ma
raie des fesses, frôlent mon petit trou et reviennent sur mon
dos. Une fois que j'ai fini mon assiette il m'autorise à prendre
une serviette pour m'essuyer. Je crois enfin mon calvaire terminé
lorsqu'il me montre son index : c'est celui qui avait été en
contact avec mon anus, il est bruni au bout et dégage une odeur
répugnante. Sans que je ne puisse rien dire il l'essuie dans mes
cheveux et me fait signe que je peux m'en aller. Je me relève et
m'éloigne de la table, je me dit au fond de moi que c'est fini
mais je sais que si c'est fini pour lui, il y en a d'autres.
Heureusement, je n'ai pas à satisfaire la totalité des invités :
les fillettes amenées par les invités sont souvent plus
utilisées; et il y a Aline et Tarra, ça peut paraître étrange
mais je me sens mieux quand je sais que ça n'est pas moi qui
subis les pires trucs, c'est pourquoi je les cherche du regard
dans la salle.
Je ne vois pas Tarra; cependant je vois Aline : elle est à 4
pattes sur une table, au milieu. Sa jupe est relevée sur son dos
et un homme à ses mains entre ses jambes. Je suis obligée de me
rapprocher pour voir ce qu'il se passe, et ce que je vois me fait
frissonner : L'homme enfonce une saucisse dans l'anus de ma
copine ! Elle ne semble pas souffrir, en tout cas elle ne le
montre pas; mais ça doit être humiliant, et le pire est à venir,
car je sais que cet homme n'hésitera pas à lui faire manger juste
après, beurk !
...
- Hé, la crasseuse, viens par là !
À l'instant où j'entends ça mon coeur se serre, car une seule
personne a assez de méchanceté en elle pour m'appeler comme ça.
Et cette personne elle est assise à la table du maitre, car cette
personne c'est la nièce du maitre. Elle s'appelle Solène et a 11
ans, habillée comme les invités féminines, un regard qui vous
fait la détester dès que vous la voyez, et c'est réciproque : dès
qu'elle vient au chateau elle ne perd pas une seule occasion de
m'humilier, je la déteste !
- Il parait que t'as pas mangé depuis ce matin, alors je m'suis
dit que je devrais partager avec toi, me dit-elle en souriant à
mon maitre.
Elle pose son assiette par terre (de la semoule), et alors que je
m'apprête à la manger de la même façon que la purée tout à
l'heure, elle pose rapidement son pied dans l'assiette.
- Sois pas si pressée, elle me dit en riant. Je sais que t'aimes
la saleté alors je me suis pas lavée les pieds depuis une semaine
juste pour que tu puisses les laver toi-même.
Beurk ! Je lui jette un regard mêlant haine et dégoût, j'ai fait
pas mal de choses humiliantes mais ce qu'elle me demande va
souvent au-delà de l'humiliation, ce qu'elle aime c'est me
souiller, me salir; et moi je dois lui obéir. Elle me tend son
pied noirci de crasse, je mets un coup de langue hésitant en me
forçant à penser au goût de la semoule seulement, mais le goût
est tellement forte que je dois retenir un haut-le-coeur. Je me
dépêche de lécher la semoule sous ses regards amusés. Lorsque je
pense mon calvaire finie elle trempe son deuxième pied dans
l'assiette.
- J'en ai pas fini avec toi ma petite cochonne, dit elle pour me
rabaisser encore plus. Je crois qu'il y a encore un peu de
saletés sur mes pieds.
C'est ce genre d'insultes que je déteste le plus, parce qu'elle
insinue que je lui appartiens, en plus de dire que j'suis sale.
Je me force de pas pleurer mais lorsque ma bouche entre en
contact avec son deuxième pied les larmes arrivent toutes seules.
- T'oublieras pas de me laver entre les orteils, c'est là que
c'est le plus sale tu devrais aimer.
Maintenant j'ai carrément la nausée, elle s'arrêtera jamais ? !
- Allons ma puce, lui dit mon maitre en mettant une main sur ses
fesses. Garde un peu de perversité pour tout à l'heure.
J'ignore de quoi il parle mais je suis soulagée d'avoir à
arrêter.
- Mais ça fait du bien ! se plaint-elle en retirant son pied de
ma bouche. C'est encore plus drôle que tout à l'heure avec la
grosse espagnole.
Je sais bien qui elle désigne par là mais ne cherche pas à en
savoir plus. Le maitre m'ordonne d'aller me passer un coup sur le
visage, ce que j'accepte avec joie; le passage aux toilettes ne
se faisant qu'une fois par soirée; et quand je dis "toilettes" ça
n'inclut que le miroir, le lavabo, et le savon (savon pour tout
le monde sauf pour moi).
Une fois dans les toilettes je me précipite au lavabo et crache
toutes les immondices qui étaient encore dans ma bouche, ma
salive a une couleur noire avec quelques bouts de semoule : je ne
savais pas que le corps pouvait sentir aussi mauvais; maintenant
je comprend pourquoi Tarra se plaint de mon odeur. Et d'après
Aline ça serra encore pire quand mes poils pousseront...
Dans ma précipitation je n'ai pas vue Tarra : elle est devant un
lavabo en train de pleurer; immédiatement une vague de colère me
saisit.
- Qu'est-ce que cette salope t'as fait ! ?Je demande d'un ton si
énervé que je m'étonne moi-même.
Elle est aussi surprise que moi et se retourne dans ma direction;
elle n'a pas l'habitude de m'entendre dire des gros mots. En
général je suis polie mais Solène a le don de me mettre à bout.
J'inspire profondément pour me calmer et serre Tarra contre moi;
elle a beau avoir 12 ans, elle est mentalement presque aussi
jeune que moi; j'ai l'habitude de la considérer égale à moi, même
si nos normes hygiéniques sont opposées.
- Raconte-moi, je chuchote calmement.
Elle essuie ses larmes et essayent d'étouffer ses sanglots, puis
elle prend sa respiration. En même temps qu'elle me raconte ses
mésaventures j'imagine la scène, qui a eu lieu il y a à peine 5
minutes :
"- Hé, la grosse ! viens ici !
Tarra sursauta, elle savait qui avait dit ça et ce qui allait lui
arriver; les images de ces précédentes humiliations lui venaient
en tête et la faisait paniquer. Elle suait beaucoup : ses dessous
de bras et son entrejambe étaient moites. Un sentiment de malaise
l'envahissait, accentué par sa presque-nudité. Elle s'approcha
jusqu'à être à coté de Solène, celle-ci avait un an de moins
qu'elle pourtant Tarra était effrayée par cette fille. Elle avait
une sucette dans la bouche, et une idée derrière la tête...
- Je sais que t'as très faim mais je garde ma semoule pour
quelqu'un d'autre; et puis vu ton poids tu dois pas manquer de
nourriture.
Tarra commençait à trembler, les mots de Solène lui faisait mal.
Sous ses ordres elle se mit à 4 pattes devant elle.
- Nan retourne-toi idiote ! ordonna Solène en voyant sa victime
s'agenouiller face à elle. Je veux voir ton gros cul.
La pauvre enfant ne comprit pas ses intentions mais s'exécuta,
exposant deux fesses potelées de petite fille bien nourrie à
Solène.
- Faut vraiment que t'arrêtes de manger, tu ressembles à un gros
cochon.
La fillette prenait un malin plaisir à l'humilier, c'était
évident. Cela n'échappa pas à son oncle qui vit les mains de sa
nièce jouer sous sa jupe, il a toujours été étonné par son
imagination débordante; et il n'avait pas tout vu, car celle-ci
écarta la ficelle du string dissimulée entre les deux globes de
chaires et retira sa sucette de sa bouche pour la faire descendre
dans la raie des fesses de Tarra. De nombreux poils étaient
disséminés, depuis son pubis jusqu'autour de son anus.
- Tu pourrais t'épiler au moins, reprocha Solène en souriant.
Elle adorait humilier cette gamine pleurnicheuse. Même si elle
devait s'avouer un peu jalouse de cette espagnole qui avait déjà
des seins et des poils entre les jambes alors que elle, avait
encore une poitrine plate et un sexe imberbe, et à peine un an de
moins. "Peut-être mais moi j'ai de la dignité" se dit-elle en
souriant. Et pour chasser toute cette jalousie elle enfonça
violemment sa sucette entre les grosses fesses de Tarra. Celle-ci
poussa un cri de surprise mais, obéissante, ne se débattit pas,
se contentant de pleurer à chaude larme. Il ne fallut pas
longtemps à la sucette pour pénétrer le petit trou de Tarra; elle
laissa échapper un cri de douleur en continuant à pleurer. La
sucette avait beau être pleine de salive, elle avait des
difficultés à glisser et Solène pris un plaisir sadique à faire
tourner l'objet en appuyant de plus en plus fort jusqu'à ce que
seul le b ton soit visible. A ce niveau là Tarra ne cherchait
plus à retenir ses larmes et se laissa aller dans de longs
sanglots. Quant à Solène elle avait une main affairée sous sa
robe, les yeux rivés sur l'anus de Tarra, et un sourire méchant
sur les lèvres. Elle avait soumis cette gamine comme un maitre
soumet son animal.
- Fais pas semblant d'avoir mal, je suis sure que tu adores ça,
souffla-t-elle à Tarra.
Après que la suppliciée se soit lassée de pleurer, Solène retira
violemment la sucette, arrachant les quelques poils collés à la
friandise. La pauvre espagnole poussa une autre plainte de
douleur, son anus était irrité et très douloureux, mais elle
était soulagée que son supplice soit fini.
- Comme je suis gentille je vais quand même te laisser goûter ma
sucette, dit Solène d'un ton faussement empathique.
Les pleurs de Tarra reprirent de nouveau lorsqu'elle se retourna
: elle eu tout juste le temps de voir la sucrerie, puante de
sueur, tachée de son caca et garnie de poils, que Solène
s'empressa de l'enfoncer entre ses lèvres. Tarra fut écoeurée par
le goût immonde de la sucette : elle avait le goût de son propre
corps. Cette humiliation combinée à la répugnante sucrerie lui
donna la nausée, mais elle se retint et se laissa faire.
- Je vois que t'as très faim, ricana Solène. Tu manges n'importe
quoi, c'est pour ça que t'es grosse comme une truie.
Une fois de plus les insultes de Solène eurent l'effet escompté
et les larmes de Tarra furent plus nombreuses à salir ses
joues..."
- C'est finie maintenant, je lui souffle à l'oreille. Dans 1
heure on sera loin d'ici, et on ferra plus jamais ça.
Ma douceur semble faire effet : en 2 minutes les pleurs et les
sanglots ont laissé place à quelques reniflements. Au fond de moi
je me sens rassurée, parce que je suis pas celle qui a la plus
souffert; c'est égoïste et méchant mais c'est ce que je ressens,
j'y peux rien...
J'entend la porte s'ouvrir derrière moi, c'est Aline : elle à
l'air un peu fatigué et ses cheveux son décoiffés, mais elle a
encore ses habits.
- Alors, ce début de soirée ? elle nous demande avec un grand
sourire.
- Ça aurait pu être pire pour moi, je dis en caressant le dos de
Tarra. Et toi ?
- J'ai eu droit à de la purée servie sur une bite et une saucisse
au goût très... spécial, dit-elle comme si c'était banale.
- Alors, on part quand ? demande Tarra qui a repris son calme.
- Du peu que je sais, Solène a besoin de Lucy pour un moment,
nous explique Aline. Après les invités s'amuseront surement avec
les autres fillettes et ça nous laissera largement le temps de
nous enfuir.
Elle se rince rapidement la bouche et se recoiffe.
- On devrait retourner dans le salon, je conseille à mes deux
amis. Il faudrait pas que le maitre nous voit comploter...
Elles sont d'accords avec moi et nous quittons les toilettes. Une
fois sorties James, qui attendait Aline devant les toilettes nous
fais signe de le suivre; il nous emmène à la table du maitre.
J'aperçois Jessica que je n'avais pas vu jusque là : c'est la
soeur de Solène, elle tient de sa soeur même si elle n'a que 3
ans. Elle n'hésite pas à faire toutes les choses que lui demande
sa grande soeur, sans doute avec un certain plaisir. Jessica et
Solène se mettent au centre de la salle, Lucy est avec les 2
soeurs; c'est la seule qui soit totalement nue, les deux autres
sont en robes. Je ne sais pas ce que Solène a en tête mais la
façon dont elle se met en évidence ne présage rien de bon pour la
pauvre Lucy.
- Ma nièce m'a parlé de ce qu'elle prévoyait de faire, nous dit
le maitre sans quitter des yeux "la scène". Après avoir vu ça
vous n'aurez plus aucune raison de vous plaindre de ce qu'elle
vous a fait.
J'ignore s'il est sérieux ou pas, mais son ricanement fait
peur... Tarra est déjà blottie contre moi, elle a peur. Aline,
elle, s'est assise à coté du maitre, elle ne semble pas plus
inquiète que ça, juste curieuse.
- Alors Jessica, dit Solène d'une voix assez forte pour être
entendue de tout les spectateurs qui maintenant suivent la scène
avec attention. Tu te souviens de ce que tu as fait à Aline la
dernière fois que tu es venue ?
Je me retourne vers l'adolescente : elle est toujours concentrée
sur la scène mais je vois un peu d'inquiétude se dessiner sur son
visage.
- Oui ze m'en souviens, répond la fillette en zozotant. Tu m'as
mis de la crème sur ma main et ze l'ai enfoncée dans ses fesses.
Je me tourne à nouveau vers Aline et elle hoche la tête pour me
confirmer ce qu'a dit la fillette.
- Et ça t'as fait du bien ? demande Solène.
- Oh oui z'ai adoré, mais z'aurais aimé que ça soit plus serré.
J'aperçois des mains s'agiter sous les tables; j'imagine que ce
genre de choses dîtes par une enfant de son  ge doivent être
excitantes pour des gens comme eux.
- Et aujourd'hui, déclare Solène en retirant sa jupe (elle ne
porte rien en dessous). Je vais exaucer ton souhait.
D'un coup, un frisson me parcourt; Tarra pousse un petit cri
d'animal effrayé et quelques invités commencent à s'agiter; même
Aline parait surprise. Nous avons tous compris ce qui va arriver
à la pauvre fillette.
Tout d'abords Solène met Lucy en position; celle-ci ne cherche
pas à se défendre et se retrouve les genoux, la tête au sol et
les fesses pointant au plafond.
Lucy n'a que 5 ans mais a déjà été dépucelée par derrière : elle
avait beaucoup pleuré, n'avait pas pu s'asseoir pendant longtemps
et elle avait même du reporter des couches parce qu'elle arrivait
pas à se retenir. Je me souviens que tout ça avait excité les
invités.
Quoiqu'il en soit, dès qu'on aperçoit le minuscule anus de Lucy
entre ses deux fesses écartées par les mains de Solène, on peut
être sure qu'elle aura mal. Solène s'est assise sur la nuque de
Lucy, son entrejambe frottant contre l'arrière de la tête de la
fillette. Ce geste de dominance augmente le désir des spectateurs
qui commencent à réellement s'agiter. Tarra aussi commence à
trembler et se serre de plus en plus fort contre moi.
Enfin Solène passe à l'action : elle écarte en grand les fesses
de Lucy et plonge sa langue dans son petit trou. La fillette ne
se débat pas et se laisse faire, obéissante. Je remarque qu'en
même temps que Solène humidifie l'anus de Lucy, elle frotte ses
fesses contre sa nuque. Aline m'a déjà vaguement expliquée que
les filles pouvait avoir du plaisir en se frottant entre les
jambes. Sur le coup, Solène peut à la fois se faire plaisir en se
frottant le vagin et en humiliant Lucy; pour moi c'est tout
l'inverse, parce que je n'aime pas qu'elle fasse mal à mes amis,
et je n'aime pas non plus qu'elle prenne du plaisir !
Et ça y est, elle retire sa langue de l'orifice inondé de salive;
et aussitôt Jessica pousse son poing contre le petit anneau brun.
Je vois le poing s'enfoncer entre les fesses mais je ne crois pas
qu'il ai pénétré l'orifice parce que Lucy fait une grimace
d'inconfort mais ne semble pas trop souffrir pour l'instant.
- C'est trop gros ça va la tuer ! s'écrie Tarra en sanglotant.
Je la serre dans mes bras et tente de la rassurer. Le bras de la
fillette est loin d'être assez gros pour tuer Lucy, mais ça lui
ferra tout de même très mal...
Solène guide d'une main les doigts de sa petite soeur, et de
l'autre elle écarte les fesses de Lucy. Celle-ci fait une petite
grimace qui me confirme que les premiers doigts l'ont pénétré; au
fur et à mesure que la main s'enfonce, ses grimaces se
transforment en plaintes, puis en sanglot. Finalement son
sphincter cède face à la pression et elle laisse échapper un cri
au moment où la main de Jessica transperce sa rondelle jusqu'au
poignet. Tarra aussi tressaute face à la violence du cri et se
colle littéralement à moi; elle est en larme, tout comme Lucy.
- C'est agréab', commente niaisement la gamine avec un sourire
d'aise.
Elle a maintenant la moitié de son avant-bras enfoncé les boyaux
de Lucy mais je ne pense pas qu'elle ira plus loin; la pauvre
fillette est à l'agonie comme si une épée était en train de lui
percer le ventre. Pourtant Jessica n'en a pas fini puisqu'elle
commence à faire des vas-et viens avec son bras, et elle semble
aimer la sensation que ça lui procure. Je me demande combien de
temps cet affreux spectacle va encore durer; c'est Solène qui
répond à ma question lorsqu'elle pousse un cri animal qui fait
stopper sa petite soeur. Aline m'a déjà expliqué des choses sur
l'orgamse des filles et je crois que c'est ce que vient d'avoir
Solène.
- C'est très bien ma puce, dit Solène essoufflée. Maintenant
ressort ta main et lave là.
Docile, Jessica retire sa main -si brutalement que Lucy pousse un
cri lorsque le poignet de la fillette passe son sphincter. Puis,
sans protester, elle lèche tout le caca qui est resté collé à son
bras sans montrer de signe de dégoût. Beurk ! Je sais pas comment
elle fait pour pas vomir. En tout cas ça a pas l'air de déplaire
aux invités : la moitié ont déjà éjaculé et les autres agitent
leurs sexes frénétiquement; seuls quelques uns semblent se
réserver pour la suite de la soirée. Ça je m'en fiche, ils s'en
prendront aux enfants des invités, pas à nous. J'ai croisé une
chinoise ressemblant à Tarra qui avait l'air très docile...
Ça va faire 5 minutes qu'on attend devant la porte principale
Tarra et moi, collées à l'armoire pour pas nous faire remarquer.
On attend Aline qui a jugé nécessaire de laver les cheveux de
Lucy avant de partir; Solène a frotter ses fesses si fort qu'elle
a salie les cheveux de Lucy avec du caca.
- Allez les filles on y va, dit Aline en entrant dans le hall
avec Lucy dans les bras : la petite est encore en larme à cause
de la pénétration qu'elle a subi, mais ses cheveux sont lavés.
Aline ouvre la porte et nous fait toute sortir. Dehors il ne fait
pas froid, mais une fine pluie nous mouille les cheveux, je
frissonne tout de même, peu habituée au contact de l'eau sur ma
peau. Tarra et moi nous apprêtons à courir mais Aline nous
arrête, elle regarde au dessus d'elle, vers les fenêtres de
l'étage.
- James, t'es là ? chuchote-t-elle.
- Ça arrive, répond James dont la tête dépasse de la fenêtre.
Attention en bas !
Aline nous fait signe de nous écarter; elle fait bien car un
grand sac tombe pile devant moi.
- C'est nos provisions pour les prochains jours, elle nous
indique en mettant le sac sur son dos. Merci James !
- De rien, allez-y maintenant !
Pas la peine de nous le redire 2 fois, je suis un peu triste pour
James qui doit rester au chateau mais rien ne me retirera la joie
d'être libre !
...
Si la fuite paraissait simple, la pratique est un peu plus
difficile. Tout simplement parce qu'il fait nuit, et qu'aucune
d'entre nous n'a pensé à emmener de lampe de poche; marcher dans
le parc non éclairé est une t che difficile, et je n'ose même pas
imaginer la galère quand il faudra trouver le trou dans la
grille...
- Hé ! C'est quoi là-bas ? !
Aline pousse un juron, la panique nous envahit, on nous a vues !
Nous n'attendons pas les ordres d'Aline pour courir le plus vite
possible. Je prends rapidement de l'avance, Aline est handicapée
par le sac et par Lucy qu'elle tire par la main, et Tarra est
assez lente, peu habituée à faire du sport.
- Je l'ai vue par là ! cri une voix. Cette voix est moins proche
que celle d'avant; ça voudrait dire qu'il ont perdue notre trace
? !
Malheureusement je parle trop vite, dans ma h te je trébuche sur
une branche ou une feuille et mes amis derrière me suivent dans
ma chute.
- Je l'ai entendue ! par là-bas ! hurle le garde dont la voix se
rapproche cette fois.
Je suis sonnée par le choc et crois bien ma dernière heure venue.
Jusqu'à ce que je sente les bras d'une des filles me trainer en
dehors du chemin, le sol terreux sous mon dos laisse place à de
la boue presque liquide, mais je n'ose pas ouvrir les yeux pour
essayer de comprendre ce qu'il se passe. J'entend seulement les
gestes affolés des filles, et les plaintes de Lucy qui doit
s'être faite mal en tombant, puis plus rien, l'obscurité est
percée par les lampes des gardes qui s'approchent. Je fais de mon
mieux pour calmer ma respiration, même si les plaintes de Lucy
couvrent facilement le bruit de nos corps essoufflés. Petit à
petit j'entrouvre les yeux, la boue recouvre tout mon corps et je
dois me frotter un moment le visage pour y voir quelque chose.
Les gardes illuminent quelque chose avec leur lampes de poche. Il
y a 2 faisceaux donc logiquement 2 gardes.
- Cette pute a voulu s'échapper, elle a cru que c'est parce qu'on
était que deux cette nuit qu'elle réussirait à s'enfuir ! se
moque l'un des gardes en illuminant... Lucy ! Je jette un coup
d'oeil autour de moi : Aline est à quelques centimètres à ma
gauche avec le sac; je sens Tarra collée à mon corps, tremblante;
mais Lucy est toujours sur le chemin !
- Le mattre a été clair, annonce l'un des gardes. Tout est permis
avec les fuyardes.
- Nan ! laissez moi ! cri la fillette en se débattant pendant que
les gardes se penchent vers elle.
- Je sens que j'vais adorer cette petite chatte encore vierge,
commente l'un en retirant son pantalon.
J'entends Tarra pousser un petit cri à coté de moi, heureusement
les plaintes de Lucy couvre le son. Je passe ma main boueuse sur
le dos moite de mon amie pour la rassurer, que faire d'autre ?
Nous allons devoir passer les prochaines heures à assister au
viol de notre amie sans pouvoir rien faire. La seule solution
pour éviter ça c'est Aline qui la trouve : essayer de s'endormir.
Là où nous sommes les feuilles nous protègent; Tarra se couvre le
visage de ses mains et essayent de retenir ses sanglots; il n'y a
que moi qui ne sait pas quoi faire.
Au fond de moi j'ai toujours ce sentiment de satisfaction à
savoir que je ne suis pas celle qui souffre le plus, et je
regarde le spectacle moitié dégoûtée et moitié fascinée. De là où
je suis je peux assez facilement voir les fesses de Lucy qui sont
tournées vers moi. Rapidement des doigts viennent remplir ses
trous : 3 dans son trou des fesses encore largement ouvert et 2
dans son vagin. Elle cri lorsque les doigts entrent en contact
avec son anus tout irrité, pourtant elle reste relativement
passive face à ceux qui pénètrent dans sa fente. J'en déduit que
les gardes ne sont pas trop agressifs pour préserver son
pucelage. Aline m'a expliqué que les filles avaient un hymen dans
leur vagin et que ça excitaient les hommes de l'enlever avec leur
sexe, mais que ça faisait très mal, ça ils doivent s'en moquer.
Rapidement l'un des gardes passe à la vitesse supérieur : il
s'agenouille derrière sa victime, pantalon baissé, et frotte son
sexe contre sa fente. Je ne vois pas très bien ce qui se passe
ensuite, mais nous entendons toutes le cri strident de Lucy, et
je n'ai pas besoin de mes yeux pour comprendre ce qui se passe.
Je ne peux plus supporter ça, je me serre contre Tarra et essaye
de dormir. Avec la boue frottant sur mon corps, et les cris de
Lucy résonnant dans mon cr ne c'est difficile, mais j'ai pas le
choix...