Note: This story was dynamically reformatted for online reading convenience. Les champs d'Absalon (Mb, Mg, M+b, M+g, ped, nepi, oral, anal, vaginal, viol, torture, snuff, hist, racism) série : La Bible - chant V Alexandre Culfel (C) 2015, tous droits réservés. L'auteur autorise cependant tout réalisateur à adapter sa nouvelle dans le cadre d'un film. Contact : jeanlucseca@mail2tor.com Déclameur : Attention, ce texte est une œuvre de fiction. Toute ressemblance avec des personnes réelles, ou des événements qui se seraient réellement produits, ne serait que pure coïncidence. Au mois de janvier 1945, la guerre était perdue. Quelques fous avaient fêté le nouvel an à l'Adlerhorst, pendant que les armées du troisième Reich fuyaient devant l'armée rouge, se faisaient massacrées ou désertaient en masse. Les villes allemandes croulaient sous les bombardements des alliés, la lande brûlait, plus rien ne pouvait plus sauver l'Allemagne de son ch timent. Pourtant, les convois de la mort continuaient d'affluer vers les camps de la mort, ils restaient même prioritaires sur les transports de troupes ou de matériel, la solution finale devait aller à son terme, quoiqu'il en coûte. Dans son konzentrationslager de Haute Silésie , annexe d'Auschwitz, le colonel Herns Stein, connaissant la situation désespérée de son pays, négociait déjà son extraction par les alliés, alors même qu'il continuait à accomplir sa mission tout en prenant du bon temps. Le petit garçon n'était pas en bon état. Son corps était très maigre, ses côtes apparentes et sa peau quasiment translucide le faisait ressembler à un chat de gouttière miteux. Quel ge avait-il ? A la vue de sa petite taille, il lui aurait donné cinq ans tout au plus. Sa tête rasée, couverte encore par un petit duvet blond platine, presque blanc, semblait un peu grosse, comme celles des enfants de cet ge. Pourtant, quelque chose dans ses grands yeux gris clair un peu exorbités, cernés de bleu foncé, possédait une lueur d'intelligence qui trahissait un ge plus proche de sept ou huit ans. Herns Stein avait saisi le gosse par la nuque, celui-ci trembla de tout son long. La peur, ou peut-être le froid durent le saisir, mais il s'en fichait. Il avait fait son choix, il voulait essayer son nouveau jouet tout de suite. Comme chaque fois lors de ses << auditions >> dans les files de sujets pour les douches, il ne calculait pas, se laissait aller à son envie, prenait un enfant et lui imposait son désir du moment, quel qu'il soit. Il emmena le petit garçon, dans un baraquement désaffecté. Une grande cabane de bois mal construite, pleine de courants d'air, des planches superposées en guise de couches pour les travailleurs qui iraient s'y entasser à trois ou quatre, voilà tout ce qui constituerait le quotidien des rescapés de l'arrivage d'aujourd'hui. L'endroit avait été désinfecté depuis la dernière << vidange >>, mais il puait encore d'une vieille odeur de bois décomposé, incrusté de sueur et de crasse, un effluve mate qui écœurait légèrement l'officier allemand. Tenant toujours le garçon par le cou il l'avait emmené violemment, sans se soucier de s'il suivait ou non, il ne pesait rien. De fait il l'avait un peu étranglé, le petit essayait de reprendre son souffle. Il le l cha sur l'espace minuscule entre les couchettes rudimentaires, le tourna face à lui pour mieux le détailler. L'enfant paraissait comme hébété par la situation, les mains sur ses épaules anguleuses, tout tremblant, il ne prenait pas la peine de cacher sa nudité. Ses fesses, encore un peu charnues, ressemblaient à deux petites poires, le triangle de son aine imberbe menait à un sexe minuscule dont la circoncision avait laissé un peu de peau. La vision du petit gland pointant, rouge violacé, dans sa gangue réduite de plis blanc rosé, donna l'eau à la bouche à Herns, il s'occuperait de cela plus tard. Les courbes de ses jambes maigrelettes dessinaient encore de petites cuisses et deux petits mollets fermes à force d'avoir marché. Qu'allait-il faire ? Quelle serait l'introduction de sa nouvelle vie pour le petit jouet sexuel ? Il se laissa aller à l'envie du moment, le déjeuner trop arrosé au mess lui avait donné une furieuse envie de pisser. D'un grand balayage de la botte, il fit chuter le garçon sur le sol glacé. Celui-ci se tordit de douleur en se tenant la cheville, mais ne pleura pas. c'était bien, Herns préférait les cris aux pleurs. Soudain, il sortit son arme, se baissa jusqu'à s'approcher très près de la petite chose frémissante, il lui colla son Luger énorme sur la joue en disant d'une voix calme : Et maintenant, petit sous-homme, tu vas te tenir tranquille et ouvrir grand la bouche si tu veux vivre. Il se redressa, remis son arme dans son étui et desserra le ceinturon de son uniforme, puis, il sortit son sexe, à demi bandé déjà, devant l'enfant tétanisé. Nouveau coup de pied : Allonge toi sur le dos, maintenant ! Garde les bras le long du corps et ouvre cette putain de bouche ! Deux marques bleues apparaissaient déjà sur le tibia de la jambe gauche du gamin, mais, malgré la douleur sans doute insupportable, il s'exécuta. Le premier jet ne tarda pas à partir, puis quelques gouttes, puis un vrai torrent. Le liquide jaune, aux reflets brun, frappa les yeux ouverts, le nez puis la bouche du petit garçon. Le premier réflexe de se dernier fut de se détourner de dégoût, de fermer les yeux et les lèvres. Mais, l'officier, avança tout en continuant à uriner, pour plaquer les deux bras du gosse au sol en les écrasant avec ses grosse bottes de cavalier. La souffrance devait être grande car non seulement, la prise plaqua le petit garçon au sol mais un spasme lui fit ouvrir grand la bouche et les yeux pendant un long moment. Des larmes commençaient à poindre au coin de ses cils, son visage terrifié affichait un grand cri silencieux. Pendant plusieurs divines secondes Herns Stein put admirer son œuvre. Le jet continu de sa pisse remplissait la gueule de la minuscule chose écrasée sous ses bottes, l'urine rebondissait sur une langue rose légèrement sortie à la recherche de son souffle, et ce qui ne rentrait pas dans l'orifice buccal inondait le visage p le du blondinet, en laissant des tra"nées poisseuses de liquide séminal mêlé à l'eau jaun tre et odorante. L'odeur était insoutenable, même pour Herns, la fragrance piquante que donne l'abus de bière et de viande de gibier. L'officier ferma enfin les yeux pour apprécier le son du clapotis sur le plancher du baraquement et du petit innocent en train de s'étouffer avec sa pisse. Et puis il fut soulagé. Il libéra l'enfant juif de l'étreinte de ses pieds et le dernier jet d'urine fut pour le ventre et la bas-ventre du garçon. Comme cela, il était couvert de pisse. Le garçonnet se recroquevilla aussitôt, toussa et cracha pour évacuer l'horrible liquide de sa gorge et de ses poumons. Herns pensa avec malice qu'il avait dû en avaler une bonne partie, qu'il apprenait vite avec ses air de ne pas en vouloir. Il observait aussi avec un plaisir sadique les traces violacés sur les avant-bras que le gosse serrait convulsivement. Voilà, il avait repris son souffle, il pleurait à présent. De longs sanglots de douleur et d'humiliation, une douce musique, moins rythmée que des cris mais satisfaisante, tout de même, entre deux actes. Car le colonel Stein n'en avait pas fini. Il s'était soulagé la vessie, certes, mais la vision de son petit urinoir vivant le rendait fou de désir. Dans sa position recroquevillée, les fesses en forme de poires de l'enfant laissaient appara"tre une rosette plissée comme un bouton, propre, faite d'une peau un peu plus brune que le reste de son corps. Les plis était si resserrés qu'Herns ne pouvait deviner le trou dans leur méandre. C'était comme une forteresse imprenable, cela ne pouvait plus durer. Sans aucun ménagement il se coucha sur l'enfant, le premier geste de celui-ci fut de se protéger le visage avec ses bras meurtris. Grave erreur, parce que, premièrement, son geste lui fit ouvrir les jambes autour de la taille de l'officier allemand et, secondement, parce que sa peur de se faire encore maltraité excitait au plus haut point son tortionnaire. Ce dernier essaya une pénétration rapide, mais son sexe roide resta à taper sans effet sur l'anus fermé du garçon. Il y avait une telle disproportion, un sexe d'homme adulte de près de vingt centimètre et de quatre centimètres de diamètre et l'anus vierge d'un petit garçon de sept ans, au plus, qui n'avait jamais été ouvert que dans un seul sens ! Qu'à cela ne tienne, Herns n'était pas un puceau effarouché par la difficulté, il rentrerait, dusse le gamin en crever, il aurait son plaisir ! Il trouva la tête de l'enfant avec sa main droite et le maintint au sol fermement, en pesant sur la jambe gauche déjà ab"mée du garçon, il lui tint les jambes écartées et, de sa main gauche, il fourra de force son index tendu dans les replis du trou du cul du môme. Le doigt entra avec difficulté, la première phalange resta bloquée une seconde, puis il sentit le contact humide de la muqueuse. Le rectum était vide, le petit n'avait sans doute pas manger depuis deux jours. Son ongle égratigna la paroi à l'intérieur, arrachant un cri de douleur de la bouche de l'enfant à demi étouffé sous la paume de l'officier. Ce n'était que le début. Le majeur alla rejoindre le premier doigt en forçant le passage et en écorchant un peu les plis bruns du trou serré. Herns Stein commença à ouvrir et refermer ses deux doigts tendus comme des ciseaux à papier avec tout la force qu'il pouvait y mettre. L'enfant se débattait avec sa jambe libre et ses bras, mais il manquait de force après son séjour dans les wagons à bestiaux. Son sphincter tentait de se resserrer, mais plus aucun muscle de son corps n'avait assez de force. Bientôt, l'effort du gamin pour se fermer devint une pathétique palpitation, puis le colonel put glisser son annulaire dans l'orifice, sans discontinuer ses mouvement d'ouverture. Une fois les trois doigts dans le derrière du petit garçon, Stein commença à ramoner comme un fou l'anus douloureux du garçonnet. Ses ongles écorchaient de plus en plus le voile humide de la paroi du rectum, le fourreau était si étroit qu'il pouvait sentir chacun de ses doigt se couvrir d'un peu de sang au fur et à mesure de ses va et vient. Son sexe dégoûtait déjà de liquide séminal, il décida qu'il avait suffisamment ouvert la voie. Il retira ses doigts rougis de l'orifice à demi ouvert désormais et attendit que celui-ci se referme un peu sur le cratère sombre et écarlate qu'il était devenu. Le petit juif se calma un peu, Herns en profita pour faire peser tout son poids sur lui et, en se cambrant un peu, lui décocha une grande gifle du revers de la main. Le corps de l'enfant se détendit immédiatement, l'officier allemand saisit l'occasion pour lui ramener les deux jambes sur les épaules. Quand le garçonnet repris ses esprits dans un grand éclat de douleur au visage et à l'arrière train, le sexe de Herns Stein était en lui. Le gland de l'homme s'était frayé un chemin dans le sphincter du petit garçon avec un léger << plop >>, durant les quelques secondes où celui-ci resta assommé, une bonne moitié de son sexe ramonait facilement l'entrée de l'orifice. Le môme commençait à hurler comme un cochon qu'on égorge. Stein aimait ce son, mais il le préférait étouffé sous sa main, alors il appuya plus fort sa main droite sur la bouche du garçon de sept ans. Maintenant que le gosse le sentait pleinement en lui, il pouvait aller plus loin, au propre comme au figuré. Dans le corps de l'enfant un léger resserrement fait de tissus soyeux, fragiles, sensibles, voisinait le pavillon du rectum. L'allemand poussa d'un coup pour faire avancer son sexe gonflé dans le cul du gamin, il regretta l'espace d'un moment de mouiller un peu trop de liquide séminal, car cela lubrifiait le passage, mais il fut récompenser dans son violent coup de rein en sentant quelque chose se déchirer et une substance chaude et poisseuse lui recouvrir le bout de la queue. Il ressentit une intense vague de plaisir lorsque tout le corps du gamin se tendit sous lui, sous l'effet de la douleur instance. Encore un effort, il ne devait pas l cher son précieux foutre aryen tout de suite, avant d'atteindre le summum du plaisir. Herns Stein écrasa littéralement l'enfant sous son poids, celui-ci commença à perdre sa respiration et à s'étrangler, d'autant qu'il lui était difficile de reprendre son souffle entre les doigts de la main de l'officier. Ce dernier ramona l'anus du garçon un moment comme s'il prenait son élan et dans un grand coup de boutoir, il atteignit son but. Son sexe souillé de sang cogna contre un obstacle semi rigide. Le garçonnet hurla, mais l'officier n'en avait cure, une fois touché le fond du rectum meurtri de l'enfant, il commença à pilonner de sa bite la cavité étroite. A chaque va et vient, Herns avait l'impression de retourner l'anneau du gamin, palpitant par réflexe, et de froisser la soie de la paroi anale. Il cognait contre l'entrée du côlon à chaque ruade maintenant, ses bourses, douloureusement ramassée à force de se retenir, frappait contre le coccyx du petit garçon. Il aimait cette impression que les os fragiles de ce corps minuscule allaient casser à tout moment, les jambes de l'enfant, notamment, étaient écartée à leur point de rupture sous sa masse, et l'échine courbée à l'extrême sur elle-même semblait pouvoir céder à tout moment. Mais peu importait, finalement, au colonel Herns Stein . Il prenait son plaisir, et plus l'enfant semblait souffrir, plus l'officier le rudoyait en s'exclamant par intermittence : Argh, pute juive tu la sens bien ma queue aryenne, tu es né pour ça, salope ! Et il continuait à ramoner le cul de l'enfant comme un possédé. Je vais te défoncer tous les jours, comme la chienne que tu es, et après je te donnerai à mes chiens ! Il ahanait en disant cela, la sueur au front, le rouge aux joues. L'enfant respirait encore, mais à peine et il se contentait de pousser de longs gémissements de douleur et de détresse. Soudain, la main se retira de la bouche de l'enfant et celui-ci put respirer et pleurer librement, mais le répit fut de courte durée. Si le poids de l'allemand s'était allégé un instant, ce ne fut que pour mieux revenir, car ce dernier maintint l'enfant au sol, les deux genoux appuyés là où les bottes avaient déjà laissé une marque sur la peau p le, et il serra la m choire du garçonnet en position ouverte avec sa main gauche. Dans sa main droite il tenait son vit dégoûtant de sang et substance claire, l'appuya la mince lèvre rose inférieure déformée par la prise douloureuse, puis il éjacula. Un grand jet de sperme désordonné tomba en partie dans la bouche ouverte du petit garçon qui tenta d'avaler cette fois pour ne pas mourir d'étouffement, l'autre partie de la semence entra, avec la force de l'impact, dans les narines du petit nez rond du blondinet, directement ravalé dans sa gorge dès qu'il essaya de respirer. Herns Stein se releva, donna encore un coup de pied, mais la pulsion primaire qui l'avait animée n'était plus là. Il remit son sexe dans son pantalon et rajusta son uniforme. Le petit garçon ne se relevait pas. Le corps frêle restait couché sur le dos, les jambes et les bras redescendus sur le sol en bois. Sur le duvet blond de son cr ne, sur son visage, bleui par endroit, de la pisse coulait encore. Accroché à ses paupières, aux ailes de son nez croûtées de sang, et à ses lèvres à demi closes, des filets de liquide blanch tre dessinaient de longues tra"nées poisseuses. Ce visage était si minuscule que le foutre aurait dû le recouvrir en entier, mais les quelques restes de sperme prouvaient que le petit garçon avait dû en avaler une bonne partie. Ses épaules et ses bras surtout, présentaient de larges marques violettes, les os n'étaient visiblement pas brisés, fêlés peut-être, comme le tibia de la jambe gauche. Il n'avait aucune marque apparente au niveau des jointures de son bassin, mais il marcherait douloureusement, comme un cavalier, pendant un moment, tant ses tendons devaient avoir été sollicités. Le ventre du gamin ne semblait pas avoir beaucoup souffert, il était creusé par la faim, pas encore gonflé par la malnutrition, mais l'expérience ne l'avait pas ab"mé. Par contre, pensait Herns avec une jouissance perverse, la peau du dos du gamin devait avoir morflé, tant il y avait d'échardes dans le mauvais bois dont on faisait les planchers, et tant il l'avait tra"né dans un sens et dans l'autre en le défonçant. Il s'était tellement collé à lui que le corps du gamin avait frotté contre le sol à chaque mouvement de ses reins. Quoiqu'il en soit, si l'enfant juif devait survivre à ses blessures corporelles, celles de son anus menaçaient de le tuer par hémorragie. Or, le nouveau jouet sexuel du colonel Stein devait au moins lui durer quelques jours. Un garçon par arrivage, être plus gourmand serait tenter le diable et pousser ses officiers subalternes à commettre des erreurs. Il s'abaissa au niveau de l'enfant et souleva une jambe, un soubresaut du petit garçon montra sa crainte d'une nouvelle séance, même dans son état semi conscient. Quelques gouttes de sang maculaient le sol sous les fesses du garçon, du sang et du foutre. Une longue ligne de rouge et de blanc mêlés coulait doucement du trou béant qui avait été l'anus de l'enfant. Un espace noir en forme de trilobe, à demi fermé, frémissait légèrement d'une douleur lancinante. Les bords enflés de l'orifice dilaté de force gardaient encore de petites ridules roses d'où dégoûtait des perles écarlates, l'ensemble était un spectacle magnifique. L'enfant survivrait le temps qu'il faudra, pensa Herns Stein, la vermine juive est résistante. Le reste ne fut qu'un jeu cruel. Après quelques minutes, Herns Stein releva de force l'enfant souillé, et le souffleta pour le ranimer un peu. Puis, il le tra"na jusqu'à un baraquement surpeuplé de la zone des hommes. Le froid mordant de l'hiver, sur son corps nu, réveilla complètement le petit garçon. Il n'arrivait pas à faire fonctionner ses jambes correctement, il trébuchait et était plus porté par l'officier que se déplaçant seul. Arrivé au baraquement habité, le colonel appela deux gardes, en tenant l'enfant d'une seule main ferme, ils entrèrent en grand fracas dans le logement puant et embué des travailleurs du camp. Des hommes en pyjamas rayés immondes, tous, invariablement d'une maigreur cadavérique, se mirent au garde-à-vous. Ses hommes craignaient le colonel, car ils le savaient capable d'atrocités pires que la mort. Peu d'entre eux s'étonnèrent de voir l'enfant nus tenu par le bras. Il mesurait un mètre vingt ou moins, devait peser vingt kilos ; courbé, le corps couvert de bleus, le dos écorché et des coulures rouges le long des jambes, il était encore trempé de pisse et du sperme restait accroché à son visage. Le petit garçon puait, non seulement l'urine, mais aussi le foutre à l'odeur poivrée si caractéristique. Bref, aucun des hommes ne pouvaient douter du traitement infligé au gamin. Je vous confis mon nouveau protégé, commença le colonel avec le sourire au lèvre. Il jeta le pauvre petit garçon aux pieds des prisonniers les plus anciens. S'il lui arrive quoi que ce soit, vous aurez tous droit à un sort spécial. Croyez-moi, vous ne mourrez pas tout de suite. Soignez le, nourrissez le, habillez le, faites en sorte qu'il vive. Il me servira la journée et dormira ici. Voilà, ce n'était pas plus compliqué que ça. Il n'allouerait aucune ration supplémentaire pour l'enfant. Et tout le baraquement devra se priver pour nourrir leur nouvel hôte, l'habiller et le soigner. Il n'avait pas à se préoccuper de l'intendance, il prendrait son jouet quand il lui plairait. Bien sûr, aucun d'eux n'abusera du petit, les juifs ne savent pas ce qui est bon, mais il était sûr que le petit serait détesté et maltraité comme charge supplémentaire. Oui, Herns Stein pouvait être fier de lui en sortant du b timent miteux, quand il récupérerait son jouet la prochaine fois il serait déjà brisé physiquement et psychologiquement . Pendant que les gardes refermaient les portes, il prit le temps de regarder le ciel qui virait déjà au crépuscule, il observa d'un air satisfait les colonnes de fumées noires qui s'échappaient au loin des fours, au delà des douches. Il dormirait bien cette nuit et serait à même de profiter pleinement du festmahl du lendemain. Le festmalh était une tradition vieille de seulement quelques mois. Depuis le début de son arrivée dans le camp, le colonel Stein avait autorisé ses subalternes à faire leurs << courses >> à chaque nouvel arrivage, cela faisait partie du pacte. Parmi ceux-là, le lieutenant Kruger avait les goûts les plus particuliers, il était le seul à pouvoir extraire plusieurs sujets de la file des douches car il ne pouvait jamais les faire durer longtemps. Hormis peut-être Rachel, dont il avait fait une remarquable prodige. D'ailleurs, si Kruger avait le droit de prendre plusieurs sujets, c'est qu'il avait réussi à amener plusieurs gardes et officiers du rang, avec qui il était très amis, à pratiquer les mêmes perversions que lui. De plus, Herns, qui n'avait pas les mêmes inclinations, aimaient regarder ce genre de spectacles violents. Aussi tout ce petit monde parvint-il à s'entendre sur une sorte de rituel où on usait et abusait des sujets de Kruger lors d'un grand banquet en public. Ces jours là, les hommes et les femmes du camp étaient sortis de leurs baraquements vers cinq heures du matin, il n'y avait pas de jour fixe, et les gardes rivalisaient de brutalité dans l'exercice. Tous les déportés restaient parqués sur la place centrale du camp jusqu'à l'heure de midi sans pouvoir ni s'asseoir, ni boire, ni manger. Leurs geôliers étant un peu énervés de devoir se lever si tôt le matin et ne cessaient de les harceler, quelques exécutions sommaires avaient souvent lieu. Vers midi, des serviteurs juifs dociles venaient installer une sorte de grande estrade devant la barrière de fils barbelés, derrière laquelle étaient massés les autres habitants du camp dans leur guenilles à rayures. Sur l'estrade, ils installaient une vaste table sur tréteaux, et dressaient le couvert comme pour un banquet de gala. Cependant, détail important, ils ne mettaient pas de nappe, de sorte qu'il était possible de voir les jambes de convives assis à la table. Là dessus, les officiers, et quelques soldats SS invités à partager le repas, venaient se mettre à table, tous du même côté, face aux déportés faméliques. Ce jour là, le ciel était clément, un beau soleil d'hiver rayonnait dans le ciel. Surtout, il n'y avait pas de nuages et la réverbération du son serait parfaite. Le colonel Laissa la place d'honneur, au milieu des convives, au lieutenant, qui arrivait toujours un peu après, et alla s'installer sur le côté pour observer à la fois les invités et les spectateurs juifs. Huit autres hommes, officiers et subalternes, s'assirent avec lui de part et d'autre de la chaise vide du milieu. Il étaient tous de parfaits aryens dans leurs uniformes noirs : blonds, les yeux bleus, grands et athlétiques, notamment le caporal Shpunz, dont Herns connaissait l'outil énorme et la violence. Contrairement au protocole rigide habituel dans le camp, l'ambiance étaient détendue ces jours là et les hommes parlaient presque d'égal à égal. A quelques mètres de l'estrade des réjouissances, trois musiciens juifs du camp en pyjama attendaient, instruments à la main, trompette et percussions. Enfin, des haut parleurs encadraient l'estrade, haut-parleurs dont les gros micros étaient pointés, pour une raison pratiquen vers le dessous de la table. Enfin, le lieutenant Kruger arriva. Il sortait thé tralement d'une b tisse de la garde, en grand uniforme, marchait d'un pas lent et tenait ostensiblement une laisse dans sa main gantée. Une simple cha"ne en fait, comme celles avec lesquels on attache les chiens des camps. Quand il fut à la porte, il tira sur la laisse un coup sec, et une petite fille triste, d'environ trois ansn sortit derrière lui. Elle sortait à quatre pattes, tant bien que mal, sur le sol en terre battu du camp, elle s'écorchait les genoux, sans doute, mais ne pleurait pas. Cette petite fille était brune, son corps était encore celui d'un bébé, un peu potelé mais pas gras, des jambes menues et des cuisses fermes, un ventre un peu rond encore et des bras mous comme ses jambes. Ses petites mains qui cherchaient leur chemin sur le sol dur avaient des doigts courts et rondelets. Elle ressemblait à une poupée, sa peau légèrement brune s'éclaircissait là où le soleil en révélait les reflets satinés. Elle ressemblait d'autant plus à une poupée que son visage portait un maquillage outrageusement prononcé, comme celui d'une vieille catin qui aurait voulu encore se vendre. Son visage tout rond, avec des petites fossettes et de grands yeux noirs, affichait du rouge à joue et du rouge à lèvre appliqués approximativement, sans doute par un homme. Même sa coiffure était soignée, frisée, attachée sur le dessus, quelqu'un avait pris soin d'elle exactement comme d'un poupon. Cet apprêt formait un étrange contraste avec le collier de chien en cuir qu'elle avait autour du cou et qui la reliait à Kruger par la cha"ne, avec son corps nu de bébé marqué en plusieurs endroits de traces violettes longilignes et de bleues. Kruger aimait battre sa petite poupée, Herns le savait puisque l'autre aimait à le faire en public, mais Rachel avait montré une résistance exceptionnelle pour son ge, à moins bien sûr que Kruger ne fut pas aussi dur avec elle qu'il aurait dû. Tirant toujours sur la laisse de la petite fille, la faisant s'écraser sur le sol plusieurs fois, le lieutenant s'assit finalement à sa place, bien en face de son << public >>. Puis, il installa sans ménagement sa poupée sous la table, attachée à sa chaise. Tout les déportés pouvaient ainsi voir la petite Rachel assise, nue, avec son petit air triste sous la table sans nappe. Le rituel put commencer. Des serviteurs juifs amenèrent des plats chargés de charcuterie, de p tés et de pain blanc, ainsi que deux douzaines de choppes de bière. Les hommes mangèrent avec des manières d'acteurs de thé tre devant la population affamée du camp. Ils parlaient pendant ce temps de leur sujet préférés : l'extermination des juifs et de comment la rendre plus efficace. Certains affirmaient que ce devait être brutal et rapide, d'autres qu'il fallait les faire travailler avant de les tuer. Herns ne disait rien, il connaissait le script par cœur et n'était qu'un spectateur. A un moment, Kruger prit la parole, et tous les autres se turent. Il parlait d'une voix très haute avec de grands gestes pour que tout le monde l'entende bien : Personnellement, je suis pour l'option de les utiliser avant de les détruire. Nous aurions tort de nous en priver, nous sommes la race supérieure. Bien sûr, ils ne doivent pas vivre trop vieux. Mais même très jeunes , ils ont leur utilité. Regardez par exemple, cette petite chienne entre mes jambes, elle a appris à sucer des bites, oui messieurs elle adore cela en plus, comme la pute qu'elle est. Et est-ce qu'elle avale ? Demanda l'un des convives avec le même air thé tral. Oui, monsieur, elle n'est même nourri qu'avec du sperme de soldat, répondit-il en riant. D'ailleurs, je vous propose de tous vous faire sucer par ma pute et de me dire ensuite si elle ne mérite pas d'attendre avant de passer au four ! Cette dernière proposition fut applaudie. Dans l'assistance des déportés, c'était un silence atterré qui régnait, des chuchotements, des cris d'incrédulité, des pleurs ; et puis un aboiement de chien, un claquement de fusil que l'on charge et les ordres d'un garde qui gueulait que le premier à détourner ou fermer les yeux serait exécuté sur le champ. Les hommes s'étaient remis à manger mais, sous la table, la très jeune gamine, qui n'avait pas bougé jusque là, reçut un signal par un coup sur sa cha"ne. Difficilement elle entreprit de défaire la braguette du lieutenant Kruger. Après un instant elle y parvint enfin et sortit le sexe flasque de l'homme. Elle dut s'y prendre à deux mains, tant les siennes étaient menues. Elle commença à masturber l'homme doucement et à approcher un bout de langue rose pour lécher le prépuce en tire-bouchon de Kruger. Celui-ci continuait à manger comme si de rien n'était, les autres aussi, mais son sexe commençait à grossir et à prendre forme. La petite fille maquillée comme une pute n'avait pas besoin d'instructions, gardant son air triste, elle prit le gland à demi décalotté dans sa bouche minuscule et suça. Le spectacle pour les juifs étaient choquant, ils voyaient sans pouvoir en détacher les yeux, une toute petite fille de même pas trois ans essayer d'engloutir un sexe qui semblait monstrueux. Malgré ses efforts elle ne parvenait pas à prendre plus de la moitié du vit de l'homme et l'on voyait assez clairement que ses petit va et vient pénibles reculaient la peau du sexe de Kruger en petits plis avant qu'il ne reprennent leur place quand elle retirait un peu, mais pas trop, de bite de sa bouche. Les joues rondes de bébé de Rachel se creusaient légèrement à chaque aller retour sur le vit de Kruger et, de temps en temps, on entendait un bruit de déglutition lorsqu'elle avalait une rasade de liquide séminal. Oui, l'esprit tordu de Kruger avait utiliser les haut-parleurs du camp pour ajouter à la torture de tous, même si certains réussissaient à fermer les yeux ils auraient aux oreilles les bruits de succion et de déglutition difficiles de la suceuse en bas ge. Soudain, Kruger recula sa chaise, de fait il retira son sexe de la bouche de la jeune enfant avec un plop sonore. Il dit, triomphant : Attention, messieurs ! Voilà sa première rasade de sperme ! Sur ce, il prit Rachel par les cheveux, la tirant sur ses pieds, et l'approcha de son sexe. Ouvre bien grand, petite pute, et regarde moi quand je jute à la gueule, pétasse ! La toute petite fille ouvrit la bouche aussi grand qu'elle pouvait, et tourna ses grands yeux noirs sans expression vers son bourreau. Celui-ci se masturba frénétiquement devant le visage fardée de la pauvre gamine et éjacula, dans un grand r le, tout ce qu'il pouvait produire de foutre en une seule fois. Le liquide laiteux arriva directement dans la bouche ouverte de la fillette, qui ne cilla pas. Rachel attendit patiemment que Kruger ait tout donné, le sperme coula de son menton et sur son collier, beaucoup tomba par terre tant la dose était disproportionnée au récipient. Au final, Kruger secoua son sexe sur le visage de la petite fille, attendit, et lui dit << vas y, avale >>. Et devant une assemblée médusée de pauvres hères, la minuscule fillette ferma la bouche et avala sans aucun signe de dégoût. Pire encore, devant le regard satisfait du Lieutenant SS, elle se lécha le menton et entreprit de lécher le sperme tombé sur l'estrade. A chaque fois qu'elle léchait ou avalait le liquide poisseux, les haut parleurs de chaque côté retransmettait les sons comme à l'opéra. Kruger se rassit et le jeu absurde reprit de plus belle. Pendant que la petite fille se tra"nait sous la table vers l'entre-jambe d'un second convive, le lieutenant laissait du mou à la cha"ne et la conversation reprenait. Mais est-ce bien vrai qu'elle n'est nourri qu'avec du sperme ? Demandait quelqu'un. Oui, monsieur, et vous pourriez vous demander pourquoi les soldats passent autant de temps chez moi, en aussi grand nombre ! Il éclata de rire. Non, je plaisante, je lui fait aussi branler mes chiens, ils produisent beaucoup et cela les calme. Ainsi elle a tous les jours son litron de foutre chaud à disposition ! Des rires et des approbations saluèrent cette dernière remarque, on décida en outre que les bébés juifs étaient bons pour amuser les chiens, ou les nourrir. Durant ce temps, Rachel s'occupait d'un sergent assez bien membré et essayait de sucer le plus fort possible. Tout cela s'entendait dans tout le camp, bien sûr, à chaque effort de la gosse en laisse. Soudain, l'homme à qui elle faisait une g terie, mis la main sous la table et attrapa la petite derrière la tête, il poussa d'un coup, on entendit un son mouillé d'étranglement, puis de quelqu'un qui essayait de retrouver sa respiration. En bas, on vit le sexe de l'homme entré tout entier dans la bouche de la petite et la gorge de celle-ci se gonfler, ses grands yeux noirs devinrent exorbités et elle faillit défaillir. Mais, l'homme, nonchalamment, retira son sexe de la gorge de la gamine et un flot de liquide blanc suivit le mouvement quand Rachel recracha par réflexe. Il y eut un silence des convives, alors que résonnaient encore les r les de la petite fille dans l'air. Tous se levèrent de table comme d'un commun accord et ils renversèrent la table sur tréteaux dans un grand fracas de plats et de choppes dispersées. Toute la nourriture était g chée et resterait là à pourrir devant les bouches affamées des déportés. Les officiers et soldats SS étaient maintenant en ligne devant la petite fille qui essayait désespérément de récupérer le sperme régurgité sur le sol. Sa langue était trop fine pour tout ravaler assez rapidement et le dernier homme sucé paru se mettre en colère. Quelle sale chienne ! Je lui mets droit dans l'estomac et elle recrache ! Je réclame réparation, qu'on la crève sur l'heure ! Vous n'y pensez pas, dit un autre, pas avant qu'elle n'est sucer tout le monde ! Nous la tuerons après. Et en un instant tous les convives avaient la queue à la main, d'un taille respectable à anormalement grande pour Shpunz. La fillette fut hissée sans ménagement sur l'une des chaises et, l'un après l'autre, ils forcèrent leur sexe dans la bouche de l'enfant. On se plaça près des micros, pour la qualité du son, et les bruits de succion n'en finirent plus de remplir l'air. L'exercice dura deux bonnes heures car ils étaient 9, Rachel avait à peine le temps de remettre sa m choire en place et de respirer que déjà un homme la saisissait et lui mettait sa bite dans le gosier. Le spectacle était d'une rare violence, la toute petit fille souffrait visiblement d'avoir la bouche aussi distendue et d'être étranglée à chaque fois par la semence dans sa gorge. L'un des officiers, la bite à moitié enfoncée, jusqu'au voile du palais de la petite, tenait fermement les cheveux pour bloquer la tête, il eut une éjaculation si puissante que le foutre étouffa non seulement la gamine, mais lui ressortit aussi par la nez. Tous rirent beaucoup de l'exploit et les suivant entreprirent de le réitérer avec plus ou moins de succès. Le nez à peine formé de la petite fut rapidement obstrué et on la fit moucher dans ses doigts avant de la faire lécher. L'autre moment d'amusement fut la multitude d'essais que Shpunz fit pour rentrer sa bite, ne serait-ce qu'à moitié dans la bouche de l'enfant. En désespoir de cause, le caporal se fixa devant la fillette, et se masturba jusqu'à qu'un énorme jet de foutre gicle à la face de bébé de Rachel, un jet puissant qui la recouvra presque entière de glu poisseuse. C'était une autre des particularités anatomiques du pauvre Shpunz : des éjaculation qui ressemblaient littéralement à des douches de sperme. Plusieurs des hommes, qui étaient passés au début, tenaient à nouveau un sexe roide. On eut cru que la pauvre petite de trois ans n'allait jamais en finir, même couverte de la tête au pied de semence. Mais, Herns connaissait la suite, assis seul sur sa chaise, et il en salivait d'avance. Car la détresse de la petite l'amusait, mais sans plus. Il fut encore question de supprimer la gamine, maintenant qu'elle avait servit, mais Kruger fit un pathétique monologue surjoué en parlant de ses chiens qui perdrait leur branloire, qu'il aurait du mal à retrouver une pute aussi soumise que celle-là. Etc. Alors, tous se résolurent à lui laisser sa ,salope personnelle. Et on obligea seulement la petite fille à lécher et manger tout le foutre répandu sur le sol et sur elle, on l'aida même avec une petite cuillère tombée avec la table. L'opération dura bien encore une demie heure, Rachel n'en perdit pas une miette, malgré les haut le cœur qui la prenaient vers la fin. Les hommes autour l'encourageait pas des coups ou des insultes : Lèche ça, petite salope ... C'est comme le sperme de chien, avale bien tout ... Oh oui c'est notre petit sac à foutre ça ... Combien de semence avait-elle ingurgitée depuis le début du d"ner ? un litre tout du moins, peut-être plus. Elle aurait un peu de repos avec la suite, mais dès le soir elle devrait traire les deux chiens du lieutenant, récolter le foutre prolifique des animaux et le boire jusqu'à la dernière goutte. A la fin, le ventre plein, et épuisée, Rachel fut mise de côté, son maquillage avait coulé depuis longtemps, et avec ses cheveux noirs et ses cils encore collés, elle ne ressemblait qu'à un petit animal brisé et souillé. Tous les hommes avaient rebandé devant le spectacle de la petite lécheuse de semence quand Kruger annonça magistralement que pour les remercier, il leur offrait le dessert. Il y eut une pause, la foule des juifs du camps, déjà éprouvés moralement par ce qu'ils venaient de voir, dut attendre avant le clou de l'horrible spectacle. On remit la table en place, on rehaussa les trépieds des micros à hauteur de la dite table. Venant de la baraque médicale, le docteur Shlosser, que cette partie intéressait pour ses recherches, arriva en portant deux sujets frais de la veille, choisis par le lieutenant Kruger. Deux petite filles, deux bébés en fait, l'une de deux ans environ, ch tain, très maigre, avec le ventre rebondit et des yeux un peu éteints d'une fillette qui a déjà trop connu de privation, l'autre d'à peine un an, blonde, un peu potelée, mais qui accusait déjà les marques de la dénutrition, un corps rose et lisse pourtant. Elles n'étaient pas maquillées, ni coiffée, elles ressemblaient à des bébés que l'on vient de réveiller. La seule concession que Kruger avait fait à l'esthétique était les colliers de chien qu'il leur avait mis autour du cou avant la cérémonie. Mes amis, dit-il en préambule, nous allons démontrer aujourd'hui une vérité que nous connaissons déjà mais que nous aurons plaisir à prouver de nouveau. La vérité selon laquelle les femmes juives sont des tra"nées juste bonnes à se faire baiser par le tout venant, et ce depuis le plus jeune ge. La foule des juifs ne réagit même pas à cette annonce, de toute façon ils ne le pouvaient pas . Le docteur Shlosser déposa comme des sacs les deux bébés sur la table du d"ner, puis, il s'approcha du groupe des hommes en pyjamas rayés car c'était là les vrais sujets de ses expériences, il sortit carnet et crayon puis attendit. Le reste était réglé comme du papier à musique. Kruger obligea les deux petites à se mettre debout sur la table, la plus petit tomba aussitôt sur les fesses, ne sachant encore trop bien marcher, et commença à chouiner. Le lieutenant entoura de ses bras la gamine de deux ans et entreprit devant l'assemblée de malmener son corps. Voyez ceci, cet animal semble fait comme une femme allemande. Là il lui pinça les tétons et elle commença à pleurer doucement, puis ses mains descendirent vers la vulve à peine formée, lisse et légèrement bombée. Mais ne vous y trompez pas, elle ne sait donner naissance qu'à des chiennes lubriques avec leurs chattes corrompues. Il commença à placer sa grosse main entre les jambes de la petite et pinça très fort les lèvres et tout l'appareil génitale externe de la gamine. Celle-ci hurla de douleur, et de grosses larmes de détresse commencèrent à couler sur son visage. Regardez, comme à son ge, elle aime déjà se faire toucher par un homme ... On entendit un cri et une détonation, une femme s'écroula derrière le grillage, les mains tendues vers la scène. Herns imagina que c'était la mère de la petite, mères que l'on épargnait toujours un peu pour qu'elle voit ce spectacle. Celle-ci avait protesté trop vite. Le bon lieutenant ne se laissa pas interrompre par le bruit, si ce n'est pour faire un commentaire à voix haute : Ne t'inquiète pas, chienne juive, ta fille va bientôt te rejoindre. Shlosser, maintenez la en vie un instant je vous prie. Le docteur, avec un air las, quitta son carnet pour traverser la porte du grillage barbelé avec deux gardes, il s'approcha de la femme au sol, lui fit un garrot pour arrêter l'hémorragie, et la tourna à demie consciente vers l'estrade de l'autre côté. Puis, il resta là, décidant que ce serait un bon poste d'observation. Kruger patienta et reprit son manège. La fillette de deux ans se retrouva brutalement sur le dos, on passa des sangle autour de la table pour lui maintenir les deux bras attaché, puis, on ramena ses jambes au maximum d'écart possible, genoux pliés, en attachant les petites chevilles à l'autre sangle. Seul son petit derrière dépassait un peu du bord de la table. Pendant toute l'opération, la fillette pleura toutes les larmes de son corps, elle ne sut dire qu'une chose dans son angoisse, probablement l'un des seuls mots qu'elle connaissait : << maman >>. Le colonel Stein changea de place pour mieux admirer le spectacle. Bien, messieurs, procédons avec discipline, nous sommes aryens, après tout. Pour profiter de notre pute le plus longtemps possible, nous allons y aller par ordre de grandeur. Non, ne protestez pas Shpunz, je vous ai gardé la part du lion, ajouta-t-il en désignant du doigt le bébé d'un an. Le caporal Shpunz eut un sourire malicieux et il entreprit de prendre le bébé dans les bras. Tableau étrange que cet homme énorme, en uniforme SS, un sexe de près de trente centimètres en érection à la main, qui tenait tendrement ce petit bout de fille blond. Mais la main qui la tenait ne caressait pas ses fesses douces sans intention, il se régalait déjà d'offrir à la petite, un peu rassurée maintenant, les pires souffrances de sa toute jeune vie. Comme toutes les bites étaient sorties, ce ne fut pas difficile d'établir un ordre de passage. Mais même le moins bien membré avait quand même un sexe de taille normale, et la pénétration s'annonça difficile. Le premier soldat se positionna devant le petit orifice anal de la fillette, orifice minuscule, tout rose et plissé. Il appuya son gland avec les encouragements de ses camarades, la petite pleurait sans s'arrêter, mais nul ne s'en souciait, il força, poussa de toute sa force, ce fut un échec. Alors, le soldat commença à s'impatienter, il saisit les bords de l'anus avec ses deux pousses, planta ses deux phalanges dans le trou et tira fort en poussant avec son sexe. La très jeune gamine arrêta de pleurer une seconde, sa voix comme étouffée par la douleur, et elle reprit de plus belle, la bite de l'homme était entrée. Ses camarades l'acclamèrent, pourtant juste le gland avec le prépuce avait passé le sphincter. Cela semblait suffisant pour le soldat puisqu'il entreprit de petit coups de reins dans le corps de la fillette attachée, après quelques ruades, la prise était si serrée autour de sa verge qu'il éjacula dans le rectum enfantin. Le second soldat plaisanta sur le fait que son compagnon avait eu du mal à sortir, mais il le remercia d'avoir laissé du lubrifiant. D'ailleurs celui-ci fit mieux, un bon quart de bite pénétra dans l'anus de la petite aux jambes écartelées, il poussa, poussa encore, la gamin gueulait des << maman >> entrecoupés de sanglots. Mais sa mère à moitié morte ne pouvait rien faire, de là où elle était, elle ne pouvait qu'entendre les cris de sa petite fille de deux ans, les bruits de frottement lorsque les hommes tentaient de forcer le passage en elle - on avait placé les micro de façon ingénieuse - et les commentaires salaces de ceux qui attendaient leur tour. Tu vois, elle adore se faire défoncer, la petite pute, vas y fais la bien gueuler cette chienne... Cependant, l'un des soldats se lassa d'attendre, et des cris de la petite, il se mit en équilibre précaire sur le plateau à tréteaux et mit d'autorité son sexe dans la bouche de la fillette de deux ans. Elle tenta bien d'éviter le contact avec la verge de l'homme, mais attachée comme elle était, il lui fit tourner la tête de côté et s'engouffra sans ménagement. Dès lors on entendit plus que des cris étranglés. Le second soldat s'acharnait encore sur l'orifice trop étroit lorsqu'il n'en put plus de se retenir et se vida les couilles à inonder tout son cul. D'ailleurs, lorsqu'il se retira , de gros tas de foutre s'échappèrent du trou béant pour s'écraser sur le sol. L'anus lui même n'était qu'une cavité aux contours rosés avec une vue sur un conduit rouge au début et rose plus avant dans la partie encore étroite, avec une petite flaque de sperme blanc clapotant sur le fond. Le troisième soldat, après avoir observé le travail de ses prédécesseurs, s'engagea dans le sphincter défoncé. Dès le premier va et vient, il constata que son sexe était souillé de sang et donna une claque rageuse sur les fesses minuscules, laquelle laissa la trace écarlate de sa main. Lui, décida le passage en force, simplement, et ramona le rectum de la gamine, qui tentait toujours de hurler et de respirer avec la bouche autour du sexe gonflé d'un autre homme. Ce dernier s'énervant à la t che, dans sa position déséquilibré, toute la table tremblait. Allez prends le bon biberon aryen, petite cochonne, fait ton boulot, sale pute, sinon je vais te péter tes dents de lait. Comme il gardait son gland au niveau de la glotte de la fillette, elle pouvait difficilement le mordre, mais il ne prit pas le risque et, dans sous l'effet de l'excitation, il décocha un coup de poing au visage de la petite. Un affreux craquement retentit dans tout le camp, du sang commença à couler en ligne du nez poupin de l'enfant, et des éclats de dents dégringolèrent de ses lèvres éclatée sous l'impact. Elle était évanouie, au même où le troisième << amant >> de la toute petite fille grogna et éjacula à son tour droit dans le petit cul, sans avoir trop avancé dans l'exploration anal du sujet. Le sergent qui avait failli étouffé Rachel, se présenta devant les fesses de la toute jeune évanouie, il vérifia vaguement si elle respirait encore, elle respirait, alors il ne perdit pas de temps. Il attendit encore que l'auteur du coup de poing soit descendu après considéré le visage rond et meurtri de la fillette inconsciente, il prit son souffle et dit aux autres qu'il allait leur montrer comment s'y prendre avec les salopes de deux ans. Et il fit sa démonstration. Est-ce parce qu'elle était évanouie et donc plus relaxée, ou était-ce tout simplement parce le sergent se montra plus décidé, toujours est-il qu'en un seul mouvement continu on le vit forcer le fond du passage, et soudain, son sexe avança bien de deux centimètre en avant puis deux encore, par à coups saccadés, comme s'il ouvrait des portes à grands coups de pied. Et lorsque le sergent sortit son sexe, il emmena avec lui une éruption de sang artériel mêlée de sperme blanc, son propre sexe était tout rouge et poisseux, il dit simplement aux autres qu'il fallait se presser un peu maintenant. Et, comme pour montrer l'exemple, il remit rapidement son pénis et commença à limer le conduit déchiré comme s'il s'agissait de sa propre main. En quelques instants, son sexe ressortit définitivement du trou du bébé avec une grosse lampée de foutre rosé qui tomba sur le sol. Les deux suivants firent donc assez vite, leurs sexes étaient plus gros que celui du sergent mais la voie était devenue assez aisée. Enfin, les bourrades du premier réveillèrent la gamine, mais au lieu de hurler et de pleurer, elle se contenta de respirer très fort en serrant les lèvres sur ses dents cassées. Elle avait atteint la cime de la douleur, celle où les enfants n'expriment plus rien. Le dernier homme avec son sexe déjà très conséquent acheva le travail commencé, il pris la fillette attachée par la taille en la soulevant légèrement, enfilant en un seul coup son sexe épais, ceci eut pour effet de déchirer le sphincter, jusqu'à la vulve et au coccyx, sur plusieurs millimètres. Il prit ensuite son plaisir en une multitude de coups secs, restant au fond à taper contre la butée, et il insultait la toute petite fille entre ses lèvres : << ah petite pute, tu en veux encore, tu aimes ça ... >>, puis il éjacula à l'intérieur, la pression faisant ressortir du sperme sur les côtés avant même qu'il ne se retir t. Il ne restait plus que Kruger et Shpunz. Ce dernier portait son cadeau, qui chouinait encore à cause des cris de l'autre, lui, lui caressait ses fesses roses avec de plus en plus d'excitation. Son sexe énorme pointait vers le ciel, certainement aussi dur au toucher que le roc. Le ,lieutenant s'approche de la fillette martyrisée encore attachée à la table. Son anus n'était plus qu'un vaste trou qui laissait voir l'entrée esquintée de son côlon dans le fond plein de foutre et de sang. Deux lignes écarlates stigmatisaient le tour de la cavité en haut et en bas. Elle respirait difficilement et geignait doucement. Un cul dans cet état ne l'intéressait pas, il avait toujours pour objectif la fente de la fillette. Il n'en était pas à son coup d'essai, loin de là, déflorer un bébé n'était pas aussi difficile pour un connaisseur, à condition de ne pas tenir beaucoup au dit bébé. Un amateur aurait mis un doigt pour ouvrir mais il se g cherait le plaisir de passer l'hymen. Le vagin d'une fillette de cet ge ne faisait que quelques centimètres de long, l'obstacle principal était le resserrement, le périnée immature, mais en forçant assez, avec un peu de lubrifiant et une bite d'acier, on arrivait à tout. Or, s'il n'avait pas la bite la plus conséquente de tous, Kruger s'était tenu tranquille pendant que les autres prenait le cul de la petite pute juive, son sexe était aussi dur que possible, et un peu de sécrétion méatique sur son gland allait l'aider dans l'entreprise. Il se tourna vers la foule et montra son sexe turgescent puis, il se cala fermement entre les deux petites cuisses tendue vers l'arrière. Il agrippa les lèvres extérieures et intérieures en même temps avec deux doigts, le pouce et l'index de chaque côté, colla son gland contre l'orifice refermé, prit une inspiration, fit deux petits contacts humide sur le repli du clitoris du bébé pour ajuster sa visée, et ... il poussa de toutes ses forces. Herns était aux premières loges, il se disait que cela devait tout de même être plaisant. Sentir la micro vulve repoussée sous l'impact, la résistance d'un trou minuscule, puis l'ouverture violente, le déchirement de la chaire douce et fragile, l'éclatement de la membrane immature, le frottement à la fois douloureux et jouissif contre les muqueuses de la paroi soyeuse d'un vagin écartelé et écorché au passage, puis la butée, encore et encore contre laquelle on ramène et on retire les tissus déchirés. Le grand << flop >> résonna longtemps dans les hauts-parleurs, ainsi que le dernier cri de la gamine, puis les ahanements de Kruger en train de limer se petit corps qui bougeait avec toute la table jusqu'à menacer l'équilibre de l'ensemble. Ah sale petite pute, tu la voulait ma bite dans ta chatte juive, depuis le début tu voulais que je te défonce avec mes soldats, comme une bonne salope de sous-race de merde ! Et il jouit, dans l'orifice déchiré. Quand il se retira, le vagin immature était exposé, une poche sanglante, rien de plus, complètement dilatée, une des lèvres intérieures pendait un peu comme un lambeau, les anneaux du conduit ne ressemblaient plus à rien, le col de l'utérus même semblait décalé, la vulve massacrée dégoûtait de foutre et de sang. Dans le petit peuple du camp, il n'y avait pas de protestations, juste des sanglots étouffés. Le docteur Shlosser avait laissé mourir sa patiente au moment où Kruger s'était retiré de la fillette agonisante, il prenait à présent des notes rapide sur son carnet en fixant l'entre-jambe des déportés hommes du camp, notant le matricule tatoué sur leurs bras. Herns Stein, lui, était au comble de l'excitation, un plaisir de voyeur sadique. Mais, il restait un dernier numéro à ce spectacle. On dégagea la petite de deux ans inanimée pour la laissée de côté sur l'estrade. Puis Le caporal Shpunz déposa doucement le bébé, qu'il portait depuis tout à l'heure, sur le ventre. La fillette d'un an n'était pas attachée, le caporal saisie juste les poignets de la petite pour les tenir d'une main dans son dos, la forçant à se cambrer. A ce moment, elle commença à se débattre et à pleurer plus sérieusement, Shpunz, très calme, coinça son gland énorme entre les fesses minuscule de fillette blonde. Puis, il se tourna vers les musiciens du camp, qui n'avaient rien joué depuis le matin, tel un chef d'orchestre il leur fit signe. Juste au moment de la première note, il saisie l'épaule du bébé avec sa main libre et d'un coup sec enfonça son vit disproportionné dans l'anus de la petite fille. Il y eut un bruit horrible dans les hauts parleurs, un craquement du cartilage du bassin ? Mais la gamine, bien vivante gueulait à s'en faire péter les tripes, pas un cri, une sorte de vagissement de nourrisson. Et la musique jouait plus fort, au fur et à mesure que le caporal donnait ses coups de reins en rythme << heidi heido .. >> flap, flap, des hurlements, quelle douce musique aux oreilles de Herns ! Et plus le rythme s'accélérait, plus le caporal ramonait en tirant sur les bras et le dos du bébé, le petit corps était soulevé de la table, empalé sur le sexe de l'homme ... << Heili ... Heilo ... Heila ... >>, flap, flap, flap ... Et quel timing ! après trois minute de musique, le bébé cessa de hurler, respirant encore, mais à peine. Shpunz choisit ce moment pour se retirer, la moitié, au moins, de son énorme membre, couverte de sang écarlate, il se désengagea avec un flop, laissant tomber de petit jets rouges sur le sol, et il mit la fillette d'un an latéralement sur la table, présenta son vit devant le visage inconscient. Il ouvrit de force la bouche avec deux doigts de la main gauche et se masturba rapidement de la main droite. Soudain, les jets ininterrompus commencèrent à inonder la bouche immature, à s'accumuler rapidement avec un léger clapotis, puis à déborder sur le collier de chien et le cou du petit être évanoui. Et les jets continuait comme une artère sectionnée, alors le caporal changea sa visée et toujours en se masturbant et grognant, trempa tout le petit corps du bébé. Tous les officiers et les soldats présents avaient souillé leurs uniformes de sang et de leur propre semence, ce n'était pas conforme au règlement, mais Herns adorait ce genre d'événement propre au camp. On jeta les corps inanimés des deux bébés sur un tas de cadavres à brûler. Si elles étaient encore vivantes, Herns s'en fichait éperdument. Il devait se vider les couilles, aussi il ne supervisa ni le nettoyage de l'estrade, ni l'évacuation du troupeau de la sous-race juive de son camp. Après le spectacle de l'après-midi, le colonel Stein avait un besoin pressant de se vider. Il attendit qu'on envoie les travailleur du camp au travail, ceux-ci devaient bien abattre ce qui n'avait pas été fait dans la journée, puis il alla jusqu'au baraquement où il avait laissé son nouveau jouet la veille. Dans le b timent vide, le petit juif au cr ne rasé était seul. Il portait un pyjama du camp fait à sa taille, veste en lin rayé sur son torse nu et un pantalon de la même toile attaché avec une ficelle. on lui avait même fourni des petits sabots à sa pointure. Il tenait une couverture élimée sur ses épaules grêle, grelottant, tout recroquevillé sur lui-même. Quand l'officier allemand ouvrit la porte avec fracas, l'enfant ne cilla pas, ses grands yeux gris restèrent à fixer le vide devant lui, comme si la terreur, ou une sorte de courage insensé, l'empêchait d'appréhender toute l'horreur de sa situation. Le tableau était charmant. Herns n'en pouvait plus d'attendre, il devait salir ce petit être fragile. Il s'avança à grand pas vers la paillasse où était assis le garçonnet et le pris sans ménagement par la nuque pour le pousser sur le sol. L'enfant se roula en boule immédiatement, de peur de se faire frapper encore. Mais, Herns Stein n'avait pas la force de s'amuser. Il attrapa à nouveau le garçon et le força à se mettre à genoux devant lui. Les yeux écarquillés, le visage un peu plus rose que la veille, l'air plus alerte, l'enfant attendait les ordres de son tortionnaire. Le colonel, déboutonnant sa braguette, n'eut que ces quelques mots : Prends mon sexe dans ta bouche et suce fort. Cela avait été dit avec une telle autorité et un œil si mauvais que le petit garçon obéit immédiatement. Avec un léger air de dégoût, il avança ses lèvre fines vers le gland déjà dégoûtant de liquide séminal, ouvrant la bouche pour prendre le sexe de l'homme. Ses joues se creusèrent lorsqu'il commença à sucer le bout de la bite de l'allemand, comme si sa vie en dépendait. Et la sensation était déjà délicieuse, il y avait dans chaque succion une sorte d'urgence, c'était tout ce dont Herns avait besoin. Celui-ci mit la main sur la tête du petit suceur, appréciant la douceur du duvet qui lui restait sur le cr ne. Et maintenant, tu vas me branler avec ta bouche en me suçant, là comme ça, avance et recule. Dit-il dans un souffle. Et surtout avale bien tout ce qui sort, sinon je t'écrase ta petite gueule avec ma botte ! Le fellation était très rudimentaire, la main de l'homme forçait les mouvements de va et vient de l'enfant, et les lèvres de ce dernier devenaient plus roses et humides au fur et à mesure qu'elles se collait au pénis de l'officier. Plus Herns sentait la jouissance monter, plus il appuyait, à chaque fois le garçonnet prenait un centimètre de plus dans la bouche. La bite d'homme menaçait déjà de pénétrer dans la gorge, l'enfant respirait fort par le nez, avalait au fur et à mesure le liquide abondant que produisait l'homme qui s'était retenu tout l'après-midi. Slurp, slurp, slurp, le bruit était délicieux. Quant le colonel retint un peu la pression sur sa main, il s'aperçut que le petit garçon n'en arrêta pas moins de pomper, d'aspirer et d'avaler autant qu'il le pouvait. La tête de caillou, recouverte de duvet blond, bougeait à présent toute seule entre ses jambes, Il pouvait sentir les lèvres humides frotter nerveusement contre sa peau et son gland décalotté, en contact avec un bout de langue r peux. Encore quelques mouvements de pompage désespéré et il n'y tint plus, il remit sa main poussa un peu, son sexe se tendit pour envoyer son foutre dans la bouche minuscule. L'enfant avala ce qu'il put sans réfléchir, mais du sperme s'échappa par la commissure de ses lèvres hermétiquement fermées. Et, quand Herns Stein retira son chibre avec un plop sonore, le garçon avait le menton tout dégoulinant. Il essaya de garder la bouche close, d'avaler ce qui lui restait dans la bouche. Son air de dégoût mêlé à la panique de ne pas obéir aux ordres de l'homme créait sur son visage tendre, un contraste tout à fait adorable. Herns, le sexe mou encore sorti de son pantalon, envoya une gifle retentissante au visage du gamin, le coup l'envoya se coucher à un mètre de là, gémissant de douleur. Puis, l'officier allemand rangea son attirail et alla près du garçonnet, il lui passa la main sur la bouche, récupéra les tra"nées de sperme qui stationnait là, il les ramena doucement entre les lèvre du petit garçon. Celui-ci lapa gentiment, malgré la douleur et avala comme il put. Herns Stein eut un sourire malicieux. Je devrais te battre à mort, là, maintenant pour avoir laisser échapper le foutre de race pure, mais je vais te laisser encore une chance de faire tes preuves. Alors, l'officier allemand prit l'enfant par dessous le bras et l'emmena à l'extérieur. Avant de poursuivre ses plans pour le petit garçon, il se fit une réflexion. Les juifs du baraquement avaient trouvé en une nuit de la nourriture, mais aussi du tissu et même du bois pour faire des vêtements, où ils en avaient confectionnés bien avant. Cela ne voulait dire qu'une chose, que ces détenus avaient volé des ressources, on ne sait où, et qu'ils avaient cru lui faire plaisir en les utilisant pour habiller son protégé. S'ils espéraient obtenir un sursis, ils se trompaient lourdement. Le colonel Stein fit signe à un garde qui se tenait en faction non loin : Quand ils seront rentrer cette nuit, condamnez les issues, brûlez le b timent ! Sans même savoir si son ordre avait bien été noté par le soldat, il tira de nouveau son jouet sexuel à travers le camp. Son idée était simple, il voulait tester les aptitudes du petit sur d'autres hommes. Il emmena le garçonnet vers l'enceinte extérieure du camp, là, entre chaque ligne de barbelés, des postes de garde abritaient chacun un soldat qui devait se tenir dans le froid pendant trois heures au garde-à-vous. Quand l'officier et son colis arrivèrent au premier garde, la nuit d'hiver tombait déjà sur le poste, seul un brasero de fortune éclairait le garde dans sa guérite. Celui-ci se laissa surprendre par l'arrivée de son colonel. Il se détendait les jambes en se les étirant, mais il se remit bien vite droit comme un i lorsqu'il reconnut la personne qui s'approchait. Les gardes de l'enceinte étaient toujours de jeunes recrues SS, les moins aguerris et les moins cruels. Ce jeune homme devait avoir dix-huit ans, tout au plus, un grand échalas blond, nerveuxn en uniforme et manteau d'hiver noir. Herns laissa le garde comme il était, sans lui dire << repos >>, il était très bien comme cela, au garde-à-vous. Je t'apporte un peu d'amusement, dit-il simplement, en amenant le petit garçon devant lui. Et toi, suce le ! Cette fois n'en perds pas une goutte ! Le jeune soldat eut un air de protestation, mais le regard mauvais de son officier fit qu'il ne leva pas le petit doigt. Le garçonnet n'eut même pas à se baisser beaucoup tant il était petit. Après un instant d'hésitation, il entreprit de défaire le ceinturon du garde et de baisser sa braguette. Il en sortit un sexe mou, d'une taille somme toute moyenne, et regarda vers l'officier d'un air interloqué. Visiblement, le jeune soldat n'était guère attiré, de prime abord, par les petits garçons. Eh bien débrouille toi ! Branle le, lèche le ! Je veux qu'il bande ! Sinon, je te garantis que tu vas déguster avant de crever ! Le garde restait aussi impassible qu'il le pouvait, le garçon, grelottant dans le froid de la nuit hivernale, commençait pourtant à lui tirer sur la peau pour le décalotter et à lécher le bout de gland ainsi découvert. Il y avait dans ses gestes quelque chose de désespéré, il regardait le jeune homme comme pour le supplier de bander, et celui-ci fixait toujours un point devant lui. Mais, heureusement pour l'enfant, la nature reprit rapidement ses droits, ses petit coups de langue vinrent à bout des inhibitions du garde. Quand le garçon prit le début d'érection du pénis entre ses lèvres étroites et commença à suçoter, la suite ne se fit pas attendre, le sexe grossit dans sa bouche. Une bite de bien quinze centimètres, plutôt fine et avec un gland qui resta longtemps prisonnier de la gangue du prépuce. Quand le gamin eut enfin le sexe dressé dans sa menotte, il le regarda un peu et l'enfourna d'un coup, cette fois, dans sa bouche. Était-il fier, ou juste soulagé ? Qu'importait à Herns Stein, l'enfant associait l'érection du garde à sa survie, cela ouvrait des perspectives intéressantes. D'ailleurs le spectacle était charmant. La lumière du brasero laissait voir ce petit garçon, un peu baissé, sur le sexe du garde raide comme un piquet. L'enfant tremblait de froid et, pour oublier son inconfort, il s'acharnait sur la bite qu'il suçait. Ses joues étaient creusées par l'effort, il accompagnait ses va et vient de succion en branlant le jeune homme en rythme avec ses deux mains refermées sur le membre. De temps en temps il relevait un peu la tête pour observer l'effet sur le visage du factionnaire. On aurait dit qu'il voulait vraiment faire éjaculer l'homme dans sa bouche, pour bien montrer à l'officier qu'il ne perdait rien. Le garde, lui, commençait à avoir des sueur froides malgré son lourd manteau d'hiver, il serrait les dents mais ne pouvait empêcher le plaisir de monter en lui. Après quelques minutes le petit garçon s'acharnait tellement à faire jouir le jeune SS, qu'il ne faisait plus attention à se protéger du froid. Suant un peu dans l'exercice, sa veste de pyjama restait béante sur son torse, son pantalon de toile descendit un peu, révélant sa chute de reins triangulaire et un bout de ses fesses blanches. Soudain, la posture du garde-à-vous se fit plus rigide, il y eut un léger claquement de botte, on entendit un bruit prononcé de déglutition quand le garçonnet avala la semence du garde. Le pénis était enfoncé à moitié dans la bouche, la peau visiblement tirée en arrière en petits plis, deux trois jets continus, apparemment. Pas la moindre goutte ne s'échappa des lèvres nerveusement resserrées du gamin. Lorsqu'il retira le sexe de sa bouche, il le rangea tant bien que mal, dans le pantalon de l'homme et remit le ceinturon. Herns ressentait une certaine fierté malsaine à l'égard du garçon, il n'avait pas montré de dégoût en avalant, il se tenait maintenant la tête baissée, soumis, si l'on oubliait un espèce d'air déterminé sur son visage, et la lumière vacillante du feu laissait appara"tre le rouge sur ses joues p les. Mais, le calvaire de l'enfant ne s'arrêta pas là, le colonel Stein voulait poursuivre sa nouvelle expérience jusqu'au bout. Il avait l'habitude de prendre ses nouveaux jouets, de les violer brutalement avant de les rendre à leur destin, pourtant ce garçon si jeune, prêt à tout pour survivre un peu plus longtemps, lui donnait des idées. Jusqu'où irait ce gamin dans la soumission ? Herns voulait l'humilier, le salir jusqu'à ce que le petit n'en puisse plus. Mais, il le ferait progressivement, doucement, pour profiter de la souffrance psychologique et physique du garçonnet le plus longtemps possible. Seulement ensuite, il le reconduirait lui-même jusqu'aux chambres à gaz. Herns Stein conduisit le petit garçon à deux autres gardes ce soir là. Le même cérémonial se produisit : le garde, s'attendant à une inspection surprise, faisait claquer ses talons, le colonel poussait le garçon vers lui, et les petites mains grêles sortaient un sexe mou pour le branler doucement avec sa bouche. Comme la position du garde changeait selon la configuration du poste de surveillance, les postures du garçon se révélaient plus ou moins confortables. Il avait réussi à remonter son pantalon de toile, tenu par une ficelle, mais celui-ci redescendit à mi fesses, il se tordait pour rapprocher son petit cul vers la source de chaleur du brasero de chaque poste, mais comme il n'était pas toujours au même endroit, le garçon finit par prendre froid. A la troisième fellation custodiale, Herns se plaça un peu sur le côté pour regarder les traits de la mignonne tête blonde. Les joues creusées dans l'effort de succion, tout l'avant de son visage se déformait vers l'avant, ses lèvres rose p le collées au membre viril pour ne rien perdre. Comme le colonel se tenait plus près, le garçonnet s'appliquait et faisait plus d'efforts, l'œil bleu gris en coin vers l'officier, comme pour en obtenir une approbation. Stein entendait la respiration nasale du garçon se faire de plus en plus difficile, un peu de mucus clair s'écoulait déjà de ses narines rondes, de petits soubresauts témoignaient d'une envie contenue de tousser. Dans sa rage de survivre le bout-de-chou allait mourir étouffé. Mais, l'éjaculation miséricordieuse du troisième garde éclaboussa la glotte de l'enfant juste à temps, celui-ci put reprendre son souffle. Le petit garçon se recula sur les genoux, tête baissée, bouche fermée, luttant pour avaler sa dernière rasade de foutre. A ce moment, une quinte de toux le prit, du sperme sortit par le nez, mais rien ne quitta sa bouche. Le colonel SS l cha un << repos soldat >> et laissa le garde ranger son appareil dans son pantalon. Il souleva ensuite le gamin et le mit sans ménagement sur son épaule comme un sac à patates. Herns, se rappelant de son ordre de la fin d'après midi, décida d'emmener directement le petit suceur de bites à ses quartiers. Pendant tout le trajet, la tête de l'enfant tremblant de froid et de fièvre tapait contre le dos de l'officier, à un moment même il y eut un bruit étranglé et il l'entendit s'empêcher, en vain, de vomir le foutre qui remontait de son estomac. Bien sûr, il faudrait penser à lui faire nettoyer ça avec la langue, un colonel SS ne pouvait se permettre de garder ce genre de trophée sur son manteau d'uniforme, d'autant que les traces blanches se voyaient beaucoup sur le noir. Mais, il était de bonne humeur, et magnanime, il attendrait que les tra"nées sèchent un peu avant que le petit ne se brûle la langue à les nettoyer. Herns Stein, en temps que dirigeant du konzentrationslager , vivait seul, dans une maison assez spacieuse, aux abords du camps, il employait une vieille bonne méchante et revêche mais efficace et un chauffeur militaire. Il porta son paquet aux cuisines et le posa violemment sur la table rustique qui trônait au milieu de la pièce. La vieille Inga, sa servante, poussait les braises dans le poêle en surveillant d'un œil une casserole qui fumait sur la cuisinière à charbon en fonte. Elle leva son gros derrière de sa position accroupie, remit ses jupons en place et poussa un grand soupir f ché. Il est bien jeune celui-là, et, ma parole, il est malade ! Combien de temps suis-je censé le garder debout cette fois ? Son ton était sec et cassant, elle avait à moitié soulevé l'enfant par le bras comme pour peser un morceau de viande trop maigre. Bien, efforcez-vous au moins à ce qu'il passe la nuit. Lavez-le, nourrissez le un peu, virez moi ces frusques et attachez le au lit quand vous aurez fini. Ah, et mettez lui le collier de cuir que j'aime bien là, savez celui pour les chiens de petite taille. La vieille servante , haussa les épaules. Elle pris le gamin tremblotant et malade par l'oreille et le jeta devant le poêle. Mets toi donc là salopiaud, le temps que je finisse le souper et bouge pas, crasseux ! Quant à vous, monsieur, je comprends que quelqu'un de votre importance ait besoin de distraction, mais ça me donne du travail en plus ! Et ils sont de plus en plus jeunes et en mauvais état, je vais devoir faire un trou de plus pour la boucle de votre collier, si c'est pas misérable ! Un si beau cuir. Le colonel, habitué aux ruades de sa domestique, ne releva pas les critique et monta au premier dans sa chambre spacieuse où un grand lit à baldaquin en bois massif prenait une place considérable. Il retira son uniforme, le jeta sur les couvertures et prit ses vêtements de ville sur une crédence près de son grand miroir. Il alla revêtir sa veste d'intérieur fourrée, posée sur une chaise capitonnée, près de la fenêtre puis, se préparait à descendre pour le repas quand il aperçut une lueur dans le camp en contre bas. Les soldats avaient obéi à son ordre, l'un des baraquements flambait dans la nuit. Herns alla chercher un cigare dans une bo"te posée sur une commode ancienne et s'installa sur la rambarde de la petite loggia aménagée à sa fenêtre. A cette distance, le spectacle restait magnifique même s'il n'entendait pas les hurlements des quelques cinquante hommes condamnés à mourir dans les pires souffrances. Le brasier montait haut dans le ciel froid et illuminait les silhouettes des gardes armés de mitraillettes répartis autour du baraquement afin d'éviter toute propagation de l'incendie, et surtout la fuite inopinée de l'un des détenus. Le colonel Stein fumait doucement dans l'air revigorant de l'hiver d'Europe de l'est et admirait le chemin des flammes vers le ciel, comme un grand enfant devant un numéro de cirque. Le son des cris d'horreur lui manquaient, bien sûr, la douce musique de l'humanité sacrifiée, mais la vue était imprenable et il apaisait son me de mélomane en se disant qu'il ne manquerait pas de faire hurler l'enfant juif jusqu'à l'aube. Quelques temps plus tard, quand la voix d'une Inga impatientée vint le sortir de ses rêveries, il descendit pour manger. De la soupe épaisse à base de chou-fleur, de la viande fumée et des haricots accompagnés de bière : un repas frugal pour le soir. Il sirota son café, pensif, puis remonta pour se coucher. Pendant le temps du souper sa vieille servante s'était absentée pour préparer le petit garçon pour la nuit. Quant il remonta dans sa chambre, l'enfant était nu, toujours tremblant, un peu mieux pourtant, il se tenait assis en prostration, un gros collier de cuir ferré ceint autour du cou et une cha"ne l'attachant à l'un des montants du grand lit. Le garçon avait encore une oreille rouge des manières qu'avait Inga de conduire les enfant, Herns trouva amusant de le prendre par la même oreille pour le relever et le jeter sur le lit. Il quitta ses vêtements, son sexe pointait déjà comme un forcené. Il mit l'enfant sur le ventre, sur le coin du lit, de façon à ce que ces jambes restent dans le vide et que son cul blanc adorable soit rehaussé par la position en porte à faux. Le garçon se laissait disposer comme une poupée de chiffon, l'air un peu renfrogné, mais docile. Stein savait que cela ne durerai pas. Il redressa la tête du gamin en le tenant par le haut de la cha"ne, lui fit remarquer le panache de fumée par la fenêtre et lui dit à l'oreille qui était mort ce soir et que ce serait bientôt son tour. Puis, il écarta un peu les fesses à la peau de pêche et introduit son sexe turgescent complètement à sec dans l'orifice garçonnier. Étonnamment, le gland assez gros du colonel entra de suite, le petit n'était plus puceau de ce côté là depuis la veille. C'est là l'avantage des pénétrations forcées, elles sont salissantes et créent des séquelles physiques mais elles permettent de ne pas avoir à redilater à chaque fois l'anus immature. Cependant, le reste du conduit s'était refermé depuis la première fois et la pénétration devint plus difficile, d'autant que l'enfant tendit tout son corps sous l'effet de la douleur, il restèrent un peu bloqués une minute. Mais, Herns Stein poussa si fort qu'il réussit, en un seul coup de reins, à réinvestir de force toute la cavité étroite. Le garçonnet remplaça le cri silencieux qui habitait son visages par un véritable hurlement de souffrance quand il sentit toutes ses meurtrissures, blessures et irritations internes se rouvrir et se réveiller, ensemble. Ses mains minuscule saisir les couvertures ; il essaya d'étouffer ses cris en enfouissant son visage, mais celui qui s'enfonçait profondément dans son rectum voulait l'entendre beugler, et il d'une torsion sur son collier de cuir il maintint sa bouche à l'air libre. Bientôt, gr ce au liquide séminal et, à un peu de sang dans le boyau, Herns put bouger, ramonant plus à son aise, il en profita pour pilonner le pauvre petit juif comme il l'aurait fait d'une vieille pute. Le garçonnet, écrasé et crucifié sur le lit, pleurait maintenant à chaudes larmes et criait sous les coups de boutoir de l'adulte. Le colonel se repaissait autant de l'acte sexuel en lui-même que de la souffrance et de l'humiliation qu'il infligeait à un garçon qui ne devait pas avoir plus de huit ans. Taraudé par le plaisir intense du viol qu'il commettait, il éjacula après un quart d'heure d'enculage féroce. Soufflant comme un bœuf, Herns roula sur le côté, vidé. Mais, la nuit n'était pas terminée, loin de là, et il savait comment se revigorer. Se redressant sur le côté, il saisit le petit garçon par la taille et ramena vivement son dos contre son ventre. Le corps frêle et soyeux du garçon contre son torse velu d'adulte lui procura comme un picotement électrisant le long de son échine. Ses mains rugueuses semblaient énormes sur ce torse imberbe, ce contact lui donna une impression de puissance. Il commença à caresser la poitrine étroite du garçonnet, sans délicatesse, il emprisonna les tétons roses entre deux doigts de chaque main et malaxa la peau diaphane avec ses paumes. L'enfant, pleurant toujours à cause des douleurs du coït anal, se tordait légèrement sous la gêne de cette étreinte. Puis, les mains de Herns descendirent sur le ventre lisse en tirant sur le derme fin de sa victime. Un instant pour pincer les muscles qui roulaient sous la peau, un instant pour torturer le nombril qui ressortait un peu. Enfin, il fit glisser sa main droite sur le pénis circoncis. A la lueur de la lune, la petite chose de quelques centimètres se dressait, blanche et rose, comme si la gêne et la souffrance ne pouvaient éteindre l'appel de la nature. L'allemand tritura les bourses vides et toutes douces du garçon et s'attarda sur la tige rigide pour la masturber rudement entre le pouce et l'index. Il n'y avait rien à décalotter, mais en resserrant la pulpe de ses doigts sur le gland dénudé, il pouvait faire tressaillir le corps impubère dans des soubresauts de plaisir et d'inconfort mêlés. Il vint une idée à Herns Stein. D'un seul mouvement il rejeta le petit garçon blond sur le bord du lit et se relevant à moitié, il enfouit sans prévenir son visage mal rasé entre les cuisse grêle de l'enfant. Il prit dans sa bouche le sexe minuscule et les bourses, les gobant entre ses lèvres. Il laissa ensuite glisser les testicules pour ne garder sur la langue que le pénis en érection. L'enfant frémissait, il continuait à pleurer et à geindre mais ses sanglots tiraient plus sur un gémissement long et fatigué. Herns se mit à sucer en gardant le membre entier dans sa bouche, il n'y alla pas crescendo, attentif au plaisir de son partenaire, mais comme un fou, comme une pompe, et seulement alors il fit des va et vient violents avec sa tête. Les cuisses enfantines se serrèrent un peu et après quelques instants le bassin du garçonnet donna un léger coup alors que la jeune bite envoyait de petite pulsations sur la palais de l'homme. L'enfant venait de jouir pour la première fois, il resta à le sucer encore pour que ce plaisir soit suivi d'un peu d'irritation, puis, il quitta la pose pour regarder le visage baigné de larmes, les joues rouges et les mains mollement ramenées sur les yeux, comme pour en cacher la honte. Le micro sexe du blondinet était flasque, revenu à l'état de bouton violacé sous son abdomen. La bite du SS, elle, avait retrouvé toute sa rigidité. Herns eut un sourire sadique, il dit au petit juif : La deuxième pénétration successive est toujours la plus douloureuse, surtout quand on vient de jouir. La nuit promettait d'être longue, car Herns Stein connaissait toutes les manières de faire souffrir un enfant par le cul. Et, alors que la fumée finissait de monter du tas de cendre qu'était devenu l'un des baraquements du camps, on entendit raisonner pendant plusieurs heures les hurlements et les pleurs d'un jeune enfant mis au supplice. Les jours défilaient, le petit garçon survivait aux traitements que lui faisait subir Herns. Un matin le colonel apprit qu'Auschwitz était tombé au mains des russes, la ligne de front ne s'étendait donc plus qu'à quelques kilomètres de là. Il accéléra ses préparatifs, activa ses contacts, mais, pour le reste, il fit comme si tout allait bien, continuant à recvoir quelques convois de l'ouest, vacant à ses devoirs de commandant. L'une des t ches à qui incombait au directeur d'un camp de concentration était de superviser les études scientifiques qui portaient sur les sujets juifs. Le colonel Stein n'aimait pas cette partie de son travail, mais il était un homme de devoir et savait qu'il ne pouvait y échapper. Alors, ce matin-là, il attacha son petit compagnon au lit avec sa laisse de manière ne pas l'étrangler, mais sans lui permettre pour autant d'aller jusque sur le matelas, il prit son uniforme repassé par Inga et partit de bon matin vers la krankenstation, qui servait plus de laboratoire que d'infirmerie au docteur Shlosser. L'infirmerie en elle-même était le seul b timent en briques à l'intérieur du camp. Une petite maisonnée comportant deux pièces, l'une servant de bureau de consultation au bon docteur et l'autre lui servant pour ses expériences, un peu plus grande et chichement meublée. Devant l'entrée, trois gardes du camp encadraient une petite file d'hommes en pyjama qui tremblaientt dans le froid du matin hivernal. Une expérience était donc en cours, elle devait avoir commencé en pleine nuit. S'il est bien une chose que Herns ne pouvait reprocher au docteur c'était bien son manque de travail. À son arrivée, les gardes bousculèrent le petit groupe d'hommes maigres pour laisser passer le colonel. Ce dernier entra par la porte qui donnait directement sur le laboratoire du docteur Shlosser, qui vint le saluer avec un sourire fatigué. Il avait installé dans cette grande pièce une table de bois simple et deux chaises dans un coin pour observer le sujet de l'expérience. Le sujet en question était une petite fille d'environ huit ans, attachée par des liens de cuir aux pieds de la table, à plat ventre et complètement nue. Ch tain, la peau diaphane et le corps rendu très fin par la malnutrition, elle gardait encore des fesses d'enfant un peu rebondies et de petites joues rondes soutenant ses yeux marrons. Seulement, son visage tourné vers eux semblait inexpressif, et sa bouche bavait un peu, ses grands yeux étaient rouges d'avoir beaucoup pleuré et rendus vitreux par la fatigue. Ces liens la maintenaient bras et jambes très écartés avec son bassin un peu relevé sur le bord de la table, une cale en bois ayant été glissée sous son ventre. Mais ce qui frappa surtout le colonel, quand il fit le tour pour s'asseoir, ce fut la vision du cul de la fillette. Ses fesses était très écartées, rouge d'irritation comme si l'on avait frappé dessus avec une pelle, elles laissaient largement entrevoir un orifice anal difforme. L'anus restait béant, les bords de la cavité étaient bleus violacés et de petites boules écarlates se formaient par endroits sur le pourtour. Les plis du sphincter n'avaient pas été seulement dilatés mais défoncés, déchirés par endroits. On pouvait voir à la lumière de l'ampoule au plafond l'intérieur du rectum, très irrité, enflé et souillée de sang. D'ailleurs, la vulve apparente sous l'organe déchiré était tachée d'hémoglobine et de sperme séché. Vous voyez, dit le docteur Shlosser une voix docte, toutes mes expériences tendent à démontrer que les juifs sont des animaux. Pendant vos séances du dernier festmalh, j'ai déjà noté que les séances de viol et de torture que vous montriez aux détenus, en excitaient certains. C'est la première preuve que ce sont des bêtes. Alors, j'ai décidé de voir jusqu'où ses sous-hommes pourraient aller dans la dépravation. J'ai extrait temporairement à la file pour les chambres à gaz cette petite chienne et je mets à disposition son cul aux juifs que j'ai remarqués depuis hier soir. C'est formidable ! J'ai ainsi prouvé que la femelle juive, quel que soit son ge, était aussi résistante qu'une vache face aux assauts d'un taureau. Ce sont tous des animaux qui ne valent pas mieux que le sort qu'on leur réserve. Pendant ce discours, Herns pensait à l'ineptie des théories fumeuses du docteur, au ridicule de ses expériences et de ses conclusions. Mais, il savait que ce genre de processus scientifique serait validé par la haute hiérarchie, comme de grandes découvertes faisant avancer la science. Il se contenta donc d'opiner du chef et regarda l'expérience se poursuivre, sachant qu'elle ne tarderait pas à finir, au vu de l'état de la gamine. Tandis qu'il réfléchissait, un garde fit entrer l'un des pensionnaires du camp et le mit devant le fessier de la petite fille avant de s'écarter un peu sur le côté. Le corps de ce pauvre type était squelettique, sa face hébétée et sa lèvre inférieure pendante lui donnait, avec son cr ne rasé, l'air d'un débile mental en cavale. Ne sachant trop que faire, il tenait le devant de son pantalon de pyjama rayé, trop l che, avec les deux mains. Il regarda d'un œil timide le garde puis le docteur et enfin la fillette inconsciente attachée à la table, le trou béant à quelques centimètres de son entrejambe. Il fixait le cratère de ses yeux globuleux d'idiot du village, tout son corps tendu semblait lutter contre ce que lui dictait son instinct bestial. À bout de force, il arrêta de lutter et laissa tomber son hayon de pantalon de pyjama sur ses chevilles. Son membre viril se dressa aussitôt, il faisait bien 18 cm de long et sa largeur surtout semblait celle du poignet du colonel. Sa peau grise parcourue de veines bleues et son énorme gland violet lui donnait l'allure d'un piston d'industrie. Le contraste entre son corps décharné et ce sexe énorme laissait les spectateurs dans une sorte de fascination. Mû par un atavisme qui lui venait du fin fond des temps, l'homme maigre embrocha d'un seul coup la gamine à demie inconsciente. Le sexe épais pénétra la plaie qu'était devenu la cavité anale de la petite fille sans difficulté, à peine y eut-il un frottement entre la peau grise et la paroi bleuie provoquant un léger plissement de l'épiderme. Du premier coup son pubis frotta contre les fesses de la gamine et les couilles pendantes frappèrent la vulve immature. Le colonel Stein comprit alors pourquoi le cul de la fillette était si rouge d'irritation : les pilosités rêches des hommes excités se frottaient à elle depuis la veille. Enfoncé jusqu'à la garde, le juif resta un moment les yeux dans le vague, bouche légèrement ouverte et bavant un peu dans un souffle qui ressemblait à l'extase. Il tremblait, poussait de petits cris de gorge aigus, laissant ses mains en suspension au-dessus du bas du dos de l'enfant, comme s'il hésitait à la prendre par les reins pour jouir d'un assaut brutal. Pendant tout ce temps, la fillette n'avait pas réagi, elle respirait à peine et Herns ne perçut qu'un léger cillement de ces fines paupières sur ses yeux vitreux. Soudain, les pulsions de l'homme maigre le submergèrent. L'une de ses mains agrippa l'épaule frêle de la fillette, il commença à ramoner comme un fou en poussant des r les d'efforts. Cette fois la gamine se réveilla de sa torpeur, et comme ces liens serrés l'empêchaient de se mouvoir, elle releva brusquement la tête dans un gémissement de douleur. Sans doute ressentait elle encore des brûlures au niveau du pourtour de son sphincter enflé, distendu, et gercé, mais, de toute évidence, c'était cet énorme gland circoncis qui la faisait souffrir le martyr en tapant rudement contre l'entrée de son gros intestin. Loin de s'apaiser à cette vue, le détenu attrapa de sa main libre une pleine poignée des cheveux lisses de la petite fille et tira sa tête vers l'arrière. Il ramona encore plus fort en poussant des << hoc hoc >> qu'on eut dit éructés d'un gorille, il se fichait visiblement d'arracher les cheveux de l'enfant dans l'effort. Le spectacle était brutal, primal, magnifique. L'homme se penchait sur le corps fragile et plus il tirait sur la chevelure, plus la petite fille hurlait, plus il accélérait son coït sauvage. Plus la jouissance venait, plus il bavait, reniflant et ravalant sa salive comme font les débiles mentaux des asiles lorsqu'ils essaient de parler sous l'effet de l'excitation. A la fin un long grognement bestial signala la jouissance de l'homme squelettique au sexe énorme. Il se cabra encore un peu plus, emmenant la tête de la petite fille suppliciée vers l'arrière. Il s'agita, comme bloqué dans cette position, et Herns vit en se décalant un peu ses fesses creuses et poilues trembler contre le bassin de la gamine. Le bruit du liquide excédentaire comprimé sur le côlon produisit un gargouillis piteux avant de déborder sur les cuisses de l'homme et de l'enfant. Soudain, il rel cha sa prise, la petite fille s'effondra sur la table, l'homme décula, il resta là devant son office, sans para"tre réaliser ce qu'il venait de faire, peu g té par la nature et embrumé par la faim comme l'était sa cervelle. Le gros mandrin du déporté bandait encore, gonflé, veiné et couverte d'humeur grises et rouges. La fillette, quant à elle, n'étaient plus qu'un corps brisé avec un large cratère aux bords bleuis, le fond d'un rouge carmin délicieux, une abondante crème blanche dégoulinait du trou dilaté. Le docteur Shlosser semblait fasciné par ce spectacle, comme s'il venait de faire une découverte exceptionnelle pour l'humanité. Après quelques instants, il se décida enfin à héler un garde de l'entrée de l'infirmerie pour dégager le forçat débileen ajoutant un << emmenez moi donc ce singe au four, il a bien fait son travail >>. Puis, le bon docteur vérifia négligemment que l'enfant respirait encore. Il se retourna enfin vers son invité pour commenter ses résultats : Vous voyez, cher colonel, elle vit encore alors qu'elle se fait monter depuis la veille, j'avais spécialement choisi les mieux proportionnés de notre troupeau. Regardez, son bassin n'est même pas encore brisé, cela montre bien que ces juifs sont comme des animaux, uniquement fait pour travailler et se reproduire. C'est l'alpha et l'oméga, la justification de toutes les théories du troisième Reich ! Là dessus, Shlosser se mit à saluer en faisant claquer ses talons d'un air inspiré. Le colonel Stein répondit à son salut, plus par courtoisie que par conviction, même s'il se réjouissait de voir l'enthousiasme du docteur, il ne comprenait pas comment un homme pouvait croire réellement à des idéologies au delà du plaisir du décorum et de l'occasion de jouir d'autres êtres humains. Enfin, il profita de s'être mis sur ses pieds pour quitter l'infirmerie du camp, et eut un sourire en croisant la file de déportés frigorifiés qui attendaient encore de participer à l'expérience du docteur Schlosser dans le froid hivernal. Sans doute, la petite fille ne supporteraient pas la douzaine d'hommes qui patientaient là, mais mourir dans une chambre à gaz ou dans l'étreinte d'une brute écervelée, le résultat serait le même, au moins aurait-elle connu l'amour, se prit-il à penser le sourire au lèvre. Quelques jours plus tard, il ramenait les pans de son lourd manteau d'officier pour s'engager dans les allées déjà sombre de son domaine, les gardes nazis le saluaient vivement quand il passait, se détournant momentanément de leurs braseros à demis éteints. L'autre mission qui lui incombait ce soir là était encore moins amusante, il se demandait comment il allait présenter la chose à son subalterne si dévoué. Ce faisant, le colonel Stein remontait une voie vers les baraquements des déportés, où, après avoir passé une grille que des gardes lui ouvrirent diligemment, il partit vers la seule battisse éclairée, la maison que s'était choisie le lieutenant Kruger. Lieutenant vivait parmi les déportés, ayant viré les derniers occupants de sa baraque, ce qui avait surpeuplé les b timents autour, il avait fait enlevé les paillasses superposées, mettre quelques meubles et s'était installé là. Au début, il vivait avec des prostituées juives du camp et ses deux chiens préférés, mais ses habitudes brutales laissaient peu de temps de vie aux femmes squelettiques qu'il maquillait comme des filles de joie. En ces temps de défaite programmée, Kruger s'enfonçait progressivement dans une certaine mélancolie, même le fait de sortir pour tirer au hasard sur de pauvres bougres ne lui donnait plus de joie. En dehors de ses heures de service, il s'enfermait avec ses bergers allemands et la petite Rachel, fillette qu'il maltraitait, mais à laquelle, Herns le savait, il s'était attachée. Quand le colonel pénétra dans la b tisse, il fut tout de suite pris à la gorge par le mélange d'odeurs fortes, l'endroit sentait le fauve et la merde de chien, comme il n'y avait plus de femmes ici le nettoyage ne se faisait plus, ça sentait aussi la sueur, le charbon de bois et la mort. Le cadavre de la dernière pute que Kruger avait battue à mort était resté trois jours sur place avant que le colonel n'exige qu'on aille la jeter dans les fosses, la puanteur avait commencé à imprégner le lieu. Il trouva le lieutenant près du poêle en fer, vautré sur les restes de fourrures prises aux déportés, au milieu de bouteilles d'alcool vides, il portait ses bottes, le pantalon noir de cavalerie des officiers SS et un débardeur kaki, non loin de là, les deux bergers allemands somnolaient sur des uniformes rayés déchiquetés, un amas de bougies à moitié fondues assurait un éclairage sommaire de la scène. Rachel reposait entre les jambes de Kruger, seulement vêtue d'un collier de cuir, elle suçotait le sexe à moitié bandé de l'homme. Herns ne put s'empêcher de marquer un temps d'arrêt pour apprécier l'esthétique de ce tableau. Les longs cheveux noirs bouclés de la petite déportée encadraient le visage encore joufflue de la petite de trois ans, ses grands yeux bleus fixaient l'espace devant elle d'un air épuisé, ses lèvres, rose p le, accrochaient un filet gluant sur le gland violacé, lequel paraissait énorme, posé ainsi sur les pétales éthérés. Le contraste entre les joues, les fesses,et la main aux doigts courts boudinés qui caressaient vaguement la verge de l'homme, et les côtes saillantes, le ventre gonflé par la malnutrition, était saisissant. Kruger lissait les cheveux de la fillette d'une main tendre, alors que les traces de sévices, les bleus couvraient littéralement la peau blanche quasi transparente du corps minuscule de la fillette, et qu'une goutte de sang s'attardait sur l'arrière de la cuisse. Le colonel Stein se saisit d'un tabouret renversé dans un coin, il alla s'asseoir en face de son subalterne. L'autre homme releva vers lui un regard d'ivrogne. Herns retira sa casquette et la posa sur ses genoux. Elle me rappelle tant Isabella, commença le lieutenant avec une élocution peu assurée. Ils l'ont tuée, vous savez, avec leur putains de bombes ! Les larmes de l'homme coulèrent, il empoigna Rachel par les cheveux et dans un mouvement rageur l'envoya valser près des chiens. La petite fille alla se blottir sans un cri contre les deux molosses, l'un des chiens écarta largement l'une de ses pattes et la gamine cala immédiatement son visage contre le bas ventre de la bête, un léger bruit de suçotement se fit entendre. Je sais Krug', ce sont des monstres, répondit le colonel après un instant. Mais ils ont gagné, il faut survivre. Tu dois te débarrasser de ta chienne juive, fais tes bagages, viens avec moi, nous irons en Italie, il y a là bas un coin perdu où les gens sont apatrides, tu auras des papiers, des sauf conduits, nous pourrons aller en Argentine, tu peux refaire ta vie. Tu comprends pas Herns, ils m'ont tout pris, je peux pas vivre sans ma famille, sans aucun idéal, dit le lieutenant en rangeant son sexe dans sa braguette. Réfléchis, ils viennent me chercher après demain, tu peux être du voyage, on laisse les autres débiles et on se casse. Pour seule réponse, le lieutenant Kruger secoua la tête, il prit son arme de service et se mit à la manier, les yeux embués de larmes. Il n'en fallut pas plus à Herns, il sortit en vissant sa casquette sur son front, sans un mot, sans se retourner. Une fois revenu à la nuit glacée du camp, il s'arrêta un instant, une première détonation troubla le silence, puis une autre, un jappement déchirant se fit entendre, une troisième, puis une quatrième, tout fut terminé. Il ne lui restait plus qu'à organiser son départ. Revenu dans sa maison confortable en dehors du camp, il ne croisa pas Inga, à cette heure avancée de la nuit, la vieille sorcière devait s'être effondrée, harassée de travail. Il savait qu'il retrouverait son jouet vivant, à sa place, propre et nourri. Enfin, << nourri >> était un bien grand mot, car le colonel imposait qu'on donn t au petit garçon le même régime que les autres déportés : un morceau de chou dans de l'eau tiède, les bons jours. Il goûtait particulièrement de voir se dégrader le corps de l'enfant jour après jour, lorsqu'il entra dans sa chambre, déboutonnant son veston, il prit le temps d'observer son œuvre. Le garçonnet juif ne dormait pas, ou venait de se réveiller en sursaut en entendant la porte de la maison s'ouvrir. L'un des jeux préférés du nazi consistait à réveiller le gamin dans une posture des plus inconfortables ou sous l'effet d'une torture quelconque, l'effet imprévu fut que l'enfant se contraignait à ne plus dormir que d'un œil. Attaché par le cou au pied du lit, le petit être nerveux respirait difficilement, son cr ne passé au rasoir semblait donné plus de volume à sa tête, ses joues creusées, sa poitrine toute en vallées osseuses, son ventre disparu, son bassin saillant, tout évoquait le creux chez ce garçon. On l'eut dit à deux doigts de la mort, pourtant ses yeux gris, enfoncés dans ses orbites continuaient de briller de défi dans la pénombre, comme ceux de quelque animal acculé. Herns y voyait un autre jeu, pendant deux semaines, il n'avait eu de cesse de faire dispara"tre ce regard, les traces rondes de brûlure de cigare sous les aisselles pouvait en témoigner ; comme les tra"née rouges laissées par les coups de ceinture. La souffrance n'avait rien donné, les humiliations n'avait rien donné, non seulement l'enfant survivait aux mauvais traitement, mais la fureur dans ses yeux gris ne faisait que cro"tre. Il devait bien se l'avouer, cette résistance imprévue lui plaisait, à dire vrai, elle l'excitait même beaucoup, par sa force de caractère, le petit garçon avait gagné, sans le savoir, quelques jours de souffrance supplémentaires. Mais ce soir le colonel Stein savait qu'il devrait se débarrasser de son défouloir, peut-être pas aujourd'hui mais demain sûrement, il ne pouvait décemment pas l'emmener. Alors, il fut pris lui aussi d'une profonde mélancolie, comme Kruger, il s'assit sur le lit et souleva l'enfant d'une main pour le mettre sur ses genoux. Le garçon ne pesait plus rien, sous la poigne de l'homme la brindille qu'était devenu son bras menaça de se briser. Herns cala le petit juif contre lui dans un geste presque maternel, parcourant du doigt les stigmates de la maigreur du garçon, en écoutant sa respiration sifflante, il glissait tout le long de son corps nu, sentait chaque os sous la peau fine parcourue d'une onde nerveuse. Il évitait soigneusement chaque blessure, chaque brûlure, la rage de l'excitation finirait bien par revenir, mais son envie du moment ne le poussait pas à la violence, pour l'instant. Il s'arrêta un moment sur le court sexe circoncis de l'enfant, sur ses bourses lisses, il manualisa un peu l'organe, sachant qu'il n'obtiendrait pas de réaction. Après une ou deux séances un peu rudes, le gamin ne bandait plus, ce qui lui arrivait de manière involontaire assez souvent, quelque chose s'était rompu quelque part. Herns connaissait bien l'anatomie humaine, il se doutait que cette incapacité avait un lien avec l'état de l'anus qu'il touchait à présent. Au milieu de fesses inexistantes, il sentait une fente légèrement bombée, bien top longue, dont les bords présentaient des sortes de granules, il suffisait d'appuyer un peu pour que plusieurs doigts rentre sans difficulté. Il savait que la bonne récurait cet endroit tous les jours avant son arrivée, il savait aussi que l'enfant n'était plus capable de retenir le peu d'excrément que produisait son corps. Il ne ressentait pas de honte d'avoir détruit ce jeune orifice si beau la première fois qu'il l'avait vu, au contraire, une sorte de fierté l'envahissait alors qu'il explorait son œuvre, ainsi qu'une émotion d'artiste alors qu'il se remémorait tout le travail passionné qui avait conduit à ce résultat. C'est à ce moment que la rage revint. Repoussant vivement le petit corps squelettique sur le lit, il retira, déchira presque, le reste de son uniforme, faisant voler ses bottes à l'autre bout de la chambre. L'enfant ouvrit les jambes, découvrant son intimité ravagée, au moins en cela était-il soumis. Herns se jeta littéralement sur le garçon juif gracile, pénétrant sans résistance jusqu'au fond du rectum où une faible étroitesse juste avant le cloaque demandait encore à se faire élargir. Jouant de tout son poids sur l'enfant, l'excitation lui soufflait qu'il pourrait peut-être lui briser le bassin, en finir dès ce soir, des suites d'une hémorragie interne massive, mettant ainsi un terme à toute hésitation. Alors, il mit toute sa force dans les coups de boutoir qu'il infligeait à sa victime. Il essayait de le tuer à coups de bite, mais le garçon ne hurlait pas, le colonel ne sentait sous lui que de faibles gémissements entrecoupés de sifflement spasmodiques. Il baissa les yeux sur le visage du petit garçon, s'attendant à le voir expirer, mais il ne rencontra qu'un regard noir, toujours empli de défi malgré la douleur. L'homme changea d'idée, il voulait voir si cet air défiant serait toujours là si il lui fracassait le visage. S'enfonçant toujours profondément dans l'intestin du petit, il se redressa légèrement et commença à frapper du poing sur le visage famélique, frappant et frappant encore, en visant les yeux. Sous son poing énorme par rapport à la tête de l'enfant juif, il sentit se briser l'arrête courbe du nez, laquelle se décala de quelques millimètres, quand un flot de sang écarlate jaillit des narines arrondies, l'arcade sourcilière de l'œil gauche céda également, toute la peau fragile du visage meurtri fut marquée de traces rouges tirant rapidement sur le jaune. Quand Herns eut joui à grandes giclées dans la cavité ruinée, plus aucun souffle de vie ne semblait animer le corps du petit garçon, allongé sur le dos, les cuisses largement écartées, ses yeux grands ouverts fixant le plafond. Toujours essoufflé, le colonel prit le temps de plaquer son oreille contre la poitrine du garçonnet, constata que le cœur battait encore, et décida qu'il attendrait de voir s'il passerait la nuit pour l'achever demain. Le lendemain, pourtant, alors qu'il regardait avec amusement le visage boursouflé du petit juif émerger de sa torpeur douloureuse pendant qu'il lissait les pans de son uniforme, il décida qu'il attendrait le soir. Occupé toute la journée à donner des ordres pour expédier un dernier convoi de déportés, à rassurer ses hommes fanatiques sur les chances du Reich de gagner la guerre et à prendre ses dispositions pour que son argent laissé en Suisse soit disponible, il ne vit pas passer le temps. Le soir, il invita à d"ner ses officiers et le docteur Schlosser, qui ignorant tout de ses projets, rirent et s'amusèrent de bon cœur. Il s'effondra sur son lit, tout habillé, sans se soucier du petit garçon attaché au pied du lit. Il ne se savait pas aussi faible, tout se déroulait comme si, inconsciemment, il ne pouvait se résoudre à se débarrasser de son dernier jouet. Le jour du départ, il s'habilla en civil, gardant uniquement son arme de service, et, pour ne pas éveiller les soupçons, il emmena le garçonnet dans les bois hors du camp, bien décider à en finir avant l'arrivée des américains. Tra"nant le gamin juif dénudé par le cou, il s'arrêta près de la route où devait venir le prendre la voiture de ses contacts. Là, il plaqua le garçon contre un arbre et dégaina. Il n'avait pas le temps de s'amuser, donc il visa entre les deux yeux. Soudain, et pour la première fois de leur relation, l'enfant dit quelque chose : Quoi ? Demanda Herns Stein, un peu décontenancé. Samuel, je m'appelle Samuel, dit le garçon, malgré ses lèvres fendues. Herns n'appuya pas sur la détente, une voiture noire s'engageait non loin sur la voie. Les américains étaient en avance, il aurait pu abattre l'enfant devant eux, ils n'étaient pas connus pour leur sentimentalisme. Mais, il n'en fit rien, rangea son pistolet dans la poche de sa veste et laissa le garçon blessé, nu et seul dans ce bois, face à son destin. Pourquoi épargner cet enfant juif ? Ses chances de survie seraient maigres, à quoi bon lui laisser un sursis de quelques heures, quelques jours peut-être ? Pour le faire souffrir ? Non. Comme l'un des américains en costume trois pièces noir lui ouvrait poliment la portière de la berline noire et qu'ils se dirigeaient vers la base des forces spéciales alliées en Pologne, il comprenait à présent que le temps de la Grande Faucheuse touchait à son terme, que si la mort régnerait encore longtemps sur l'humanité, cette période-ci connaissait son crépuscule, il allait devoir changer de rôle, poursuivre sa quête d'esthétique sous un autre manteau : ainsi en avaient décidé les dieux d'en bas.